les joyaux perdus

par [AD] Dragonis Lun 6 Juil 2009 - 23:30

Demain, l'attente sera longue et troublante pour tous les hunters qui lisent ta fic. Enfin, si bien soit elle, pourvu qu'elle le reste continuellement. bonne continuation :tkt:

par Toby Mar 7 Juil 2009 - 13:21

// partie2 //

Nous marchions depuis près de deux heures. Je me trouvais en queue de peloton et les pas des chasseurs résonnaient dans ma tête. La terre, qui normalement était recouverte d’herbe, semblait avoir été retournée, témoignage du passage de notre petite armée. En même temps que de manger les quelques bouts de pain que j’avais emmené, j’observais les chasseurs et leur armure. Elles étaient toutes différentes, certaines faites de métal, d’autres d’écailles de diverses créatures quant aux couleurs, la plupart des armures étaient entre le blanc et le noir, parfois accompagné du bleu pâle des Giapreys ou du bleu ciel des Velocipreys…

A mesure où l’on avançait, le mont Estra s’imposait à nos yeux. Son sommet était caché par les nuages d’orage qui continuaient de gronder. Les éclairs s’accentuaient. Nous passâmes près d’un troupeau d’Antekas, herbivores pouvant mesurer jusqu’à 2mètres, vivant dans les montagnes et possédant sur leur tête de robustes cornes très prisées pour la confection des arcs. Ils avaient été décimés, probablement par les Giapreys. A l’approche du lac gelé, nous entendîmes les cris lointains des petits carnivores bien que l’obscurité nous empêchait de les percevoir.

Enfin nous les aperçûmes. Le bruit de notre arrivé les avait alertés. La surprise fut grande : les Giapreys, comme l’avait prévu la seconde option, étaient tous réunis et formaient une vaste meute s’étendant au pied du mont Estra. Ils faisaient un vacarme infernal, chacun émettant de puissants cris perçants. Nous nous mîmes rapidement en formation, comme l’avait expliqué Alzen. La ligne s’allongeait sur près de 50mètres, faisant un véritable mur face aux Giapreys. A ma gauche se trouvait un chasseur de rang élevé tout aussi connu qu’Izual, un dénommé Rahva. Il tenait dans ses mains une lourde et puissante fusarbalète faite à base de Gravios, un terrible dragon vivant dans les volcans et dont les écailles, aussi dures que la pierre, lui permettent de se déplacer dans la lave en fusion. J’étais impressionné, comment pouvions-nous vaincre un tel monstre ? Il me sourit, voyant que je regardais son arme, puis me dit qu’avec l’expérience, un jour, je pourrais en avoir une semblable. Après cela, il prononça une phrase qui nous donna confiance et envie de vaincre. Ces mots, je m’en souviens encore aujourd’hui : « Ce soir, c’est rôti de Giaprey pour tout le monde ! »

Nous étions tous en position, tout comme les Giapreys qui commençaient à accélérer vers notre direction, tout en se piétinant les uns les autres. Alzen donna le signal. Je pris l’une de mes deux munitions explosives, l’insérai dans la fusarbalète puis l’armai, près pour le tir. A ma gauche, Rahva chargea dans son arme une munition explosive de taille démentielle. Je relevai ma fusarbalète, la coinçai contre mon épaule et appuyai sur la détente. Le pression exercée par l’arme me fit légèrement reculer. La poudre s’échappant de l’arrière de la munition me permit de suivre sa trace jusqu’à ce qu’elle se perde parmi les Giapreys. La fumée se dégageait des fusarbalètes de toute la ligne, participant au réchauffement climatique. Un éclair illumina les carnivores. Soudainement, tous les projectiles explosifs tirés par les artilleurs provoquèrent une terrible déflagration, éjectant les Giapreys sur plusieurs mètres. A côté de la petite explosion certainement provoqué par ma munition se trouvait un cratère assez impressionnant. Rahva se mit à sourire. Je vis une pluie de flèches s’abattre sur les ennemis, ceux-ci, déjà apeurés par la déflagration, se percutèrent de toute part. La ligne d’artilleur tira une seconde volée de munitions explosives. Tout comme à la premières, la déflagration balaya les Giapreys. Un nouvel éclair nous dévoila l’ampleur du désastre : des cadavres carbonisés, des Giapreys piétinés, d’autres blessés par les flèches... Mais, au moment même où ils s’étaient mis en déroute, une multitude de Giadromes surgirent des épaisses fumées provoquées par les explosions.

L’air semblait soudainement s’être rafraichi, peut-être était-ce à cause des Giadromes ? Non, ils ne peuvent pas rafraichir ainsi le temps, mais alors pourquoi ?

Cette baisse de température semblait avoir remotivé les Giapreys en déroute. Même si les explosions étaient spectaculaires, nous n’en avions tué que peu. La ligne de chasseurs chargés d’assurer notre protection se plaça devant nous à la vue des Giadromes qui ne tardèrent pas à les atteindre. Les carnivores étaient presque deux fois plus grands que nous, leur crête turquoise culminant sur leur tête. Pendant que les épéistes couraient aider leurs congénères, je me mis à l’écart pour charger les munitions perçantes dans mon arme. Je voyais stupéfié Alzen trancher en un seul coup la tête des Giadromes avec la pointe de son katana. Les archets se servaient des dards de Vespoids afin de paralyser les carnivores qui, ainsi, ne pouvaient résister aux assauts incessants des chasseurs. Un éclair m’éblouit quelques instants. Je repris mes esprits et orientai le canon de ma fusarbalète vers les Giaprey qui affluaient vers leurs chefs. Il commençait à neiger. J’enclenchai la détente. Cette fois, je ne pus suivre la trace de ma munition mais un Giaprey s’écroula au sol, preuve de ma réussite. Je tirai une nouvelle fois, puis une troisième. Mon chargeur pouvait stocker 4 de ces munitions. Le temps de recharger, je me plaçai à terre, par peur d’être repéré par l’un des carnivores. L’herbe était déjà tapissée d’une fine couche de neige. Une fois la fusarbalète prête à l’emploi, je l’orientai vers les Giaprey qui paraissaient toujours aussi nombreux. Un éclair vint frapper la montagne. Cette fois-ci, la zone fut illuminée tel en plein jour d’un temps d’été et, l’espace d’un instant, je crus apercevoir la silhouette d’un homme en plein cœur de la meute de Giapreys …

par Alzen Mar 7 Juil 2009 - 14:48

GE-NI-AL!! Ce chapitre la.... pfiouu! J'en aie même eu des frissons! Razz

Franchement, tu déchires :tkt:

LA SUITE!! (stp^^)

(PS:c'est mon 100eme message, youpi! What a Face

)

par nepso Mar 7 Juil 2009 - 17:11

participant au réchauffement climatique ( ^^’ )

xxxD

super chapitre sinon =)

le temps change bizarrement!

un kusha va t'il surgir de nul part =P?

par Toby Mer 8 Juil 2009 - 19:30

// partie3 //

Sitôt l’obscurité revenue, la silhouette s’évanouit. N'était-ce qu’une hallucination, une ombre provoquée par un Giaprey ? Je regardai hâtivement à ma droite pour voir les chasseurs. Plusieurs semblaient blessés, certains au bras, certains à la jambe. Il ne me semblait pas qu’il y est de morts. Mais ce ne fut que pour un bref instant : l’un des Giadromes, après avoir fait un bond majestueux au dessus des épéistes, atterrit près d’un archet qu’il mordit violemment au cou. Le chasseur, une fois relâché de l’étreinte du carnivore, tomba au sol, inerte. C’était la première fois que je voyais quelqu’un mourir devant mes yeux. Etonnamment, je ressentis non pas de la peur mais de la colère, une rage intérieure qui me fit me relever et lâcher sur un Giaprey à proximité toutes les munitions de mon chargeur. Le malheureux carnivore, percé de 4 trous béants, s’écroula au sol en rependant son sang froid sur la neige. Le temps s’assombrissait de plus en plus et je ne voyais toujours pas la meute diminuer en nombre. Je continuai inlassablement de vider mon chargeur sur les Giapreys. Les cadavres s’entassaient. La neige, elle, avait bien du mal à conserver sa couleur blanche.

La température chutait considérablement, commençant à me faire frissonner derrière mon épaisse armure. Ce froid allait me causer bien des ennuis : alors que je prenais dans mon sac un breuvage pour me réchauffer, un Giaprey apparu subitement devant moi. Mon chargeur était vide et je ne possédais aucun couteau sur moi. Le carnivore qui avait une flèche plantée dans son dos, se jeta sur moi. Mon armure, bien qu’elle m’ait protégé au premier assaut, ne pouvait résister face à une morsure. Le Giaprey s’approcha à nouveau de moi. Mais, au moment ou sa mâchoire allait se refermer sur mon cou, une pointe de katana traversa le crâne du carnivore, qui s’effondra sur la neige. J’y avais une fois de plus échappé de justesse.

Sorixas me salua hâtivement puis me tendit la main pour me relever. Il me dit en souriant qu’il ne fallait pas que j’abuse de sa générosité, puis disparut dans la tempête opaque.

Mon cœur battait encore à toute allure. Un éclair me fit reprendre mes esprits. Je pris dans mon sac, après un temps de réflexion, un breuvage que je bus rapidement puis rechargeai mon arme. Je parvins, au deuxième tir, à tuer un Giaprey qui s’en prenait à un artilleur. Ce dernier, épuisé d’une longue course poursuite, me remercia d’un signe de la main au moment même où un éclair lointain l’illuminait. Je vis, étendu sur le sol, une jeune épéiste, le visage déchiré par une violente morsure. La neige commençait à la recouvrir, peut-être, me disais-je, que c’était une fin digne d’une guerrière. Je chargeai 4 nouvelles munitions dans ma fusarbalète. Le cri perçant d’un Giaprey s’approchant me fit sursauter. La guerre est dévastatrice et cruelle, une erreur et c’est la mort. Il aurait suffit que mon arme soit déchargée pour que la créature gagne cette escarmouche. Mais ainsi vont les choses. Je fis un demi-tour, me retrouvant nez à nez avec le Giaprey, puis tirai de suite les 4 munitions perçantes de mon chargeur. La bête fut projetée en arrière, son sang giclant sur mon armure.

A mesure où le temps passait, le nombre des Giapreys diminuait. Le temps ne s’améliorait guère. Il me restait encore 16 des munitions offertes par Savra. J’étais parvenu, en longeant le lac gelé avec plusieurs chasseurs, à me retrouver derrière la ligne des carnivores. Après avoir rechargé, je m’approchai en douceur des ennemis sachant que le moindre assaut pouvait les attirer vers moi. Rahva, qui était venu avec nous, me donna une munition explosive puis confia aux 8 chasseurs présents, dont 5 artilleurs, un plan destiné à désordonner les Giapreys. Après l’avoir soigneusement écouté, nous nous dispersâmes. Je devais, après avoir pris un peu d’altitude et une fois le signal donné, tirer la munition explosive au cœur de la meute des carnivores. Je montai sur un bloc de roche surélevé, là où personne ne pouvait me voir.

Un éclair parcouru le ciel, m’offrant une vue intégrale sur le champ de bataille. L’armée de carnivores des montagnes contre celle des chasseurs d’Adrigore me faisait repenser à la mythique guerre voyant s’affronter les descendants des Asséniens, détenteurs des joyaux de pouvoir. J’avais étudié cette légende en cours. Selon mes souvenirs, les 4 chefs utilisèrent chacun un joyau élémentaire et Ubrus, détenteur du joyau de glace, affronta ses frères en contrôlant les créatures de la montagne. Tout cela, bien entendu, n’était vrai que pour ceux qui y croyaient car nous n’avions aucune preuve des faits réels.

L’obscurité revint. J’entendis un puissant coup de feu, le signal était donné. J’orientai ma fusarbalète vers le centre de l’armée ennemi puis appuyai sur la détente. Il s’en suivit une petite explosion qui, stupéfié, me dévoila de nouveau la silhouette de l’homme que j’avais aperçu peu de temps auparavant. Je vis un objet briller près de l’ombre. Au même moment, plusieurs dizaines de Giaprey se ruèrent vers moi alors que la silhouette disparaissait de nouveau. Je ne devais pas rester ici. Je ne savais trop comment les carnivores m’avaient vu étant donné que je me trouvais à près de 100mètres, mais il était sur que seul je ne pouvais rien faire face à eux. Je redescendis la pente en toute hâte, glissant sur la couche de neige devenue épaisse. Mais les Giapreys étaient trop rapides et déjà ils arrivaient à ma portée…

par Thoms Mer 8 Juil 2009 - 19:34

Preum's!
Très beau chapitre franchement on se sent vraiment comme avec les hunters entourés de giapreys... Un carnage... franchement j'ai qu'une chose a dire : continue !

par Alzen Mer 8 Juil 2009 - 21:04

Deuze!
Franchement là... Je peux rien dire!! Very Happy

Et en plus de la bataille (épique en passant), tu nous dévoile l'intrigue!! Le commandant des Giapreys... On comprend qu'il a le joyau de glace, extra!! cheers

par nepso Jeu 9 Juil 2009 - 22:21

Génial!

continue comme sa toby =)

longtemps que l'on a pas vu nepso =P

enfin demain je pars en vacance sans internet donc pas grave =P

continue ta fics!

par Toby Mar 21 Juil 2009 - 16:22

Fin du voyage et retour au boulot ^^ voilà la dernière partie du chapitre "Du chasseur à la proie"

// partie4 //

Un éclair vint frapper de nouveau le sommet de la montagne. Je vis, alors que les Giapreys s’approchaient toujours plus, d’énormes blocs de glace dégringoler la pente abrupte, entrainant au passage d’importantes quantités de neige. D’un pas vif, je me plaçai sous le rocher qui me servait auparavant de point de tir. Les amas de glace et de neige vinrent s’éclater tout autour de moi, balayant les carnivores dans un fracas assourdissant. Une fois l’accalmie passée, je chargeai dans ma fusarbalète 4 nouvelles munitions perçantes, remontai sur le bloc de roche qui était à présent recouvert de glace, puis scrutai la zone à la recherche d’un éventuel survivant. L’un des Giapreys se dégagea de la neige d’un bond fulgurant avant d’atterrir non loin de moi. Je pris soin de bien viser sa tête, mettant le canon dans l’alignement de mon œil, puis déclenchai le mécanisme. Une coque de métal pointue vint creuser un trou de diamètre conséquent dans le cou de l’animal. Celui-ci, bien qu’ayant échappé à la chute de la glace, ne pu résister à cette nouvelle attaque.

La meute de Giapreys semblait totalement désorganisée. Alors que les uns se faisaient attaquer par les chasseurs, les autres fuyaient vers les montagnes. L’air semblait se réchauffer, le ciel redevenait calme. Je m’avançai vers l’ennemi, vidant mon chargeur sur les Giapreys qui passaient à proximité. La neige avait recouvert une bonne partie des cadavres, ce qui rendait le sol plutôt instable. J’enjambai les corps inertes des créatures, admirant les ravages que pouvaient causer des chasseurs entrainés. J’arrivai bientôt au lieu où il m’avait semblé apercevoir la silhouette d’un homme mais, évidemment, il n’y avait nulle personne autre que des chasseurs. J’aperçus Nepso et Eres achevant les Giapreys blessés, les libérant ainsi de leurs souffrances. Autour de moi, plusieurs chasseurs exprimaient leur joie, nous avions gagné cette bataille.

Savra vint me rejoindre. Elle était ravie que tout cela soit terminé. Ses mains étaient couvertes de sang, celui des Giapreys me disais-je. Nous cherchâmes quelques temps Dragonis et Maximus dans l’obscurité et le silence qui avaient regagné le champ de bataille. Le bras écorché par une violente morsure, Dragonis étaient en train de dépecer des carnivores tandis que Maximus, lui, restait introuvable.

J’entendis au loin Alzen qui, apparemment épuisé par la bataille, invitait les chasseurs à le rejoindre. L’odeur de sang frais semblait m’entourer, imprégnée dans l’herbe, la neige et les chasseurs qui se dirigeaient vers le point de rassemblement.

Une fois les chasseurs réunis et après un petit discours d’Izual, nous regagnâmes le village. Selon les dires, nous avions perdu 14 chasseurs durant la bataille, 14 garçons et filles qui, je suis sûr, avaient pour rêve de devenir de très grands chasseurs. Les Giapreys. Ces créatures pouvaient nous ôter nos rêves à la force de leurs mâchoires au teint jaune.

Je ne savais trop quelle heure il était lorsque nous entrâmes au village. Les habitants s’étaient réunis à la porte Ouest pour nous accueillir. Nous nous empressâmes de retourner à l’école d’entrainement, se frayant un chemin parmi la population. Je ne pris le temps de manger. Après avoir souhaité la bonne nuit à Savra et Dragonis, je décidai de regagner le dortoir. La cour était plongée dans le noir, un noir oppressant, chaotique. La lune était cachée par la masse nuageuse. Une lueur attira mon attention. Elle se déplaçait, zigzagant le long du dortoir. Je tentai de m’en approcher. Son allure s’accéléra. Je me mis à courir, gagnant du terrain à chacun de mes pas. Soudain, elle s’arrêta, comme bloquée par un mur que je ne voyais pas et j’arrivais bientôt à sa portée…

par KirinRaikage Mar 21 Juil 2009 - 17:51

Oï chasseurs !

Toby : Y'parait que ta fiction est superbe, vais donc la lire, en ésperant que c'est vrai x)

*Va lire la fic*

Passe lire la mienne en passant x)

par Toby Mar 21 Juil 2009 - 18:55

Oï chasseurs !

Toby : Y'parait que ta fiction est superbe, vais donc la lire, en ésperant que c'est vrai x)

*Va lire la fic*

Passe lire la mienne en passant x)

Oki KirinRaikage j'espère que ça va te plaire, j'irais lire la tienne dès que possible Wink

Petite information j'ai modifié l'ensemble des chapitres pour corriger les erreurs et les anciens chapitre 9 et 10 forment à présent un seul chapitre en deux parties donc il y a un décalage de tout les chapitres suivant (chapitre 11

chapitre 10 ...)

par Thoms Mer 22 Juil 2009 - 7:28

Mouais,j'ai moins aimé ce chap (bien qu'il soit super)
A part la victoire des hunters et "mais quel sang Savra a-t-elle sur le bras ?"'pas grand chose ne se passe (a moins qu'il n'y ait des choses cachées que je n'ai pas vu...)
En tout cas on attend la suite !

Ps : si tu peux,passe aussi lire ma fic Razz

par Toby Mer 22 Juil 2009 - 13:18

^^ c'est normal cette partie cloture le combat donc il n'y a pas trop d'action.. sinon pour ta fic j'ai déjà lu un bon morceau j'irais voir la fin Wink

par Thess Mer 22 Juil 2009 - 13:35

coucou me suis inscrite Razz

je lisais ta fic depuis longtemps donc j'peux te dire que c'est super maintenant Wink

par Toby Mer 22 Juil 2009 - 16:05

mci

PS : Je viens de modifier la fin de la partie 4 ( Pour rajouter un peu d'action à la fin de ce chapitre ^^ )

par mini-tino Jeu 23 Juil 2009 - 14:16

je prefers cette nouvelle fin ^^

par Sorixas Jeu 23 Juil 2009 - 18:31

Franchement tu dechire tout ^^, t'as du talent, bien que je n'ai pas lu bc d'autres fics, je pense que c'est la meilleure dans son genre :tkt:

continue comme ca et franchement le coup des 400 giapreys c enorme ^^ :kill:

et une purée de giapreys, une ! cheers

la suite

par Sorixas Jeu 23 Juil 2009 - 18:37

"Sorixas me salua hâtivement puis me tendit la main pour me relever. Il me dit en souriant qu’il ne fallait pas que j’abuse de sa générosité, puis disparut dans la tempête opaque."

Yeah lol j'ai sauvé la vie du grand Toby XD Cool

je suis un warrior ^^ ,bon ok j'arete Razz

tu sais vraiment y faire pour mettre la pression et le suspens ^^ et on aime tous ca je pense cheers

continue encore et tjr (je vois bien le ch 351 a l'horizon Laughing

)

par [AD]tigrex-noir Lun 27 Juil 2009 - 9:13

Encore une bataille magnifique façon toby :bave:

continue, j'attend la suite avec grand, mais très grande impatience :guilde:

par nepso Dim 2 Aoû 2009 - 21:59

super

j'ai un peut moin amer ce chapitre que les autres mais il reste très bien =)

j'attend toujours la suite avec autant d'impatience

=)

par Toby Lun 10 Aoû 2009 - 17:22

Chapitre 20 : A l’ombre d’un vol

A peine étais-je à portée de la lueur que celle-ci s’éclipsa. L’obscurité m’envahit. Un faible crissement m’interpela. Tout se passa très vite : dans un furtif mouvement j’esquivai la lame de mon agresseur. J’avais pour seule défense un petit couteau que je gardais constamment sur moi. Je me concentrai, attentif au moindre bruit. Un pas, le souffle de sa respiration, j’avais perçu son emplacement. Le lancé de couteau faisait parti de mes spécialités. Ma lame était parfaitement dimensionnée, son poids équilibré entre le tranchant et le manche. Une arme idéale me disais-je. Je pris le couteau par la pointe, fixai mon agresseur puis, d’un mouvement ample, projetai l’arme dans sa direction.

Le fracas d’une boite métallique retentit. Au même moment, la lueur réapparut. Je reconnu aussitôt le joyau. Ainsi, l’homme avait tenté de le dérober. Ce dernier, que j’aperçus quelques instants, se faufila de nouveau dans l’obscurité. Cette fois, je n’avais plus d’arme tandis que lui possédait toujours la sienne, laquelle je n’avais toujours pas identifié. Toby. Quelqu’un m’avait appelé. Par chance, la lueur du joyau m’avait permis de voir arriver l’offensive. Je fis un bond en arrière, esquivant la pointe de ce qui semblait être un katana de couleur sombre. Je m’éclipsai dans la pénombre, m’assurant de ne donner aucun indice sur ma position. Nous jouions un drôle de jeu. La règle était simple : cibler l’adversaire sans faire le moindre bruit. Mais, même si je le localisais, que pouvais-je faire ? Je ne possédais nulle arme.

Il ne me restait plus qu’une solution : la fuite. Je m’approchai du joyau d’un pas lent puis, une fois à sa portée, toujours caché par l’obscurité, je me mis à courir, attrapant le joyau au passage. Je me déplaçais vers le dortoir du plus vite que pouvaient me permettre mes jambes. L’agresseur ne s’était pas fait duper : il devait me suivre de seulement quelques mètres. Je continuais inlassablement de courir, éclairant mes pas à l’aide du joyau. La neige recouvrant la cour me faisait glisser et rendait ma course instable.

Je ne pouvais me risquer à rentrer dans le dortoir. Arrivé près de la porte, je détournai ma trajectoire en direction de la porte d’entrée de l’école. Une silhouette passa à quelques centimètres de moi. J’entendis alors un bruit sourd, comme un choc métallique. Il s’en suivit de la plainte d’une femme. Je freinai brusquement à l’entente de mon nom. La neige me fit glisser sur plusieurs mètres avant de tomber au sol. Je me relevai, vaincu par l’épaisse couche blanche.

Mon nom retentit une nouvelle fois. Je me dirigeai vers la personne en question, suivant mes propres traces de pas. Illuminé par le joyau, Nepso se trouvait face à moi, le tranchant de sa dague métallique légèrement rougeâtre. A seulement quelques métres gisait sur le sol une personne enveloppée d’une cape, le visage camouflé dans l’ombre. Son sang commençait à se répandre sur la neige qui prenait une teinte rouge, couleur qui m’était ce jour-ci plutôt familière. Je m’approchai du corps qui continuait de remuer. Apparemment, Nepso lui avait profondément entaillé le bras. Je pris dans ma main la cape de l’inconnu puis tirai d’un coup sec.

Face à moi se dévoila le visage d’une fille aux cheveux rouge sang (cette couleur semblait vouloir me poursuivre) et au visage d’un blanc pur. L’agresseur, le voleur, n’était donc autre qu’une fille au visage si jeune et doux. Je me retournai vers Nepso qui semblait lui aussi stupéfié. Je le remerciai de m’avoir secouru, tout en pensant au nombre impressionnant de personnes auxquelles je devais la vie, puis nous décidâmes d’apporter la fille au centre médical de l’école. Je pris au passage l’arme de l’agresseur, un superbe katana rouge d’une longueur considérable, un peu encombrant pour une voleuse me disais-je.

Une fois dans l’infirmerie, une femme courue vers nous et, sans nous poser la moindre question, attrapa la jeune fille. Elle s’éloigna en marmonnant qu’elle commençait à en avoir assez de recevoir des blessés, faisait surement allusion à ceux de la bataille. Je ne souhaitai vraiment aller expliquer pour l’instant ce qui s’était produit. J’avais sommeil et pour l’heure je regagnai le dortoir, le katana de la voleuse en main, suivi de Nepso qui, lui aussi, était extrêmement fatigué.

A mon réveil, Maximus était assis sur son lit, regardant à travers la fenêtre. Il tenait dans sa main mon katana « ciel noir » la lame encore rougie par la bataille de la veille. Une fois mes vêtements habituels enfilés, je pris dans mes bras l’armure Giaprey et partis en direction de la laverie située dans les sous-sols du dortoir. Au passage, je jetai un coup d’œil à la boite métallique qui laissait échapper la lueur du joyau.

Au détour d’un couloir, je croisai Dragonis qui, tout comme moi, transportait son armure à la laverie. Durant le trajet, je lui expliquai l’histoire qui s’était déroulée la veille, le vol du joyau, la course poursuite et l’étrange fille aux cheveux rouge. Il me proposa d’aller la voir à l’infirmerie afin d’en savoir un peu plus sur elle.

La laverie, une grande pièce rectangulaire avec, au centre, une sorte de fontaine d’eau, était surchargée. Me faufilant parmi les chasseurs, j’atteignis le coin d’eau où je plongeai mon armure. Je pus retirer, grâce à une brosse posée sur le bord de la fontaine, les traces de sang séché. Après avoir essuyé l’eau, je repris l’armure en main puis fit le chemin inverse, accompagné par Dragonis qui, dépité, avait décidé de revenir plus tard.

Une fois dans la chambre, je déposai l’armure sous mon lit puis ramassai la boite métallique contenant le joyau. Je descendis du dortoir, toujours suivis de Dragonis, puis pris la direction de l’infirmerie. Il me tardait d’obtenir des explications.

par Thoms Lun 10 Aoû 2009 - 17:28

Preum's
Vraiment génial,révélations sur l'intrigue et tout.. très bien raconté comme d'hab,mais quelques fautes.
Hate de lire la suite !

par nepso Lun 10 Aoû 2009 - 18:40

Hey c'est la que l'on entre dans le vif du sujet! La prophétie,les joyaux etc..
Vivement le suite! continue toby =)

par Thess Lun 10 Aoû 2009 - 19:47

Super les deux chapitres tu tournes une page sur l'histoire passée en nous dévoilant une nouvelle intrigue =D
Et puis ta mis mon personnage ( ta un peu exagéré sur mon profil Embarassed

)

par **'Housenka** Mar 11 Aoû 2009 - 14:41

J'adore cette fic elle est super, l'intrigue est enfin dévoilé clairement et l'histoire va enfin (vraiment) commencé ! J'attends la suite avec impatience

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