Examens pour devenir chasseur!

Je... Je crois que tu peux continuer si tu le souhaites.... xD

Passe la deuxième épreuve si tu veux, elle est facultative...

Dafuq is that ? Joli post, y a pas à dire et le perso est original ^^
Donc c'est bon, tu peux passer à l'épreuve suivante.

WTF IS DAT ? Ce mec vient à lui tout seul de tous nous recaler au rang d'has been ! Faut se reprendre et améliorer notre écriture ! è_è Hâte de voir ta prochaine épreuve !


EDIT YGA : Chacun son style, je ne pense pas qu'il y aie de meilleur que les autres, m'enfin, simple avis personnel ^^

Ca c'est un putain d'exam... Je crois qu'on a trouvé un nouvel hanaxala (les fautes en moins bien sur... Non, je n'ai jamais dis ca, tu ranges ton epee Nura et toi Yumi, tu laches cette pierre... ^^')
Je pressents un gros bordel pour les 4 giadromes... Simple impression =)

Tyto, d'un pas naturellement silencieux, surprit le formateur:

-C'est ici que se trouve l'entrainement ?

-...Euuuh, oui, oui ! Vous êtes au bon endroit !

Le jeune homme avait l'air froid mais amical. Il se saisit de la feuille
et la remplit avec insouciance, n'y accordant aucune importance.
D'un oeil malin, il ne pouvait s'empêcher de scruter le moindre geste
du formateur et de regarder le rythme de sa respiration.
L'ambiance créée par le manque de paroles gênait le formateur :

-T-Tu peux .. avancer, c'est par là-bas !

Il n'y avait plus qu'une grosse grille aux charnières rouillées, à la clenche claquante,
qui le séparait de l'épreuve. Au pas léger, il passa la porte sans un bruit.

Une fois dans l'arène...

Son premier réflexe, genoux fléchis, son arc d'ébène en main, et les
milliers de possibilitées qui peuvent découler du moment présent sont déjà visionnées et revisionnées.

Une fois la première flèche dessertie de son carquois, il ne connaissait plus la peur
et se sentait maître de la situation.

Positionné, la visée ajustée, les giapreys n'avaient aucune chance.

Les portes s'ouvrirent, et les premières flèches atteignaient déjà leurs cible.
Il murmura d'un ton machiavélique: "un peloton d'exécution!"
Il se défiait lui même en variant ses tirs: un dans le genoux, l'autre dans les cotes... les deux derniers eurent
droit au fond du palais.
Il marcha d'un pas sur et harponna avec une flèche en main les derniers survivants.

En moins de 5 minutes, il était de retour dans le couloir.
Il se dirigea vers le formateur qui, une fois encore, ne l'avait pas aperçu:

"Donnez-leur plus à manger, ils sont rachitique vos poulets" lâcha-t-il, détendu et couvert de sang.

Alors Yga, qu'en penses-tu ? Pas trop mauvais l'ami, non ? ^^

Excusez moi mais je tiens quand même à proposer mon léger désaccord parce que là...C'est bien, mais c'est COURT! 5 lignes pour le combat en tout. Et encore, pas 5 lignes pleines. Quand on compare avec Le nico en haut... Je dit pas que tout le monde doit faire 7 pages word (nico en a peut être même fait trop XD) mais ya quand même un rythme à tenir mec quoi...
Je suis sur que tu peux étoffer ça donnerais super bien.

C'est bien, mais je reste d'accord avec Khnil... Le minimum sanitaire, c'est 15 lignes pour la première épreuve, il est clair qu'on les a pas... Tu vas passer à l'autre épreuve, et me détailler un peu plus, parce que sinon, ça risque d'être court... ^^'

Il ne faut pas non plus que cette capacité d'analyse des combats deviennent si facile, je te le dis, mon personnage a la même capacité, analyser les probabilités de chances que telles évènements se produisent selon le facteur X, tout ça... Mais le truc, c'est que ça devient légèrement incroyable des fois (Je le dis pour l'avoir fait, hein x) ), du coup, pour mon personnage, vu qu'elle est "borgne" je me limite à ses capacités physiques et à son angle mort pour pouvoir avoir un contrecoup assez net et qui détruit sa capacité d'analyse, libre à toi de trouver la faille dans out ça, sachant que tout le monde en a.

Par contre, il y a de belles tournures de phrases ^w^ Je ne peux que t'encourager à continuer ! Allez, étoffe moi la troisième épreuve !

Une belle journée dans la ville de Tenmura. L'examinateur de l'école d'entraînement prenait sa pause. Il alla faire un tour à la taverne pour boire un coup. Le tavernier l’accueillit bien gentiment. Ils discutèrent un peu, quand une voix de jeune fille retentit dans la taverne. Sa provenance était inconnue.

? : Cling clang go the chains, someone's out to find you.

Les clients de la taverne commencèrent à s'inquiéter.

? : Cling clang go the chains, the Wardens right behind you.

Cette chanson devenait effrayante. Les clients se croyaient dans un roman d'horreur.

? : Quick now, the seeking chains, approaching with the splay. Don't stop, flee the chains, your last chance to escape.

Le sang des clients commençait à se glacer.

? : Drag the chains, drag the chains, with all the strength you may. Drag the chains, drag the chains, ere they drag you away.

Des frissons parcouraient le corps des gens de la salle. Des frissons brusques et intenses.

? : Cling clang go the chains, no time for fear. Cling Clang know the chains, the last sound that you'll hear...

La chanson s'arrêta. Au même moment, le noir se fit dans la taverne quelques secondes. A la réapparition des lumières, une jeune fille d'une quinzaine d'années et un homme vêtu d'un long manteau rouge étaient assis au bar. L'examinateur sauta en arrière. Qui étaient ces personnes ? Il finit sa boisson et retourna d'un pas vif à l'école d’entraînement, un peu effrayé par les deux personnes. Il récupéra ses affaires dans sa loge. Lorsqu'il se retourna, la jeune fille et l'homme de tout à l'heure étaient face à lui. Il fut une nouvelle fois stupéfait. La jeune fille s'approcha.

? : Nous voudrions passer l'examen de chasseur. C'est bien ici n'est-ce pas ?

Examinateur, d'un regard effrayé : Oui, vous ne vous trompez pas. Le prochain combat va commencer, vous allez pouvoir passer. Vos noms ?

La jeune fille approcha sa tête très près de celle de l'examinateur. Il fit un regard mesquin.

? : Oto Shakuhachi. Et voici mon ami Aeon.

Aeon : Je vous en prie mademoiselle, je suis surtout votre serviteur.

Examinateur : D'accord, allez dans la salle d'attente.

Shakuhachi : Mer-ci !

Les deux personnes se dirigèrent vers la salle d'attente, où se trouvaient déjà quelques chasseurs. Shakuhachi fredonnait le même air que celui de la taverne. Tous les chasseurs de la salle d'attente semblaient stressés, excepté Shakuhachi et Aeon. Une personne endormie sortit de l’arène : c'était leur tour. Les vingt giapreys affamés se tenaient dans l'arène.

Shakuhachi : Seulement vingt de ces bestioles insignifiantes ? Tsk, ça va être marrant mon cher Aeon.

Aeon : Oui, cela promet d'être divertissant.

Un public s'était attroupé dans les gradins. Ils commençaient à crier au combat. La jeune fille sortit un instrument étrange fait de deux cornes, une pour le pavillon et une pour l'embouchure. Elle commença à jouer une mélodie entraînante. Aeon sortit différents couteaux de cuisines, six pour être exact. Il en avait trois dans chaque mains. Les giapreys commencèrent à se regrouper autour des deux personnes.

Aeon : Ikuze !

Aeon se lança avec une vitesse impressionnante sur les giapreys. On dirait que la musique de la jeune l'augmentait de façon importante. L'homme se servit de ses couteaux comme de griffes et trancha au passage deux giapreys, qui furent tués sur le coup. Il pris appui sur un des murs de l'arène pour repartir à la charge. Il en trancha deux autres. En un mouvement de poignet, il lâcha un couteau qui alla se planter droit dans un autre giaprey. Cinq en moins en l'espace de deux petites minutes. Les giapreys se rendirent compte que la jeune fille était à l'origine du gain de puissance de l'homme. Les quinze l'encerclèrent. Shakuhachi continuait à jouer sa musique les yeux fermés. Deux preys lui sautèrent dessus. Gardant toujours ses yeux clos, elle sauta et pris appui sur la tête d'un des deux monstres. Étant maintenant en l'air, la musique changea brusquement, laissant place à une suite de notes stridentes. Une onde de choc puissante fut crée, faisant valser plusieurs bêtes d'un seul coup. Les créatures se relevèrent toutes, à part quelques unes qui furent tués sur le coup. Il restait encore douze monstres et six minutes pour les tuer. La musique de la jeune fille changea encore. Cette fois-ci, c'était une mélodie lugubre. Quel était son effet ? Les spectateurs le découvrirent très vite. Aeon lança un de ces couteaux sur un giaprey. Le couteau ne se planta pas, mais il traversa le monstre, le coupant en deux parties saignantes au passage. Cette musique semblait augmenter grandement la force des lancés et des coups d'Aeon. Ceci fut confirmé rapidement quand l'homme, ayant récupéré le couteau dans le mur, repartit à la charge. Il lança ses six couteaux qui allèrent se loger dans six giapreys différents. Les lames les traversèrent et allèrent percer un trou dans les murs derrière. Cinq bestioles restantes et quatre minutes. Cet examen s'avérait assez simple pour Aeon et Shakuachi. Ils s'amusaient plus qu'ils ne s'épuisaient.

Aeon : Demoiselle, je sors mon instrument favori ?

Shakuhachi : Oh oui, je veux jouer avec !

Aeon : NON ! Pas celui-là voyons !

Shakuhachi : Oh. Tu veux la musique qui va avec ?

Aeon : Ce serait magnifique mademoiselle.

Aeon sortit une faucille au bout de laquelle était accrochée une chaîne. La musique changea de nouveau. Cette fois, c'était le même air que la chanson à la taverne. L'homme se jeta sur les cinq monstres restants. Les monstres reculèrent, effrayés par l'homme qui avait tué leurs congénères. Le premier eut la tête tranchée, le deuxième et le troisième furent réunis par la chaîne et étouffés puis projetés violemment contre un mur de l'arène. Le quatrième et le cinquième étaient à l'écart du combat. Ils cherchaient une échappatoire. Aeon arriva rapidement sur le quatrième et l'écrasa sur le mur avant de le couper en deux parties égales. Il n'en restait qu'un. Celui-ci était à l'opposé d'Aeon. L'homme lança sa faucille en l'air et la fit tourner très rapidement avant de la jeter vers le giaprey, qui fut attrapé au cou. L'homme le ramena vers lui avec puissance. Le monstre arrivait rapidement vers lui. Derrière Aeon se trouvaient des piques présentes pour empêcher les chasseurs et les monstres de s'échapper. La bête arriva vite sur Aeon, qui se décala, la laissant s'empaler sur les pics saillants. Dans un mouvement de sadisme, il enfonça encore le corps de la bête sur le pieu avec un coup de pied. L'épreuve était réussis. Il restait encore une minute trente. Shakuhachi et Aeon sortirent sereins de l'arène. Aeon redressait ses lunettes. L'examinateur s'approcha d'eux.

Examinateur : C'était...impressionnant. Vous avez réussi l'épreuve. La prochaine sera une chasse aux monstres alpha dans les montagnes enneigées non loin d'ici. Faites-moi signe quand vous serez prêts.

Les deux personnes se retirèrent alors à la taverne.

HRP : Pour les lyrics de la chanson, dites moi si besoin d'un traduction. Je trouvais ça mieux en anglais.

Déjà plusieurs heures qu'il était réveillé... Sa tête tournait encore un peu, mais autrement il était encore en état. Ses habits neufs, gracieusement offerts par la maison, les anciens étant complètement irrécupérables, et les nettoyer leur aurait coûté plus cher que de lui en refiler de nouveau, selon leurs dires. Cependant son sac, sa sacoche et ses accessoires étaient sains et sauf... à quelques exceptions près... Il garderait toujours en mémoire ces deux braves battes, respectivement éclatées sur le crâne d'un Giaprey et joyeusement mâchouillée par un autre. Que leurs âme restent en paix... Il se demandait si il y avait un magasin de farce et attrape ou autre où s'en procurer de nouvelles... Au moins le reste était encore en bon état, à quelques rayures près sur son bâton de trapèze, mais rien de grave.
Ça faisait déjà un moment que l'autre lui parlait... Il devrait peut-être écouter... En même temps il se débrouillait plutôt bien, dans son monologue, pas besoin d'une grande aide... Un petit sourire en hochant la tête suffirait bien à ce qu'il continue... de toute façon le mal de tête l’empêchait de penser clairement...

«? : Tu crois qu'il se fou de ma gueule ou qu'il est juste amorphe ?

? : Vous savez patron il avait déjà pas l'air bien malin en entrant dans l'arène, alors après ce qu'il a pris dans la tronche... »

Voilà que le bonhomme commençait à claquer les doigts devant son nez... Il lui voulait quoi au juste ?

« Patron : Ouai, non, il a complètement arrêté de fonctionner... ou alors c'est un sacré c-

? : Sinon patron je peux toujours voir si quelques beignes dans la tronches auront l'effet inverse...

Patron : Au point ou on en est... De toute façon je préfère un candidat amoché qu'un légume inutile... Allez-y, faites vous plaisir. »

Résumé-man, celui de l'arène, venait enfin de bouger de l'encadrement de la porte... Venant vers son lit en faisant craquer ses doigts. Alors que le gros bourru se tenait devant lui :

«Na : Vous pouvez répéter ?

Patron : Tiens tu reprends vie ?

Résu-man : J'vous l'dit patron, les interrogatoires musclés, y'a que ça de vrai ! C'est depuis qu'ils les ont interdit à l'armée q-

Patron : Avant tout, puis-je vous poser une question Jym ?

Jym : Oui patron ?

Patron : Dans quelle partie de votre contrat est-il stipulé que raconter des anecdotes faisait partie de votre boulot ?

Jym : Je... excusez-moi patron. »

Sur ces mots, le gros Jym retournait à l'encadrement de la porte. Plutôt grand, relativement musclé malgré sa bedaine visible, les cheveux courts et habillé à la va-vite, il semblait plutôt nigaud, tout en ayant tout de même cette qualité pratique pour un garde du corps de faire reculer les gens l'approchant, pour son air dangereux... ou son odeur peut-être ? De toute façon, le résultat était le même, il ne donnait pas envie de lui faire un câlin... sans avoir l'air méchant pour autant. Et il avait une bonne tête, dans le fond, plutôt sympathique.

«Patron : Bon le pitre, je te ré-explique encore une fois, lentement et calmement. Et la version courte, histoire qu'on y passe pas toute la journée...

Jym : Une demi-journée qu'on y est déjà, commence à faire long...

Patron : Jym...!?

Jym : Excusez patron, continuez.

Patron : Je disais donc, je vais t'expliquer en gros ce qu'il te reste à faire. Dis quelque chose si tu as compris.

Na : Quelque chose si tu as compris.

Patron :...

Jym : Vous voulez que je le re-répare, patron ?

Patron : Ça ira Jym, au moins il est conscient... en quelque sorte... Ça suffira pour le moment.
Bien, commençons par le commencement. En récompense de votre victoire, en plus du tampon officiel vous permettant de passer l'épreuve suivante pour devenir hunter, notre maison doit vous offrir une certaine somme d'argent. Dites quelque chose d'intelligent si vous voulez prendre cette somme.

Na : Le périmètre est égal à la somme des côté de la figure.

Patron : ...

Jym : L'argent est toujours un remède efficace, presque autant que la force. Hein patron ?

Patron : Jym... vous me fatiguez...

Jym : Excusez-moi patron... »

Une bonne tête dehors et dedans ce Sympatoche-man.

« Patron : Reprenons. Je disais donc qu'en plus de l'argent, vous alliez recevoir un tampon officiel des hunter vous permettant d'accéder à l'épreuve suivante...

Jym : Vous l'aviez dis dans l'autre sens patron.

Patron : ... ainsi qu'à un moyen de transport vers la zone la plus proche de celle où l'épreuve se déroulera. Le hunter supposé vous résumer votre mission n'ayant pu rester jusqu'à votre réveil, ...

Jym :Deux jours à pioncer la feignasse !

Patron : ... je suis celui chargé de vous expliquer ce qu'il va se passer par la suite. Aujourd'hui vers seize heure vous aurez un convois de popos qui vous attendra.

Jym : Vous apprécierez la générosité de notre compagnie !

Patron : Jym...

Jym : Excusez-moi patron.

Patron : Je reprends. Grâce à cela, vous devriez atteindre le village auquel vous avez été assigné pour votre épreuve. »

Nashi ne put s'empêcher de taper dans les mains en souriant.

« Jym : Eh patron, première fois qu'il comprends aussi vite, marrant non ?

Patron : Jym... la ferme.

Jym : Excusez moi patron.

Patron : De là donc, vous devriez trouver aisément un guide vous menant jusqu'au mont le plus proche, que vous gravirez comme vous pourrez pour y affronter les quatre Giadromes à son sommet. Libre à vous de voir comment vous vous débrouillez, mais le hunter présent a fortement conseillé que vous rameniez avec vous des gens cette fois-ci.

Jym : Se battre c'est toujours un plaisir, mais à plusieurs c'est toujours tellement mieux...

Patron : Pour une fois Jym, j'accepte cette intervention.

Jym : Vous aussi vous savez ce qui est bon, hein patron ?

Patron : Jym, n'abusez pas de ma bonté. Je disais donc, une fois les giadromes morts, il vous suffira de récupérer leurs crête, et les ramener au village pour prouver votre victoire. Vous avez tout compris jusque là, monsieur ?

Na : ...

Patron : Vous n'avez rien compris ?

Na : ...

Jym : Je pense que ça veut dire oui, patron. »

Question-man se fourrait la tête dans ses mains, se frottant les yeux au passage, le dos courbé les coudes posés sur les mollets, la tête vers le sol. C'était un homme de la quarantaine, assis sur une chaise, au bord du lit de l'infirmerie lui servant de chambre personnelle, sa victoire ayant semble-t-il eu raison de la radinerie des locaux. Habillé de façon classieuse, en costard-cravate, mister pimp devait vraiment regretter que notre concurrent vedette du jours, ou de l'avant veille pour l'occasion, ait survécu...

«Jym : Si vous voulez patron je peux essayer de lui expliquer à votre place.

Patron : Au point où on en est... »


Jym sortait de son cadre de porte pour se poster au bout du lit, et, faisant de grand gestes pour s'expliquer, annonça le plus naturellement du monde :

« Jym : Tampon – Vieux bestiaux à poil bon marché. Vieux bestiaux à poil bon marché.– Petit village moins pingre qu'ici. Petit village moins pingre qu'ici – Tas de caillasse jusqu'au ciel. Tas de caillasse jusqu'au ciel – Gros tas de viande à défoncer. Gros tas de viande à défoncer – Pif bizarre. Pif bizarre – Grande ville moins pingre qu'ici. Grande ville moins pingre qu'ici – Grande baraque avec des bourrins dedans. Grande Baraque avec des bourrins dedans – Mec qui ressemble à un chef qui veux du pif.
Et pas de temps limité !
Compris P'tite tête ?

Patron : Jym, qu'est-ce que..?!

Na : Parfaitement Résumé-man ! Comment t'as fais ?!

Jym : Tu parles dans ton sommeil et t'es facile à comprendre gamin.

Patron : ...

Jym : Oui patron ?

Patron : Jym... juste... rappelez-moi d'être moins agressif la prochaine fois que vous me demandez une augmentation...

Jym : A vos ordres patron ! »




Déjà plusieurs heures qu'il avait quitté l'arène. Sympatoche-man lui avait servi de guide pour s'acheter de nouvelles affaires, grâce à la prime grassement offerte par costard-man. De nouvelles battes, quasi identiques aux anciennes, et de nouveaux habit, ainsi que quelques masques marrant pour sa collection, vu qu'il lui restait du surplus. Sympatoche-man s'était inquiété qu'il ait tout dépensé, le pauvre, même si il est sympa, il est un peu bébête, il avait oublié qu'il était un clown ! Et un clown est toujours plein de réserves ! L'argent n'était que rarement un problème.

Mais ils couraient pour quoi déjà ?

«Jym : P'tite tête, plus vite, tu vas louper ton … ta... bref tu vas le louper, grouille, il est presque l'heure !

Na : C'est si grave ?

Jym : A moins que tu veuille te faire le chemin à pieds, oui !

Na : Et c'est grave ?

Jym : Tu veux vraiment te faire quatre-cents bornes à pieds !?

Na : Ce serais si grave ?

Jym : Gamin, j'suis pas mon patron, mais là, la ferme ! »

https://www.youtube.com/watch?v=crPl0ITIkS0



Trois mois plus tard, il se demandait encore en quoi c'était si grave, mais après tout, pas grande importance. Il était plus très loin. Les habitants des villages sont quand même vachement plus cool, un bon spectacle, deux trois histoires, et un peu de distraction pour les enfants, contre le gîte et le couvert et des vivres pour quelques jours, que demander de plus ?! Et il avait croisé quelques hunter sur le chemin qui plus est... donc... Pas besoin de pancartes !

Armé de son nouveau, datant de trois mois, mais nouveau pantalon bouffant, ses "babouches" et son nouveau blouson à tassettes, il était prêt à partir vers de nouveaux sommets !... Au sens propre du terme du coups.

Ce fût au milieu de la nuit qu'il arriva finalement au sommet. Il n'avait croisé aucun hunter pour le joindre... Il le ferait donc seul. Eh puis, ce devait pas être trop compliqué... c'était quoi qu'il devait chasser déjà ?.. Surement pas très important. De toute façon, ce ne serais probablement pas très dur, après tout, ce n'était qu'un examen. Et puis, il était trop content pour perdre ! Le dernier village qu'il avait quitté, en plus des cadeaux habituels, lui avait offert un bon bain chaud, plein de produits naturels et vrais, il se sentais frais comme un gardon et sentais bon les feuilles d'automne, les fleurs du printemps, les pins d'hiver et le reste d'été !... Heureusement pour lui, personne ne pouvait lire dans sa tête, encore une raison d'être heureux dis-donc ! Et le décors était magnifique en somme... il ne saurait le décrire, mais très beau ! Il plaignait les gens qui n'auraient pas eu l'occasion de voir cela, ils rataient quelque chose, les pauvres, si regrettable...

Après quelques minutes de marches, sans trop se fatiguer, il était presque au sommet. Toujours pas un monstre à l'horizon... Son jour de chance peut-être. Ou de malchance, vu que c'était exactement ce qu'il cherchait... Ou l'heure de la sieste. Mais après tout, c'était sans importance, il avait le temps. Cependant il se demandait pourquoi un rocher ronflerait... ou grognerait... c'était un peu des deux après tout. Très étrange. Et les pierres bleus étaient aussi très rare à vrai dire. Mais une pierre bleus, aussi grosse et qui ronflait... c'était louche... très louche... trop...louche...

Il se demandait pourquoi il se mettait à loucher tout seul, personne n'était là pour la blague, quel intérêt !? Mais là n'était pas l'important, c'était peut-être sa cible après tout. Et il ne l'avait pas encore réveillé, une chance ! Il savait ce qu'il avait à faire. Doucement, sans un bruit, sans un crissement de cailloux, il s'approchait de la bête... Il grimpait, doucement, sur une pierre lui permettant d'être plus en hauteur, mais à portée de la bestiole... Sans un bruit... sans un son... le pitre sortait ses battes... doucement... et...

Quelques heures plus tard, à son réveil, la bestiole eu un peu de mal à comprendre comment un jongleur avait put atterrir au dessus de sa tête... Ce questionnement existentiel ne l'empêcha pas d'être un poil ronchon, mais que voulez-vous, personne n'aime qu'on vienne dormir chez soi sans demander l'autorisation... sauf si c'est une jolie dame... ou un joli mec en fonction des gens, chacun son truc. Mais cet bestiaux là, elle était pas folichonne des mecs en tout cas, ou c'était juste sa tête qui lui revenait pas... très possible. Il y avait la théorie du casse croûte aussi de probable mais...

Le monstre avait bougé, créant une rencontre assez rude entre la pierre et sa queue. Ayant un bon équilibre, il ne chût pas, mais un deuxième ne serait pas tolérable, en tout cas pas en jonglant. Il s'empressait de ranger les quilles, une par une, tandis que le gros bleu préparait l'impact suivant. Juste à temps, il réussit à se poser à quatre pattes sur le rocher, résistant une deuxième fois au tremblement de rocher, mais c'était le dernier que celui-ci pourrait supporter. Il lui fallait un plan. Et vite ! Il fouillait dans son sac, cherchant quelque chose pour le sauver. Trouvé ! Maintenant, sa sacoche et...
Le choc faisait chuter la pierre, l'obligeant à sauter vers l'animal. Encore en l'air, d'un geste de la main gauche, il allumait et lançait un des ses pétard maison. Alors que l'explosif était encore en l'air, intact, de cette même gauche, il attrapait l'énorme crête de l'animal, se posant comme une fleur de soixante-dix kilo ayant chuté de deux mètre sur le dos du bestiaux. La bête réagissant, et le pétard explosait, causant l’incompréhension générale. Puis, de sa main droite, toujours placée dans son sac à dos, il tirait son bâton de trapéziste, toujours accroché à ses cordes. Le monstre, déjà aveuglé par le nuage, tout comme l'idiot ayant oublié son masque debout sur son dos, tentait d'attaquer le parasite, tournant sa tête sur la droite pour mordre. Le pitre, même aveuglé, avait encore la crête comme aide pour savoir d'où venait l'attaque. Très vite, il lui enfournait le bâton dans la gueule, faisant voltiger la corde de l'autre côté durant le processus. Il lâchait la crête, l'espace d'un instant, croisant intérieurement les doigts pour qu'il réussisse à attraper la corde. Ce fut l'un des plus longs attrapage de corde de sa vie, mais il l'eut. Posant son pieds sur le long coups de la bête, il tira un coups sec, forçant l'animal à tourner la tête, tout en maintenant sa prise sur l'autre corde. Ses yeux brulaient comme l'enfer, fichu masque, pourquoi il ne l'avait pas mis ! Ses poumons aussi n’appréciaient pas. Lâchant de la main gauche les cordes, tenant désormais les deux de la mains droite, il protégeait sa bouche comme il pouvait avec son T-shirt. Il n'y avait plus qu'à espérer que le bestiaux n'apprécie pas non plus le gaz. Le bestiaux se tournait et retournait, marchant doucement, hésitant à chaque pas. Il n'osait plus réellement faire de grands geste, après tout, ce n'était plus un sol plat, et il n'avait plus de repères. Après quelques pas titubants, il sentit qu'il pouvait à nouveau respirer correctement, même si il subissait encore le contre-coups. Mais il avait encore un atout de taille : une gourde dans son sac. Même si cela ne réduirait que les effets, c'était suffisant. De toute façon, les produits étaient fait pour rester effectif sur une durée limitée dans le temps. Il ne savait pas exactement ce que ça voulait dire, mais il captait encore l'idée générale, c'était assez.
Attrapant enfin sa gourde, il s'empressait de verser une bonne rasade sur ses yeux grands ouverts, avant de boire une grande rasade, toujours posté sur le dos du bestiaux, tandis qu'il reprenait ses esprits. Déjà plus d'eau, c'était pas pour ce soir la soupe. Mais au moins, ses yeux et sa gorge brulaient moins. Il reprit les cordes à deux mains, tandis que le giadrome recommençait à gesticuler dans tout les sens. Toujours débout, s'équilibrant comme il pouvait grâce aux rênes improvisées, tout en tentant comme il pouvait de forcer le gia à tourner là tête là où il fallait.
Le spectacle était probablement absolument ridicule à voir.

A grand effort de cris et de coups de pieds, le pitre finit tant bien que mal à faire vaguement avancer le bestiaux.


Edit : Rajouté des ptits trucs pour repérer qui parle, on m'a signalé que c'était assez incompréhensible ... :/

Krimgan se réveillait, adossé à un pommier. Le soleil apparaissait dans l'azur du ciel, et tout était réuni pour passer une belle et oisive journée. Néanmoins, son devoir de chasseur l'appelait : quatre Giadromes l'attendaient patiemment au sommet des Monts Enneigés.

Il se leva, masqua un long bâillement de sa main droite, et se dirigea vers la montagne d'un pas nonchalant. Ce n'était pas qu'il ne portait aucun intérêt au combat qu'il devrait mener dans les heures qui suivraient, mais il avait toujours besoin d'un certain temps pour se réveiller correctement après une sieste. Il marcha durant de longues minutes dans les herbes des plaines puis dans les feuilles mortes des forêts avant d'atteindre son but. Le voyage l'avait quelque peu affaibli, mais il pouvait s'affranchir de cette difficulté si il cessait d'y penser.

Entendant le rugissement d'une des créatures, Krimgan se cacha derrière un arbre, retenant son souffle quelques instants pour tenter de détecter sa proie. La peur s'emparait quelque peu de lui, mais il en fallait plus pour réellement le déstabiliser. Il finit par entendre les pas d'un Giadrome qui se rapprochait dangereusement de lui. Il se pouvait qu'il l'eut repéré, et il devait se préparer et tenter de prendre l'avantage. Krimgan porta sa main à la hampe de son épée, et la dégaina dans un mouvement ample tout en se relevant. Comme il il l'avait prévu, il se retrouva face à la créature : sa crête bleutée reflétait la lumière du soleil, et ses serres paraissaient prêtes à lacérer le plus solide des métaux.. Bien que devant peser un certain poids, il ne s'enfonçait presque pas dans la neige. L'avantage du terrain était donc pour lui. Quoique ...

S'élançant aussi vite que lui permettait le sol, Krimgan grimpa à l'arbre le plus proche, s'accrochant à chaque branche comme si sa vie en dépendait. ( ce qui était plus ou moins le cas ) Une fois arrivé à quelques mètres du sol, sur une branche solide, la créature ne pouvait plus faire grand chose contre lui. Krimgan dégaina sa dague, et se mit à aiguiser ses deux lames l'une sur l'autre, narguant le Giadrome qui commençait à s'acharner sur l'arbre. Cessant ses provocations, il fit tournoyer ses armes et se jeta sur la créature. Il tenta de lui planter sa dague dans la trachée, mais le Giadrome riposta d'un puissant coup de patte, projetant Krimgan contre un tronc d’arbre. Son dos bien amoché, il se devait de se relever vite : il tenta de se redresser mais le monstre l'en empêcha en appuyant sa patte sur son torse. Krimgan poussa un hurlement de douleur et s’agrippa à ses armes. S'en était fini de lui, il le savait, il était à la merci de ce qui aurait du être sa proie. La créature approcha sa mâchoire de la gorge de Krimgan alors que celui-ci fermait les yeux, voulant accepter la mort avec dignité.

Mais un lointain huissement retentit dans les cieux, perçant l'air de sa majesté incroyable. Un cri qui aurait fait réagir la plus dangereuse des wyverns. Puis on entendit un second cri, plus rapproché cette fois. Puis un troisième, qui paraissait venir des feuilles d'arbres elles-mêmes. Puis on entendit les branches craquer les unes après les autres, laissant place à une silhouette salvatrice qui attaqua le Giadrome en piquée, et lui creva un œil de son bec affuté. Poussant un hurlement strident, celui-ci se détourna de Krimgan, lui laissant une dernière chance de survie. Il se releva, fit un grand saut et planta son épée dans l'autre œil de la créature avant de retomber sur le dos. Celle-ci s’époumona jusqu'à épuisement avant de se cogner contre un rocher et de se s'évanouir dans un dernier soupir. Krimgan prit quelques instants pour se relever avec précaution, puis se pencha sur la dépouille du Giadrome : ses yeux suintaient de sang, et sa posture menaçante n'était plus qu'un souvenir. Il récupéra ses armes, et leva le regard vers son sauveur :

"On dirait que tu es encore arrivé au bon moment, Nïla."

Le faucon, ou plutôt la fauconne, lança un regard chaleureux à son compagnon, avant de lui adresser un piaillement amical, qui lui rappelait le nombre de fois où elle lui avait sauvé la vie. Comme si il l'avait comprise, Krimgan répliqua :

"Je sais, je te dois beaucoup, ma chère ..."

Il tendit sa main et laissa Nîla se poser dessus. Ses serres blanches comme neige entouraient à merveille les gants blancs de Krimgan. Celui-ci caressa doucement les plumes grises et azurées de sa protégée, prenant soin de n'en arracher aucune.

HRP : Pardon de ne pas vous avoir dit de continuer... Vous pouvez faire des doubles posts si on ne vous répond pas, ou nous envoyer un RP pour nous demander de vérifier si tout est en ordre. ^^

Hrp : Ma faute et celle de Zarka. On va pas tarder à post ^^.

Examinateur: Tu te sens prêt?

Rallen se tenait devant la porte, son épée dans la dos. Il essayait de rester calme, malgré l'émotion.

"Ça va être bien...je le sens"

Rallen: Oui.

Examinateur: Bien. Si tu veux abandonner, réfugie-toi dans le passage protégé.

Rallen: Abandonner? Ça serait trop bête après tous mes efforts.

L'examinateur haussa les épaules et poussa un levier. La porte s'ouvrit et Rallen entra dans l'arène. Il pouvait voir ses parents, qui le regardaient d'un œil fier, tandis que l'examinateur, après avoir refermé la porte, ne s'adresse à lui.

Examinateur: Aspirant, tu es ici pour prouver ta valeur. Défais ici ces monstres, ou avoue ton impuissance.

Père de Rallen: Fais-en de la bouille ou c'est moi qui me chargerait de ton cas!

Rallen se contenta d'hocher la tête

Examinateur: Que la première épreuve commence!

Il y eu un bruit de porte qui coulisse,et des giapreys sortirent d'une trappe placée un peu plus loin. Ils observèrent Rallen de leurs yeux globuleux. Ils poussèrent une série de cris stridents avant de se ruer sur lui, tandis qu'il brandissait son épée.

Rallen :Amenez-vous la piétaille...

Le premier giaprey vit son champ de vision se diviser avec sa tête, que Rallen trancha de haut en bas. Il enfonça la pointe de son arme dans le cadavre, tourna sur lui-même et l'envoya sur les deux monstres suivants, qui s'étalèrent sonnés. Un autre lui sauta dessus, mais il vit le coup venir et envoya son épée sur le monstre, qui s'écrasa plus loin avec une énorme entaille. Les autres semblaient hésiter."

Rallen: Si vous ne venez pas à moi...

Il fit un pas en avant, re-soulevant son arme.

Rallen: Alors je viens à vous!

Il se rua sur eux, et les deux plus proches n'eurent pas le temps de s'enfuir que leurs corps se scindaient en deux. Un plus courageux que les autres fonça vers lui, les autres l'imitant. Ils l’encerclèrent et le menacèrent. L'un fonça, gueule ouverte, pour finir trois mètres plus loin, les boyaux s'échappant de son ventre. Deux autres veulent le mordre. Rallen les retient avec son arme, et les pousse brutalement en arrière, l'un sur l'autre. Il fait tournoyer l'épée sur la gauche de bas en haut, tranchant les pattes du plus proche, et la tête du suivant. Il continua de tourner, envoyant valser les deux qui s'étaient relever et s'étaient jetés sur lui en trépignant de rage. Le dernier eut la tête broyé par le poids de l'épée.

Rallen:...huit, neuf, dix. Encore la moitié...

Moitié qui hurlait et grognait en voyant leur semblables à terre. Ils foncèrent sur le jeune homme, qui souleva son arme et l’abattit devant lui, faisans trembler la terre. Perturbés, les giapreys hésitèrent. Un vola, laissant une traînée de sang derrière lui...

Rallen:Onze..

Trois eurent les têtes tranchés, plus ou moins proprement..."

Rallen: Douze, treize, quatorze...

[/i]Un fut écrasé par l'arme, et celui qui le suivait eut le droit à un coup de pied dans la mâchoire, avant d'être tranché.[/i]

Rallen: Quinze, seize...

Trois autres giapreys, trois autres cadavres: un la gorge emportée par un coup d'épée, un autre projeté avec tant de violence que son cou se brisa, et un troisième qui, croyant pouvoir prendre le jeune homme à revers, se prit l'épée quand il la fit passer dans son dos pour l'abattre sur le premier.

Rallen:Dix-sept, dis-huit, dix-neuf...

Le dernier giaprey tomba au sol, un couteau dans la tête.

Rallen: Et de vingt.

Il rangea son épée, se dépoussiéra et se dirigea vers la porte, attendant le verdict de l'examinateur.

Examinateur:...C'est bon. La première épreuve est un succès.

Rallen sortit de l'arène, tandis que son père hurlait quelque chose comme "C'est bien mon fils!" et que sa mère approuvait.

HRP : Bon, ça me parait pas mal pour la première épreuve, tu peux passer à la seconde ou passer directement à la troisième ^^

Les deux adolescents rentrèrent dans le hall, le nez en l'air pour voir si ils étaient au bon endroit.

Stella: Et m*rde je te l'avais dit qu'on devais aller à droite à l'embranchement mais tu m'as pas écouté.

Sol haussa les épaules d'un air entendu. Il pointa un monsieur du doigt.

Stella: Ok je vais lui demander... Excusez moi monsieur c'est ici l'examen des chasseurs.
Examinateur: Tout à fait vous comptez passer?
Stella: Oui j'ai un truc à faire ici. Quand est-ce qu'on commence?
Examinateur: C'est pas là.
Stella: Sol tu vas dans les gradins j'arrive toute de suite.

Sol se dirigea vers l'endroit d'où on pouvais voir le spectacle. Il sortit sa flûte de Pan pour jouer un petit air en attendant. Finalement après 5 minutes Il vit Stella foncer dans l'arène en criant:

Stella: C'est partiiiii!

Sol la regarda à la fois amusé et consterné. Heureusement pour elle qu'il s'agissait de petits montres sinon elle n'aurais eu aucune chance. La mélodie qu'il jouais changea du tout au tout. Stella regarda arriver ses invités.

Stella: Bon qu'on en finisse vite que je puisse faire ce pour quoi je suis réellement venue. Sol tu me couvre?

Elle n'eut pour toute réponse qu'une rapide mélodie.

Stella: Parfait merci.

Le combat commença. Le premier giaprey fit un seul pas un seul et elle se trouvais déjà sous sa gorge. Un rapide geste du bras et le monstre se retrouva décapité.

Stella: Si ils résistent tous comme ça ça va être rapide.

Elle se retrouva en moins de deux sous un autre giaprey qui finit comme le premier. Pendant ce temps deux monstres firent un bond sur elle. Trois notes aiguës firent réagir Stella qui fit un bond sur le coté. Les deux monstres se heurtèrent et restèrent sonnés pendant deux secondes, ce qui fut plus que suffisant pour qu'ils se retrouvent avec un joli trou dans le torse tout les deux. Stella se releva et remis sa lame dans son fourreau.

Stella: Que quatre? ça va être plus long que ce que je pensais en fait...ça fait rien.

Elle resta immobile les yeux fermés. Les giapreys curieux de ce comportement se rapprochèrent d'elle. Un bruit strident provint de Sol et à ce moment précis, elle dégaina d'un geste ample, tranchant les quatre giapreys qui se trouvaient à sa droite. Leur corps s'était à peine affaissés contre le sol qu'elle était déjà derrière deux autres dont elle trancha la gorge allègrement.

Stella:dix, plus que la moitié. On est à combien de temps Sol?

Trois la sortirent de sa flute.

Stella: Ok je note.

Elle tua encore trois giapreys en leur tranchant la gorge. Les spectateurs avaient du mal à suivre ses mouvements. Les chasseurs de monstres étaient un peu plus lents d'habitude. Elle tourna sur elle même pour esquiver une griffe et utilisa la force centrifuge pour découper le malheureux reptile qui voulais lui manger le bras. Un deuxième avais trébuché sur un caillou, elle lui transperça la tête en plantant son katana dedans.

Stella: Y'a pas a dire les petits monstres c'est trop simple.

Finalement elle fit face aux cinq derniers survivants qui l'avaient encerclée. Elle poussa un cri bref et un mouvement bizarre de son sabre fit miroiter le soleil dessus. On ne vit dans les gradins qu'un bref éclair lumineux du au soleil sur la lame. Elle rengaina son épée et les giapreys s'effondrèrent sur le sol, criblés d'entailles. Le spectateurs voulurent applaudir le spectacle mais elle était déjà repartie dans la loge. Sol se leva. Les choses commençaient. Il regarda partout, tout les gens qui se tenaient autour de lui. AH! Il était là, l'homme suspect. Propre sur lui mais son visage ne trompais pas. Il pouvais y lire un mélange d'anxiété et de méchanceté. Il se dirigea vers lui et fit tomber le verre de bière qu'il avais sur lui.

Homme suspect: TU NE PEUX PAS T'EXCUSER AU MOINS?

Sol mima le fait qu'il était muet. Il se pencha en signe d'excuse.

Homme suspect: Ouais, tu ferais mieux. T'as de la chance qu'il y aie du monde sinon je sais pas ce que je t'aurais fait.

L'homme se dirigea vers les toilettes pour laver ses vêtements poisseux à cause de l'alcool. Il se dirigeais dans le couloir quand un ombre se fondit derrière lui. Il put sentir le contact du métal froid contre sa gorge.

Stella: Georges Molek, dit docteur rathian. Spécialisé dans l'empoisonnement n'est ce pas?

L'homme déglutit rapidement, ce fut sa dernière déglutition. Il fut égorgé la seconde d'après. Sol finit par rejoindre Stella. Elle pris l'homme sur son épaule et se dirigea vers la sortie. L'examinateur les interpella.

Examinateur: bien joué mademoiselle vous pouvez participer aux autres épreuves. Mais qui est cet homme?
Stella: Georges Molek, hooligan recherché et tueur en série. On le ramène au commissariat pour la prime. Merci beaucoup, à la prochaine.

Les deux chasseurs de prime sortirent. Stella souriait tandis que Sol sifflotait un air entraînant.

HRP : Je suis conscient de mon retard inacceptable, mais, je l'avoue, j'avais complètement zappé le fait que je devait écrire ici. Encore désolé pour l'attente.

Aeon et Shakuhachi revinrent à l'école d’entraînement pour avertir l'examinateur. Celui-ci dormait sur une chaise devant le bâtiment de l'école. Les deux apprentis chasseurs s'approchèrent, mais l'examinateur ne se réveilla point. Shakuhachi eut une idée : Elle monta sur la chaise et souleva sa jupe au dessus du nez de l'examinateur endormit. Celui-ci, sentant une odeur étrange, ouvrit les yeux et vit les sous-vêtements de la jeune fille. Elle sauta en arrière avant que la chaise et l'examinateur tombent. Le nez de celui-ci coulait abondamment et il se vidait presque de son sang. Il repris ses esprits et se releva.

Examinateur, s'essuyant le nez : J'en déduis que vous êtes prêts pour la prochaine épreuve. Bref, veuillez prendre des fournitures dans le coffre là-bas et vous pourrez partir pour les monts enneigés. Bonne chance.

Shakuhachi : Pas besoin de fournitures. Allons-y mon brave Aeon.

Aeon : Oui mademoiselle.

Examinateur : Vous n'y arriverez pas sans fournitures. Même à deux.

Shakuhachi : Vous nous prenez pour qui au juste ? Ces bêtes ne sont que du menu fretin pour nous. Encore, si un Rathalos était présent, nous aurions peut-être prit des potions. Bon, allons-y.

Les deux individus s'engagèrent sur la route des monts enneigés. Une heure plus tard, ils étaient sur les lieux. Un grand lac bordé de verdure gelée où venaient s'abreuver quelques Popos prenait place devant leurs yeux. Ils admirèrent ce spectacle assez beau quelques secondes et ils commencèrent leur ascension vers le sommet, où se trouvait certainement un Giadrome. Il faisait très froid dans ces grottes, mais les deux apprentis chasseurs ne semblaient pas être gênés par cela. Un petit groupe de Giapreys s'approcha d'eux, mais ils furent tués très rapidement par un lancer bien cadré d'Aeon qui les cloua au mur. Aeon se baissa près d'une falaise pour ramasser un cristal gelé et il attrapa un morceau de lierre accroché à un mur. Il fit un anneau avec la lierre et y plaça le cristal.

Aeon : Tenez mademoiselle, un petit présent pour vous.

Shakuhachi : Oh, merci mon brave, c'est très aimable.

La jeune fille l'accrocha à son doigt et ils continuèrent leur chemin. Ils arrivèrent dans un espace surplombé de plusieurs falaises. Un énorme tronc d'arbre était bloqué dans une cavité, et on pouvait distinguer un nid sur celui-ci. Cet endroit ressemblait à un nid pour monstre. Un cri strident retentit dans la cavité, celui d'un Giaprey alpha. Il sauta d'une des falaises, accompagné d'une bonne dizaine de Giapreys prêts à combattre pour lui. Le combat allait enfin commencer. Shakuhachi décida de tuer les preys avant pour pouvoir plus facilement se concentrer sur le gros morceau. Les monstres encerclèrent très vites nos deux héros : c'était une tactique banale pour une meute. La jeune fille commença à jouer de son alboka. Aeon posa la main au sol. Des vibrations meurtrières commençaient à émaner de son corps. Il enleva son chapeau, révélant des cheveux d'un noir profond. Ils porta la main à ses lunettes et les enleva. Ses yeux étaient oranges, une couleur très peu banale pour des yeux. Une teinte rouge sang commença à envahir ses pupilles. Les pulsations meurtrières étaient de plus en plus intenses. Il prit une multitude de couteaux et engagea le combat avec en fond la musique de Shakuhachi. Il commença à trancher vivement deux Giapreys un peu isolés avec une rage folle. Un des monstres lui sautant dessus, il lui mit un coup de pied violent dans la mâchoire, l'envoyant au tapis. Il écrasa la tête de la pauvre bête ainsi envoyée au sol et se retourna. Huit créatures à abattre, et aucune limite de temps. Il monta sur le tronc en un saut et jeta trois couteaux dans un saut arrière qui allèrent se planter dans un ennemi. Tournant sur lui-même, il coupa deux des preys qui s'étaient approchés. Les peys et le drome coururent sur Shakuhachi, qui jouait tranquillement de son instrument. La jeune fille sauta en l'air et sortit un katana rétractable de sa manche. Elle retomba sur un monstre en lui tranchant la tête, tout en jouant à une main. La musique prit alors la mélodie de la Warden's Lullaby. Aeon avait saisit sa faucille et la fit tourner en l'air. Il saisit l'un des petits monstres et tira sur la chaîne, sectionnant la tête de celui-ci et se propulsant sur les trois ennemis restants. Un violent coup de coude mit un des prey hors combat. Il se propulsa en l'air après avoir accroché sa faucille sur une falaise et il lacéra le dernier sous-fifre d'un coup. Le chef de meute était désormais le seul restant. Il rugit de colère et sauta sur la jeune fille, mais se fit repousser aussitôt par un balayage de la chaîne d'Aeon, qui ne tarda pas à lui arriver dessus à toutes vitesses. Après avoir fait perdre l'équilibre au monstre alpha, il l'envoya dans les airs avec un coup de pied direct. Il fit alors tournoyer sa faucille dans tout les sens, créant une véritable tempête de lames. Le Giadrome ne put résister à ces lacérations continues et se fit tuer dans un pluie de sang. Son corps était méconnaissable. Aeon lécha la lame de sa faucille et remit ses lunettes et son chapeau. Les pulsations s'étaient arrêtées. Il marcha vers Shakuhachi et les deux personnes continuèrent leur ascension vers le sommet.

« BILLY !... NAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! »

Woops, erreur temporelle. Je reprends plus tôt.

Nashi se baladait encore tranquillement sur le dos de son petit giadrome domestique... domestique de son point de vue en tout cas... qui continuait à crier et à se balancer stupidement espérant se débarrasser du poids mort qu'il était forcé de se trimbaler depuis un petit moment. Il avait retrouvé partiellement la vue, suffisamment pour ne pas tomber ou se cogner inutilement, et semblait à la recherche d'une pierre assez stable pour y éclater son passager. Mais chaque essais était actuellement infructueux. Il n'était pas encore venu à l'idée du bestiaux de s'écrouler volontairement pour mettre à terre son cavalier avec lui et s’atteler à le déchiqueter dans la joie et la bonne humeur, mais c'était compréhensible après tout, c'était la première fois que le gia était dans cette situation, le pauvre... mais c'était tant mieux pour son joyeux compagnon dorsal !
Ça faisait bien trop longtemps qu'il n'avait pas chevauché, il en avait presque perdu la main... même si généralement ce n'était pas sur ce genre de bestiaux qu'il se baladait usuellement. Le beau temps, l'air frais de la montagne... un poil trop frais cela-dit. Le froid expliquait probablement la neige... ou l'inverse... Question de point de vue. Mais il se demandait tout de même si c'était le froid qui causait la neige, ou la neige qui causait le froid. Il se baladait rarement dans les étendues froides et glaciales des hauteurs... Les questions existentielles d'un clown sont pleines de mystères... la dernière fois c'était une histoire d’œuf et de poule d'ailleurs... pis ça avait fait tout un foins sur des dizaines de kilomètres à la ronde... Il faudrait qu'il se pose plus de question sur les œufs. En parlant d’œufs... Il se demandait si son machin bleu pouvait pondre... Il avait la dalle lui mine de rien... Il avait combien de recette pour les œufs déjà ? Avec les plantes de la régions, il pourrait faire de ces om...

L'animal vacilla, hurlant bien plus fort qu'à l'habitude, malgré son mors improvisé, et chût avec fracas, ce qui eu pour effet de faire sortir radicalement de ses pensées le dompteur du dimanche qui était juché sur le bestiaux. Il fut forcé de sauter, abandonnant son bâton de trapéziste, pour atterrir juste à côté de son gia, la gorge tranchée, s'étouffant dans un dernier râle...

Nanashi : « BILLY !... NAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! »

Le clown s'était positionné de la façon la plus caricaturale qu'il eut été possible sans se mettre à genoux. Les deux bras tournés vers le ciel, en crois, légèrement plus appuyé sur sa jambe droite, pliée, tandis que la gauche était raide derrière. Sur ce tout était posé la tête qui allait parfaitement avec le reste, la bouche grande ouverte, les yeux légèrement fermés, le visage globalement crispé. Puis l'instant d'après, il se tournait, le plus calme et tranquille du monde, vers le bretteurs qui pointait avec étonnement sa lame pleine de sang vers lui, tandis que notre clown en deuil annonçait avec le plus grand sourire du monde :

Nanashi : « Enchanté de vous rencontrer ! C'est fou comme une montagne isolée et inhabitée par toute forme de vie humaine peut abriter des rencontres surprenantes, n'est-ce pas ? Moi c'est Nashi, comme un nacho mais avec un i. Sinon, vous faites quoi ici, Psycho-épée-man ? »

Dans un gag, le jeu se doit toujours d'être parfait, et ce n'est pas un clown qui irait l'oublier. Et le visage du bretteur valait tout l'or du monde !

Après quelques instants de réflexions, le sabre toujours levé, Sabroman finit par parler, un peu désappointé :
Épée-man « Qu'est-ce qu'un guignol comme toi vient faire ici ?
Nanashi : Aucune idée ! Enfin si... mais j'ai oublié... Mais c'est pas important, je retrouverais bien sur le chemin... peut-être... avec de la chance... Ça te dit une brochette de Billy ?
Sabro-man : Je préférerais manger mes orteils que de goûter à cette chose.
Nanashi : Plus pour moi ! Et sinon toi tu fais quoi ici ?
Mini-Katana-man : Je suis venu mettre un terme à l'existence de la chose que tu vois sous l'arbre là-bas. »

En effet, plus loin sous un arbre gisait un Billy bis, les yeux crevés jusqu'au fond du crâne. Un triste sort pour la pauvre bête... Encore plus de brochettes !

Nanashi : « Donc ton job est terminé ?
Sabrosansgoût : Non, il me reste encore deux de ces saloperies à tailler en pièces.
Nanashi : Un coup de main ? Ça tombe plutôt bien, j'vais en profiter pour me réapprovisionner en viande ! Les plantes c'est cool et ça croque bien sous la dent, mais la viande reste quand même une base solide sur laquelle tout être humain devrait se baser. Après tout, il est bien connu que le sang a des vertus pacificatrices, est bon pour la peau, ne pique pas les yeux, évite les nœuds,a un goût de mayonnaise, fait un bon bain de bouche, fait de belle peintures, rajeunis le teint, est un laxatif efficace, est un bon constipant, permet une tenue capillaire parfaite parce que nous le valons bien, est un aphrodisiaque reconnu, est un bon lu...
Psycho-katana : Et si je te dis de la fermer..? Bref… Si tu veux venir, montre moi avec quoi tu sais te battre.»

Il lui fallait réellement envisager d'arrêter de penser à voix haute. Très néfaste à la communication. Sans en dire plus, il sorti ses quilles et les tendis devant lui, avec un grand sourire.

Sabreur-râleur : Mon dieu, mais c'est pas des armes, ça ! Même un gamin trouverait ridicule d'essayer de se battre avec des daubes de ce style … Je me casse, j'ai pas besoin d'un clown dans ton genre.

Nanashi : Attend ! »

Ne pas utiliser ses quilles lors d'un combat lui ferait très mal, mais bon, il n'avait pas réellement le choix si il voulait continuer à faire ses bleus. Il rangea à la va-vite ses joujoux, pour en tirer son... arc ?
Dans la main du clown, un bout de bois, tranché en deux dans ce qui semblait avoir été une poignée, ne tenait ensemble que grâce à sa fine corde. Le bois rongé par le temps, une moitié se balançait au bout de sa corde, naturellement, pendule de bois ne semblant tenir que par la force de sa volonté, dont l'attache fine à son autre extrémité ne saurait être perceptible sans un œil aiguisé... Bout de bois que semblait ne pas avoir sa place dans l'étendue blanche immaculée de neige, seul objet réel dans une mer de lumière, relique dans ce qui semblait le bain originel...

? : « Tu me réponds quand je te pose une question ?»

Se détournant de l'arc, de grands yeux de poissons se mirent à fixer Sabros. Des exercices de concentration semblaient réellement nécessaire... mais qu'importe. Il rangeait rapidement son arc, accompagnant son geste d'une négation de la main, pour souligner son erreur, tirant ensuite une vraie arme. Un arc de bois, taillé de la main d'une vieille connaissance, à la corde tendue comme un jeune bambin qui patiente pour l'arrivée de la grande parade du carnaval et de sa mascotte l'ours.

Il lui sembla tout à coups qu'il se sentait réellement heureux que personne ne puise lire dans son esprit. Il lui fallait désormais revoir toutes ses métaphores pour éviter les paroles trop ambiguës lors de discussions... Les exercices de concentrations restaient la priorité.

Le bois était tracé de belles sculptures, de courbes, de quelques image, notamment deux masque, l'un riant et l'autre en pleurs, souvent utilisé pour des cirques et autres carnavals. Malgré les images à thème du cirque, l'arc restait sobre et fin, sans exagération, sans abus sur les signes, aucun ballon, aucun clown dessiné en entier, et certaines illustration étaient si fines quelles n'étaient perceptible qu'en regardant de près. La poignée ressortait en relief du reste de l'arc. Les bordure de celle-ci étaient légèrement peintes, donnant ainsi un aspect doré au bois. Son intérieur quand à lui n'était qu'une superposition de couche de papier au dessus du bois, le même papier fais main que celui des bombes de Nana.
Suivant l'arc de près, avec son autre main il sortit de son sac quelques flèches de bois, taillées main, sans silex ou autre pierre à son extrémité, juste les bouts de bois taillés en pointes. Il empruntait souvent les ateliers des menuisiers qu'il trouvait, même si cela n'était par forcément nécessaire, pour que ses flèches soient lisses. Les plumes quand à elles provenaient de différents oiseaux qu'il avait chassé, ou simplement offerte par les villages qu'il traversait. Être un clown a ses avantages !
Il rangea ses flèches dans une poche sur la droite de son sac, pour les avoirs accessibles sans fouiller les recoins de son bric-à-brac, puis se tourna vers Mister je-garde-mon-épée-pointée-sur-toi-au-cas-où, avec un grand sourire, attendant de savoir si cela ferait l'affaire.

Épée-man «Aller, bouge toi de me suivre, je veux en finir avec cette chasse ridicule... »

A ces mot, Épée-man rengaina ses lames et siffla, se faisant entendre à des centaines de mètres à la ronde à travers la montagne. Quelques instant plus tard, un aigle... ou un vautour.... bref, un piaf vint rejoindre son maître-épée et se posa sur son épaule.

La route pouvait enfin reprendre, dans la joie et la bonne humeur !

Rallen faisait les cent pas dans le hall. Il était prêt depuis un moment, trop stressé pour faire autre chose.

"Qu'est-ce qu'on va faire? Et qui va m'aider...."

Deux jeunes gens rentrèrent dans le hall. L'un était un jeune homme tenant une flûte, et l'autre une jeune fille qui semblait assez enthousiaste.

Jeune fille: Alors...Ah!

Elle vit Rallen et s'approcha de lui, le jeune homme à la flûte la suivant. Celui-ci souffla quelques notes.

Jeune fille: Il te demande si c'est toi qui participe à la seconde épreuve.

Rallen: Euh...oui c'est moi.

Le jeune homme à la flûte souffla une autre note.

Jeune fille: Il te dit "Salut". Lui c'est Sol. Je m'appelle Stella.

Rallen: En..enchanté. Je m'appelle Rallen.

Stella: Oh, et excuse-le si il ne dis rien. Il est muet.

Rallen: Muet? Alors la flûte...

Sol souffla à nouveau.

Stella: Il dit que c'est pratique d'avoir le goût de la musique.

L’examinateur s'approcha d'eux.

Examinateur: Apparemment vous êtes tous là...Un dirigeable vous attend. Il vous poseras au camp dans la montagne voisine.

Stella: Et on doit faire quoi une fois là-bas?

Examinateur: Il y a 4 giadromes dans cette zone. Tuez-les, et rapportez leurs crètes.

Stella: Rien de plus facile. Sol, Rallen! On y va.

Sol joua une note pour approuver.

Rallen: Euh...oui.

Les trois aspirants se dirigèrent vers les dirigeables.

-----Devant la porte devant l'arène---Après-midi-----
L'entraineur était avec son assistant attendant l'arrivé de nouvelles recrues. En fait, l'entraineur dormait et son assistant guettait l'arrivé de nouveaux venus. Et là, un jeune homme sortit de nulle part apparu devant l'entraineur qui fût réveiller par son assistant.
"-Entraîneur: Bonjour petit, tu es venu passé l'examen?
-???:Oui! Mon nom est Constantin monsieur, ravie de vous rencontrer!
-Entraîneur: Je vois que tu es bien motivé! J'aime ça! Maintenant suis mon assistant il va te conduire à un endroit où tu pourras te préparer. Un conseil ne meurs pas.
-Constantin: Je n'ai pas peur de la mort!"
Constantin suivi l'assistant qui le conduisit vers une grande salle où plusieurs armes et armures y était exposée.
"-Assistant: Tu peux prendre une arme et une armure si tu veux mais, tu devras la rendre à la fin de l'épreuve.
-Constantin: Non merci, j'ai foi en mon arme et mon armure que j'ai hérité de mes parents!
-Assistant: Fais comme tu veux."
-----10 minutes plus tard---Devant la porte de l'arène-----
"Constantin: C'est enfin le moment tant attendu je vais devenir un vrai chasseur. Allez, c'est parti!"
Les portes s'ouvrirent, le hunter entra et une foule en délirent l'acclama, c'était le village entier qui était dans les tribunes. Une autre grande porte s'ouvrit et une meute de Giapreys en sortit, ils étaient 20 en tout. Constantin sortit son arc et le pointa en direction des cibles, il tira une salve de 5 flèches qui se plantèrent dans 5 Giapreys qui moururent sur le coup. Un quart de la meute venait d'être éliminer. 2 Giapreys s'approchèrent, le hunter donna un coup de pied à l'un d'eux qui s'envola dans les airs, il sauta sur l'autre, il arriva sur son dos et bondit encore une fois il arriva au-dessus du 1er Giaprey, d'autres de ces monstres se rapprochèrent. Le chasseur tira un nouvelle salve qui élimina cette fois 7 Giapreys. Il en restait 8, et 6 minutes. Ils commencèrent alors à réfléchir et se mirent à l'encercler. Ils foncèrent sur Constantin qui tira en l'air de façon à se que les flèches retombent presque toutes au même endroit. Il lança une bombe de fumée et on ne vit plus rien. Les retombèrent dans la fumée, on ne savait pas se qu'il se passait. Quand Constantin sortit de la fumée d'un façon assez détendu, comme si le combat était déjà terminé. Mais un Giaprey avait survécu à la pluie de flèches et sauta sur Constantin dans son angle mort, le hunter pris une flèche, se retourna et trancha le monstre. Le Combat était terminé. La fumée se dissipât laissant voir une scène des plus terrifiantes, des Giapreys de partout ensanglantés, un vrai carnage. Tous le village était heureux. Constantin se qualifia ainsi pour la 2ème épreuve. Il fallut attendre encore 3 jours avant que le 1er tour de l'examen se termine, le passage des participants était désigné selon l'ordre à laquelle ils étaient arrivés, mais, cette fois ce sera en fonction de la performance qu'ils avaient effectué.

HRP : Tu peux continuer ^w^

-----Porte du village---Matin-----
"-Constantin: Géniale!! Je suis arrivé à la 2ème épreuve!
-Entraîneur: Bonjour tous le monde! Tout d'abord, je tiens à vous félicitez pour votre passage à la 2ème
épreuve! Vous étiez au départ 200, malheureusement, vous n'êtes plus que 150. Et oui lors de l'épreuve il y a eu 50 mort, c'est triste mais au moins ils seront mort dans l'honneur. Maintenant laissez moi vous expliquez la 2ème épreuve de cet examen. Vous prendrez tous un de ces sacs, chaque sac contient une carte, un manuel ainsi qu'une liste de composants que vous devrez ramener. Attention un Kezhu qui rode... Bon, maintenant, mon assistant va
annoncer l'ordre de passage, vous partirez vers les monts enneigés un par un toutes les 5 minutes. Sur ce, bonne
chance!!
-Assistant:Constantin!
-Constantin:Oui! J'y vais!!"
Constantin prit un sac et partit. Il ne lui fallu pas longtemps avant de trouver un Popo qui errait seul, il avait dût
être séparé du groupe, ce fût une parfaite occasion de chasser sans être déranger par un autre herbivore. Le hunter s'approcha doucement du monstre et le coupa en 2 à l'aide de son katana en acier, se n'était peut-être qu'un simple katana, mais il avait tout de même un bon tranchant. Il lui coupa la langue, prit un peu de viande qu'il mit dans son sac pour plus tard et un os. Il continua sa route en direction des montagnes, au pied de la montagne, il trouva un troupeau d'Antekas. Il s'approcha doucement, un des Antekas du groupe sentit Constantin se rapprocher et il le pourchassa, une fois isolé, le chasseur planta son katana dans son crâne, l'herbivore mourût. Il lui arracha les 2 cornes et repartit pour le sommet, il escalada la montagne, durant sa monté il ramassa 10 herbes, à mi-chemin du sommet, il arriva devant une grotte où s'y trouvait 3 herbes de montagnes, il les prit et entra dans la caverne. Il arriva à un nid de carnivores mais il n'y avait ni œufs de carnivores, ni de Giapreys, il trouva par contre des champignons, il réussit à en ramasser 10. Grâce au manuel qu'il avait eu comme fourniture, ses chances de combinaisons étaient augmentés et réussit à avoir les 10 potions qu'il devait ramener. Il escalada le mur et arriva sur un passage étroit menant vers le sommet, ce fût là qu'il vit une fissure dans un mur, il ramassa une pierre et la combina à l'os prit au Popo et il en résultat une pioche, qui, grâce à elle lui permit de miner. Un fragment bleue, le hunter la ramassa et vit que c'était un cristal glacé. Cela faisait 15 minutes que l'épreuve avait commencé et il ne lui restait que 2 herbes de montagnes et une larve de Kehzu. En parlant du Kehzu, il n'était toujours pas apparu, ce qui fût mauvais signe pour la suite. Il continua son chemin et se retrouva à la sortie de la grotte où il trouva une fois de plus des herbes de montagnes, il en ramassa 2. Il ne lui restait maintenant plus que la larve de Kehzu, il se trouvait sur le chemin de la victoire.

Il sortit finalement de la grotte et ne vit qu'une vaste plaine blanche. Il devait se diriger vers le sommet, il commença alors la montée. Après 5 minutes de marche, il arriva au sommet, mais il devait encore escalader le pic de la montagne se qu'il fît. Cela ne dura pas longtemps, environ 2 minutes. Le hunter se trouvait désormais au sommet des monts enneigés, mais il vit quelque chose d'incroyable. Un monstre se trouvait là ou plutôt le corps d'un monstre sans vie. En examinant de plus près, il s'aperçu que ce n'était pas un corps mais une mue de monstre. Il se souvint que ses parents lui racontait chaque fois qu'ils revenait leurs batailles et qu'un jour ses parents lui dire qu'ils avait affrontés un monstre qui muait au fil de sa vie et qui maîtrisait le vent, son nom, Kushala Daora. En s'approchant se la mue du Kushala Daora, il vit une chose extraordinaire, des larves de Kezhu se trouvait à l'intérieur. Il en prit une et la mit dans son sac, puis il tomba à terre, une douleur parcourait ses pieds, il était paralysé. Le chasseur réussi tout de même à tourné sa tête pour voir son assaillant, qui fût nul autre, que le Kezhu. Ce monstre avait dût rester là pendant tous ce temps afin de protéger sa progéniture. Le Kezhu étant assez près de l'homme à terre, chargea sa puissance afin de crée son mur électrique. Constantin put à temps se libérer de sa paralysie, et esquiver l'attaque. Il dégaina son arme et fonça sur le Kezhu en le blessant au torse. Le monstre visqueux s'énerva et essaya de mordre le hunter, mais, lui, fonça vers le monstre et glissa en dessous en continua de le trancher. Constantin profita de l'occasion pour essayer de s'enfuir, il glissa et descendit le pic de la montagne sur les fesses à toute allure. Le Kezhu s'était envolé pour pouvoir attérir en douceur. Le monstre flasque prépara sa triple boule électrique et au moment de la lançer. Le hunter mit son katana dans la gueule du monstre, quelques secondes plus tard tomba à terre. Le jeune hunter ne savait pas si le Kezhu était mort et il ne voulait pas le savoir. Il s'en alla vers le village, en courant à toute vitesse, tous les composants dans son sac.
-----Porte du village---Midi-----
"-Constantin: C'est bon entraineur, j'ai tous les composant!! Pourquoi il n'y a personne ici?
-Entraineur: C'est géniale petit, personellement je ne t'en croyais pas capable. Au fait justement tous le monde à refuser de faire cette épreuve, parce qu'en réalité elle n'était pas obligatoire.
-Constantin: Quoi???!!! Mais pourquoi vous ne m'avez rien dit?
-Entraineur: J'ai voulu te le dire mais tu étais déjà parti à toute allure, je n'ai donc pas pu le dire.
-Constantin: Cela veut dire... Que j'ai fait tout cela pour rien!!!
-Entraineur: La dernière épreuve se déroulera cette après-midi pense à bien te reposer.
-Constantin: D'accord!"
Sur ce Constantin alla manger.
-----Hall---Après midi-----
"-Examinateur:Apparemment vous êtes tous là... Un dirigeable vous attend. Il vous poseras au camp dans la montagne voisine. Il y a 4 giadromes dans cette zone. Tuez-les, et rapportez leurs crètes.
-Constantin: Je sens que cela sera géniale!"
Constantin se dirigea vers les dirigeables pret à mener une dernière bataille.

HRP: Attendez attendez il vient avec nous ou pas? mais je parlais pas de la quête kut ku et garuga je parlais de blacksusanoo et moi pour les exams de chasseurs. J'ai Stella et Sol qui passent aussi. Je voulais savoir si je le mettais dans le post ou pas.

HRP : Excellente question. Une fois qu'il aura fini l'examen, je pense qu'il pourra rentrer dans la quête, un peu en retard mais présent quand même.