Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
+15
Hai
Playback9[Aka Ratzinouny]
Heroes
Zengestu
juju4
ribouille
Elthin
.:°Ichi°:.
Allman
DJWA
Conan2
Redwerewolf
Magistic
Shiranui
Ortimore
19 participants
Page 2 sur 3
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Merci, le chapitre 4 sera pour se soir assez tard normalement car j'ai pas été là cet aprem ^^ Voila, il faut juste que je le mette en forme et je le post :Ok:
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Bon voila je post, en cachette mais je post ^^ le 4eme chapitre (je pense à mes fans x) ) de ma fic. Voila, place à la lecture :
Partie 1, Chapitre IV
Le sommeil d’Aëron fut des plus agité, plein de cauchemars. Elle resta inconsciente pendant plusieurs longues heures et lorsqu’elle se réveilla en hurlant et en sueur suite à un terrible cauchemar dans lequel elle avait vu sa famille souriante ainsi que les autres habitants du village juste avant qu’un dragon n’arrive et brûle tout le village.
Le soleil était déjà haut dans le ciel. Aëron suffoquait et son cœur battait la chamade, elle vit alors que le brasier du village s’était presque éteint totalement. La jeune chasseuse calma son rythme cardiaque en soufflant plusieurs fois, puis elle se releva et regarda son père toujours allongé, le cœur de Derick battait encore mais toujours plus faiblement. La vive douleur étreignait toujours Aëron ce qui ne fit que la faire désespérer encore plus. Voyant alors que le feu avait presque disparu elle retourna dans le village.
Lorsqu’elle arriva devant le village, Aëron constata que plus aucun bâtiment n’était debout sans exception, quelques petits foyers ne s’étaient pas encore éteints et de lourdes fumées noires émanaient de certaines ruines. Le sol craquait sous les pieds d’Aëron à cause des braises, des cendres et des débris de bois calcinés qui jonchaient le sol de tout le village. La vue de ce paysage d’horreur et de désolation rappela à Aëron ses cauchemars, ce qui la fit frissonné d’effroi, elle chassa immédiatement ces pensées de sa tête avant de décider de retourner à sa maison.
L’état de la maison en bois ne s’était pas arranger mais avait plutôt empirer. Elle pénétra à l’intérieur, sentant le sol de brûlé craquer sous ses pieds. Elle recommença à appeler sa mère avec espoir mais toujours aucunes réponses. Alors elle sortit et parcourut le village de part en part en appelant une quelconque personne, sans réponses non plus. Le désespoir et les larmes revinrent en Aëron mais elle essaya tant bien que mal de les oublier, elle se rendit alors dans les magasins dont toutes les marchandises avaient brûlées excepté une potion par ci, une pierre par là. Elle ramassa donc tout ce qu’elle pu.
Après avoir ramassé tout ce qu’elle pu, Aëron se rendit à l’armurie mais le feu continuer de brûler faiblement dans ce bâtiment, elle s’y engagea alors prudemment. Elle partit chercher dans tout le magasin une armure plus satisfaisante que la sienne. Elle en trouva une magnifique, c’était une armure toute en écailles, presque semblable à son père, mais d’une couleur bleu azur. Elle l’enfila aussitôt, satisfaite de sa nouvelle armure, lorsqu’elle voulut sortir du bâtiment une grosse poutre enflammée s’écrasa à coté d’elle dans une explosions de braises. Elle leva les yeux et vit avec surprise que tout le toit était à deux doigts de s’effondrer, une autre poutre tomba dans un grand craquement qui en entraîna d’autre. Aëron sortit à toute jambes du bâtiment ce qui lui fit pousser un cri de douleur et faillit la faire trébucher et une dizaine de secondes après qu’elle soit sortit, le toit entier s’effondra dans un craquement à glacer le sang et une explosion de braises et de fumée. Aëron soufflant un bout coup retourna à l’entrée du village en pensant à ce qui serait arriver si elle n’avait pas lever les yeux ou qu’elle aurait trébuché en sortant du bâtiment.
Lorsqu’elle fut arrivée à l’entrée du village, elle bondit de joie. Son père était assis sur une grosse pierre non loin de n’endroit où il était couché lorsque Aëron était partit. Son père, en la voyant sourit et s’approcha pour l’entrelacer dans ses bras.
- Oh … Aëron ! Tu m’as tellement … manqué ! Tu m’as fait … si peur ! La voix de Derick avait beau être pleine de joie, elle n’en était pas moins faible.
- C’est plutôt toi qui m’as fait peur, papa ! Sanglota Aëron en le serrant dans ses bras aussi fort qu’elle pu. Qu’est ce qu’il t est arrivé ?? Quel était ce dragon noir ?
- Alors … en fait tout a commencer lorsque tu as chuté :
Je luttais contre les trois derniers congas mais j’étais déjà légèrement blessé, je réussis à en tuer un avant de remarquer qu’un d’autre eux grimpait pour te rejoindre. Je me suis alors précipiter pour te prévenir mais une des bêtes me jeta à terre en me retournant une cheville. Je me mit donc a combattre les deux derniers congas avec autant de vitesse que je pu mais le conga fut plus rapide que moi et te fit basculer dans le vide. Je ne fut pas assez rapide pour te rattraper, ce faisant je ne fut que me faire de plus belle attaquer par les singes qui me mirent de plus en plus en difficulté. Finalement je réussis à tuer un des derniers primates mais le dernier se montra très coriaces de plus j’étais déjà bien blessé. J’étais aux prises avec le dernier conga lorsque j’entendit de grands battements d’ailes et une puissante odeur de souffre. Je reconnut alors une sombre aura qui me fut familière mais je ne la reconnu point dés le début. Se fut lorsque je vis le fameux dragon que je la reconnus. C’était un Narzwel, une des créatures les plus anciennes des temps. Leurs légendes son nombreuses et toutes aussi macabres et terribles les unes que les autre. J’aurais pourtant parié qu’ils avaient tous disparus et que tout ceci s’arrêterait … mais non … apparemment ils sont de retour de nouveau. Lorsque j’ai reconnu le Narzwel je me suis jeter à l’abri derrière un buisson, pensant qu’il ne me repairerait pas … tu étais déjà inconsciente lorsque le Narzwel est arriver … Cette créature vicieuse à d’abord fais semblant de ne pas m’avoir repairer mais un Narzwel possède de très grands pouvoirs psychique aux usages nombreux mais jamais bienfaisants … Il a commencer à dévorer les congas restant avant de se ré envoler … j’aurais du me méfier mais j’avais les esprits trop embrouillés pour bien réfléchir … je me suis alors précipiter vers toi à découvert puis là … je ne me souviens plus de rien … je te laisse deviner ce qu’il s’est passer …
Derick termina son récit par un gros toussotement, il avait utilisé presque toutes ses dernières forces pour parler à sa jeune fille. Durant son récit il avait été souvent incapable de prononcer de mot à cause de la fatigue ou par un toussotement. Le père d’Aëron le cachait plutôt bien mais devais être proie à une terrible douleur, pire que celle d’Aëron.
- Mais … mais … Aëron était bouche bée, incapable de prononcer la moindre mots tant sa stupeur était grande. Elle s’était réveiller le matin-même dans l’idée de chasser des wyverns et la voila confronter à une des créature les plus redoutable du monde …
Aëron remarqua soudain que son père commencer à fermer les yeux.
- Papa ! Papa !! Reste avec moi ! Papa !!! S’inquiéta la jeune chasseuse voyant son père perdre de nouveau connaissance. Papa !!!!!!
- Aëron … n’oublie … n’oublie jamais … que … je … t’aimerais … toujours … Rend toi au village de … au village le plus proche que … que tu puisse trouver … fait attention … à toi … je … je t’aime … Aëron. Les dernières paroles de Derick n’étaient plus qu’un très léger souffle juste avant qu’il ne perde connaissance.
- Papa !! Non !! Reste !! Je t’en supplie reste avec moi !!!! Papa !
Aëron commença à vérifier le pouls de son père avec espoir … mais elle ne sentit rien …
- NONNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!! Fut la seule chose qu’Aëron parvienne à dire avant qu’elle n’éclate en sanglot tandis que tout dans sa tête se mélanger : la tristesse, la peur, l’amour, la vengeance, la colère, les bons moments passés avec sa famille, les chasses, ses amis, … Toutes ces choses se mélangèrent laissant Aëron seule avec son père mort dans les bras.
- Ils me le paierons … Ces mots sortirent avec une telle méchanceté mais pourtant si bas qu’Aëron fut presque étonné de les avoir entendu d’elle-même.
Voila, toujours désolé de ne pas avoir trouvé comment on met les alinéas
Bonne nuit
Partie 1, Chapitre IV
Le sommeil d’Aëron fut des plus agité, plein de cauchemars. Elle resta inconsciente pendant plusieurs longues heures et lorsqu’elle se réveilla en hurlant et en sueur suite à un terrible cauchemar dans lequel elle avait vu sa famille souriante ainsi que les autres habitants du village juste avant qu’un dragon n’arrive et brûle tout le village.
Le soleil était déjà haut dans le ciel. Aëron suffoquait et son cœur battait la chamade, elle vit alors que le brasier du village s’était presque éteint totalement. La jeune chasseuse calma son rythme cardiaque en soufflant plusieurs fois, puis elle se releva et regarda son père toujours allongé, le cœur de Derick battait encore mais toujours plus faiblement. La vive douleur étreignait toujours Aëron ce qui ne fit que la faire désespérer encore plus. Voyant alors que le feu avait presque disparu elle retourna dans le village.
Lorsqu’elle arriva devant le village, Aëron constata que plus aucun bâtiment n’était debout sans exception, quelques petits foyers ne s’étaient pas encore éteints et de lourdes fumées noires émanaient de certaines ruines. Le sol craquait sous les pieds d’Aëron à cause des braises, des cendres et des débris de bois calcinés qui jonchaient le sol de tout le village. La vue de ce paysage d’horreur et de désolation rappela à Aëron ses cauchemars, ce qui la fit frissonné d’effroi, elle chassa immédiatement ces pensées de sa tête avant de décider de retourner à sa maison.
L’état de la maison en bois ne s’était pas arranger mais avait plutôt empirer. Elle pénétra à l’intérieur, sentant le sol de brûlé craquer sous ses pieds. Elle recommença à appeler sa mère avec espoir mais toujours aucunes réponses. Alors elle sortit et parcourut le village de part en part en appelant une quelconque personne, sans réponses non plus. Le désespoir et les larmes revinrent en Aëron mais elle essaya tant bien que mal de les oublier, elle se rendit alors dans les magasins dont toutes les marchandises avaient brûlées excepté une potion par ci, une pierre par là. Elle ramassa donc tout ce qu’elle pu.
Après avoir ramassé tout ce qu’elle pu, Aëron se rendit à l’armurie mais le feu continuer de brûler faiblement dans ce bâtiment, elle s’y engagea alors prudemment. Elle partit chercher dans tout le magasin une armure plus satisfaisante que la sienne. Elle en trouva une magnifique, c’était une armure toute en écailles, presque semblable à son père, mais d’une couleur bleu azur. Elle l’enfila aussitôt, satisfaite de sa nouvelle armure, lorsqu’elle voulut sortir du bâtiment une grosse poutre enflammée s’écrasa à coté d’elle dans une explosions de braises. Elle leva les yeux et vit avec surprise que tout le toit était à deux doigts de s’effondrer, une autre poutre tomba dans un grand craquement qui en entraîna d’autre. Aëron sortit à toute jambes du bâtiment ce qui lui fit pousser un cri de douleur et faillit la faire trébucher et une dizaine de secondes après qu’elle soit sortit, le toit entier s’effondra dans un craquement à glacer le sang et une explosion de braises et de fumée. Aëron soufflant un bout coup retourna à l’entrée du village en pensant à ce qui serait arriver si elle n’avait pas lever les yeux ou qu’elle aurait trébuché en sortant du bâtiment.
Lorsqu’elle fut arrivée à l’entrée du village, elle bondit de joie. Son père était assis sur une grosse pierre non loin de n’endroit où il était couché lorsque Aëron était partit. Son père, en la voyant sourit et s’approcha pour l’entrelacer dans ses bras.
- Oh … Aëron ! Tu m’as tellement … manqué ! Tu m’as fait … si peur ! La voix de Derick avait beau être pleine de joie, elle n’en était pas moins faible.
- C’est plutôt toi qui m’as fait peur, papa ! Sanglota Aëron en le serrant dans ses bras aussi fort qu’elle pu. Qu’est ce qu’il t est arrivé ?? Quel était ce dragon noir ?
- Alors … en fait tout a commencer lorsque tu as chuté :
Je luttais contre les trois derniers congas mais j’étais déjà légèrement blessé, je réussis à en tuer un avant de remarquer qu’un d’autre eux grimpait pour te rejoindre. Je me suis alors précipiter pour te prévenir mais une des bêtes me jeta à terre en me retournant une cheville. Je me mit donc a combattre les deux derniers congas avec autant de vitesse que je pu mais le conga fut plus rapide que moi et te fit basculer dans le vide. Je ne fut pas assez rapide pour te rattraper, ce faisant je ne fut que me faire de plus belle attaquer par les singes qui me mirent de plus en plus en difficulté. Finalement je réussis à tuer un des derniers primates mais le dernier se montra très coriaces de plus j’étais déjà bien blessé. J’étais aux prises avec le dernier conga lorsque j’entendit de grands battements d’ailes et une puissante odeur de souffre. Je reconnut alors une sombre aura qui me fut familière mais je ne la reconnu point dés le début. Se fut lorsque je vis le fameux dragon que je la reconnus. C’était un Narzwel, une des créatures les plus anciennes des temps. Leurs légendes son nombreuses et toutes aussi macabres et terribles les unes que les autre. J’aurais pourtant parié qu’ils avaient tous disparus et que tout ceci s’arrêterait … mais non … apparemment ils sont de retour de nouveau. Lorsque j’ai reconnu le Narzwel je me suis jeter à l’abri derrière un buisson, pensant qu’il ne me repairerait pas … tu étais déjà inconsciente lorsque le Narzwel est arriver … Cette créature vicieuse à d’abord fais semblant de ne pas m’avoir repairer mais un Narzwel possède de très grands pouvoirs psychique aux usages nombreux mais jamais bienfaisants … Il a commencer à dévorer les congas restant avant de se ré envoler … j’aurais du me méfier mais j’avais les esprits trop embrouillés pour bien réfléchir … je me suis alors précipiter vers toi à découvert puis là … je ne me souviens plus de rien … je te laisse deviner ce qu’il s’est passer …
Derick termina son récit par un gros toussotement, il avait utilisé presque toutes ses dernières forces pour parler à sa jeune fille. Durant son récit il avait été souvent incapable de prononcer de mot à cause de la fatigue ou par un toussotement. Le père d’Aëron le cachait plutôt bien mais devais être proie à une terrible douleur, pire que celle d’Aëron.
- Mais … mais … Aëron était bouche bée, incapable de prononcer la moindre mots tant sa stupeur était grande. Elle s’était réveiller le matin-même dans l’idée de chasser des wyverns et la voila confronter à une des créature les plus redoutable du monde …
Aëron remarqua soudain que son père commencer à fermer les yeux.
- Papa ! Papa !! Reste avec moi ! Papa !!! S’inquiéta la jeune chasseuse voyant son père perdre de nouveau connaissance. Papa !!!!!!
- Aëron … n’oublie … n’oublie jamais … que … je … t’aimerais … toujours … Rend toi au village de … au village le plus proche que … que tu puisse trouver … fait attention … à toi … je … je t’aime … Aëron. Les dernières paroles de Derick n’étaient plus qu’un très léger souffle juste avant qu’il ne perde connaissance.
- Papa !! Non !! Reste !! Je t’en supplie reste avec moi !!!! Papa !
Aëron commença à vérifier le pouls de son père avec espoir … mais elle ne sentit rien …
- NONNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!! Fut la seule chose qu’Aëron parvienne à dire avant qu’elle n’éclate en sanglot tandis que tout dans sa tête se mélanger : la tristesse, la peur, l’amour, la vengeance, la colère, les bons moments passés avec sa famille, les chasses, ses amis, … Toutes ces choses se mélangèrent laissant Aëron seule avec son père mort dans les bras.
- Ils me le paierons … Ces mots sortirent avec une telle méchanceté mais pourtant si bas qu’Aëron fut presque étonné de les avoir entendu d’elle-même.
Voila, toujours désolé de ne pas avoir trouvé comment on met les alinéas
Bonne nuit
Dernière édition par Ortimore le Lun 5 Mai 2008 - 23:14, édité 1 fois
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
génial vivement la suite
Redwerewolf- Nombre de messages : 283
Age : 36
Localisation : avec le pépé des marais
Rang : dealeur de felvine hr9 livraison a toutes heures
X-Tag : spike62
Date d'inscription : 28/03/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Sérieux ...
C'est la meilleur fic que je n'aie jamais lu !
Elle est vraiment trop bien cette fic, continue comme ça, ne t'arrête surtout pas !
J'attends la suite avec une grande impatience !
C'est la meilleur fic que je n'aie jamais lu !
Elle est vraiment trop bien cette fic, continue comme ça, ne t'arrête surtout pas !
J'attends la suite avec une grande impatience !
Dernière édition par Allman le Sam 3 Mai 2008 - 20:33, édité 1 fois
Allman- Nombre de messages : 55
Age : 32
Localisation : Suisse =D
Rang : HR7
X-Tag : Allman
Date d'inscription : 22/03/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Ben voila, devant les acclamations du public je post alors le 5eme chapitre de ma fic. C'est le dernier que j'ai terminé (je suis en ce moment en train d'écrire le chapitre 6). Aussi, le chapitre 5 est le dernier de la première partie (les 5 premiers chapitres constituaient en fait la première partie). Les prochains chapitres seront plus long à être poster pour plusieurs raisons :
1) Je les écrit au fur et à mesure.
2) J'ai recupéré ma PSP que je n'avait pas depuis 7 semaines
3) J'ai une vie à côté
Sur ce, bonne lecture à vous ! :Ok:
Papa, je t’ai toujours aimé. C’est toi qui m’as appris tout ce que je sais et je saurai en faire bon usage. Je te demande pardon, c’est en partie par ma faute que tu en es là. Tu dirais que ce n’est pas ma faute, c’est vrai, c’est ma faute mais aussi de celle des congas et de cette saloperie de Narzwel. Je jure sur tout ce qui me reste de plus cher et sur ma propre vie que je ne lâcherai pas ces monstres tant qu’ils existeront encore. Je ne te décevrais pas, pas cette fois. Je te jure qu’ils paieront pour ce qu’ils ont fais à toi, mais aussi au village, à tous ses habitants et à tous les malheurs qu’il ont rependu dans le monde. Papa, je t’aime et je te vengerais.
Le doux visage d’Aëron ruisselait de larmes alors qu’elle gravait, à l’aide de son couteau de chasse, l’épitaphe sur une pierre pour la tombe de son père. Cette pierre … elle l’avait récupéré dans les cendres de sa maison, c’était une des seules choses qui n’avait pas brûlé. Il y a 3 ans, elle avait reçu cette pierre pour son anniversaire, son père l’avait ramassé sur un wyvern qu’il avait tué, le même wyvern que celui d’où venaient les écailles de l’armure de Derick. « Cette pierre, avait dit son père en lui offrant, est d’une très grande valeur, ne la perds jamais ». Aëron avait donc choisi cette pierre pour ornait la tombe de son père. La pierre était magnifique malgré la triste ambiance qui régnait, elle brillait d’un teint bleuté avec des veinures bleu-vert turquoise. Une fois l’inscription terminée, elle planta la pierre juste devant la tombe de son père, puis y rassembla tous ses biens qui avaient résistés aux flammes.
La nuit tombait déjà sur le village (ou plutôt ce qui l’en rester) lorsque Aëron eu terminé les finitions de la tombe de son père. Elle décida alors de se reposer et de réfléchir où et quand partir, elle avait déjà songé à rejoindre le plus proche village comme lui avait dit son père mais elle ne disposait plus d’aucune carte, elles avaient toutes brûlées dans l’incendie. Elle se rendit alors dans la « maison » la plus entière qu’elle puisse trouver et s’y fabriqua un lit de fortune avec des tas de cendres et des plaques de bois calcinés.
Alors que le ciel s’assombrissait, que la lune apparaissait et que les étoiles scintillaient, Aëron se perdit dans ses pensées, pensant à ses amis et aux habitants du village, qu’elle apreçiait même si elle ne les connaissait pas trop, auxquels elle n’avait même pas eu le temps de dire au revoir. Elle pensait également à tous les bons moments qu’elle avait passé, aux mauvais aussi. Elle pensait aux paroles de son père, « je te promets que la prochaine chasse au wyvern pas trop dangereuse disponible nous la ferons tous les deux. » « La viande de conga est excellente une fois bien cuite. » « Il faudra que l’ont pense à te fabriquer une nouvelle armure, celle la risque d’être un peu fragile contre les wyverns que nous affronterons dans quelques jours. » et bien d’autres encore … Elle pensait à son père, mais aussi à sa mère. « Ne t’inquiète pas, la sortie que nous faisons aujourd’hui n’est pas très dangereuse. » avait dit son père, si seulement il avait su … Elle pensait aux Narzwels, ces êtres maléfiques dont elle ne connaissait presque rien et qui, pourtant, avaient tués sont père. Elle pensait à ce qu’elle ferait le lendemain matin … Elle finit par s’endormir, difficilement, bercé par le silence qui flottait et par le vas et viens de ses nombreuses pensées.
Lorsqu’elle s’éveilla, Aëron vit qu’il faisait encore frais, le soleil s’était à peine levé. Elle avait passée de nouveau une affreuse nuit, inconfortable et pleine de cauchemar. Elle avait mal partout, à cause de sa chute et de se mauvaise position de cette nuit. Mais, pourtant, elle ne sentait presque pas toutes ces douleurs, compensée par la tristesse et la colère. Elle décida alors de se mettre en route, emportant avec elle tout ce qu’elle pouvait et qu’elle n’avait pas laissé sur la tombe de son père. N’ayant aucune carte en sa possession, elle décida de prendre un chemin au hasard et de continuer jusqu'à arrivé à un village. Elle revêtis alors sa nouvelle armure et prit le chemin en réfléchissant à bien des choses. Elle pris le chemin qui la mènerait vers les plaines de Värëriä, où un village serait le plus probable. Elle parti ainsi vers un chemin dont il ignorait la destination précise mais elle ne pouvait pas resté dans son village à rien faire.
Cela faisait au moins trois heures, quatre au cinq peut être, elle avait perdu la notion du temps alors qu’elle pénétrait dans un sous-bois. Le chemin était maintenant encombrer parfois de branches, de vieux troncs ou de buissons se qui rendait la progression bien plus dure. Au bout d’un moment, Aëron se figea : elle crut entendre un bruit de branches brisés et de bruissements de feuilles … plus rien …
- Il y a quelqu’un ?! Cria la jeune chasseuse, effrayée, en dégainant son arc et en y plaçant une flèche.
Un sifflement aigu lui répondit, elle lâcha alors sans même sans rendre compte une flèche dans le vide en direction du bruit. Un hurlement rauque se fit alors entendre. Puis elle aperçu le monstre qui avait poussé ce cri. Il était long, très long mais tout de même moins grand que le Narzwel qu’elle avait vu. Une grosse tête plate surplombait un corps à quatre pattes difforme et avec une grosse queue ronde. Un robuste coup remontait jusqu'à la tête hérissée de quelques petits piques, d’une corne et de quatre yeux fins. Une grosse bouche prenait le dessous de cette tête écœurante. Deux petites ailes surmontées son corps. Un liquide baveux et apparemment collant suintait de tout son corps par de petits orifices qui s’ouvraient et se refermaient en continu. Sa peau changeait sans arrêt de couleur du rose au vert en passant par le bleu, le blanc, le jaune, le marron, le violet, …
Le monstre fit claquer sa longue langue avant de martelait le sol de son énorme queue ronde et plate, écrasant buissons et branches sous son poids. Puis, suite à un cri long et perçant, se rendit tout simplement invisible. Des bruits de pas lourds et lents se reprochèrent d’Aëron. Cette dernière tira une nouvelle flèche mais voyant que cela n’avait aucun effet sur l’imposant monstre, elle rangea son arc dans son dos et prit ses jambes à son coup. A mesure qu’elle courait en évitant les obstacles omniprésents sur la route, Aëron entendait les pas du monstre qui se faisaient plus rapide. Lors de sa course, elle risqua un coup d’œil derrière elle mais ne vit rien, en revanche elle se prit une racine dans la cheville et s’effondra au sol, toutes ses douleurs qu’elle croyaient passées revenues. En hurlant et se tenant la cheville, la jeune chasseuse essaya de se relever, elle ne pu pas, sa cheville devait être cassée. Sa maudissant d’avoir été aussi stupide, Aëron dégaina son arc et alors qu’elle enduisait ses flèches, un filet de liquide gluant lui coula dessus. Avant même de savoir se qui lui arrivé, Aëron fut propulsé en arrière en s’écrasant dans les arbres et les buissons elle sentit quelques bruits d’os craquaient. Elle tenta alors de ramper pour s’enfuir mais reçu un nouveau coup de poing invisible qui l’envoya valsé dans les airs. Lorsqu’elle retomba au sol, elle perdit de nouveau connaissance alors qu’une multitude de douleurs différentes se propageaient dans son corps.
Voila pour vous ! :noel:
N'oubliez pas que toutes remarques aidant à l'amélioration de ma fic est bienvenue ! :Ok:
1) Je les écrit au fur et à mesure.
2) J'ai recupéré ma PSP que je n'avait pas depuis 7 semaines
3) J'ai une vie à côté
Sur ce, bonne lecture à vous ! :Ok:
Partie 1, Chapitre V
Papa, je t’ai toujours aimé. C’est toi qui m’as appris tout ce que je sais et je saurai en faire bon usage. Je te demande pardon, c’est en partie par ma faute que tu en es là. Tu dirais que ce n’est pas ma faute, c’est vrai, c’est ma faute mais aussi de celle des congas et de cette saloperie de Narzwel. Je jure sur tout ce qui me reste de plus cher et sur ma propre vie que je ne lâcherai pas ces monstres tant qu’ils existeront encore. Je ne te décevrais pas, pas cette fois. Je te jure qu’ils paieront pour ce qu’ils ont fais à toi, mais aussi au village, à tous ses habitants et à tous les malheurs qu’il ont rependu dans le monde. Papa, je t’aime et je te vengerais.
Le doux visage d’Aëron ruisselait de larmes alors qu’elle gravait, à l’aide de son couteau de chasse, l’épitaphe sur une pierre pour la tombe de son père. Cette pierre … elle l’avait récupéré dans les cendres de sa maison, c’était une des seules choses qui n’avait pas brûlé. Il y a 3 ans, elle avait reçu cette pierre pour son anniversaire, son père l’avait ramassé sur un wyvern qu’il avait tué, le même wyvern que celui d’où venaient les écailles de l’armure de Derick. « Cette pierre, avait dit son père en lui offrant, est d’une très grande valeur, ne la perds jamais ». Aëron avait donc choisi cette pierre pour ornait la tombe de son père. La pierre était magnifique malgré la triste ambiance qui régnait, elle brillait d’un teint bleuté avec des veinures bleu-vert turquoise. Une fois l’inscription terminée, elle planta la pierre juste devant la tombe de son père, puis y rassembla tous ses biens qui avaient résistés aux flammes.
La nuit tombait déjà sur le village (ou plutôt ce qui l’en rester) lorsque Aëron eu terminé les finitions de la tombe de son père. Elle décida alors de se reposer et de réfléchir où et quand partir, elle avait déjà songé à rejoindre le plus proche village comme lui avait dit son père mais elle ne disposait plus d’aucune carte, elles avaient toutes brûlées dans l’incendie. Elle se rendit alors dans la « maison » la plus entière qu’elle puisse trouver et s’y fabriqua un lit de fortune avec des tas de cendres et des plaques de bois calcinés.
Alors que le ciel s’assombrissait, que la lune apparaissait et que les étoiles scintillaient, Aëron se perdit dans ses pensées, pensant à ses amis et aux habitants du village, qu’elle apreçiait même si elle ne les connaissait pas trop, auxquels elle n’avait même pas eu le temps de dire au revoir. Elle pensait également à tous les bons moments qu’elle avait passé, aux mauvais aussi. Elle pensait aux paroles de son père, « je te promets que la prochaine chasse au wyvern pas trop dangereuse disponible nous la ferons tous les deux. » « La viande de conga est excellente une fois bien cuite. » « Il faudra que l’ont pense à te fabriquer une nouvelle armure, celle la risque d’être un peu fragile contre les wyverns que nous affronterons dans quelques jours. » et bien d’autres encore … Elle pensait à son père, mais aussi à sa mère. « Ne t’inquiète pas, la sortie que nous faisons aujourd’hui n’est pas très dangereuse. » avait dit son père, si seulement il avait su … Elle pensait aux Narzwels, ces êtres maléfiques dont elle ne connaissait presque rien et qui, pourtant, avaient tués sont père. Elle pensait à ce qu’elle ferait le lendemain matin … Elle finit par s’endormir, difficilement, bercé par le silence qui flottait et par le vas et viens de ses nombreuses pensées.
Lorsqu’elle s’éveilla, Aëron vit qu’il faisait encore frais, le soleil s’était à peine levé. Elle avait passée de nouveau une affreuse nuit, inconfortable et pleine de cauchemar. Elle avait mal partout, à cause de sa chute et de se mauvaise position de cette nuit. Mais, pourtant, elle ne sentait presque pas toutes ces douleurs, compensée par la tristesse et la colère. Elle décida alors de se mettre en route, emportant avec elle tout ce qu’elle pouvait et qu’elle n’avait pas laissé sur la tombe de son père. N’ayant aucune carte en sa possession, elle décida de prendre un chemin au hasard et de continuer jusqu'à arrivé à un village. Elle revêtis alors sa nouvelle armure et prit le chemin en réfléchissant à bien des choses. Elle pris le chemin qui la mènerait vers les plaines de Värëriä, où un village serait le plus probable. Elle parti ainsi vers un chemin dont il ignorait la destination précise mais elle ne pouvait pas resté dans son village à rien faire.
Cela faisait au moins trois heures, quatre au cinq peut être, elle avait perdu la notion du temps alors qu’elle pénétrait dans un sous-bois. Le chemin était maintenant encombrer parfois de branches, de vieux troncs ou de buissons se qui rendait la progression bien plus dure. Au bout d’un moment, Aëron se figea : elle crut entendre un bruit de branches brisés et de bruissements de feuilles … plus rien …
- Il y a quelqu’un ?! Cria la jeune chasseuse, effrayée, en dégainant son arc et en y plaçant une flèche.
Un sifflement aigu lui répondit, elle lâcha alors sans même sans rendre compte une flèche dans le vide en direction du bruit. Un hurlement rauque se fit alors entendre. Puis elle aperçu le monstre qui avait poussé ce cri. Il était long, très long mais tout de même moins grand que le Narzwel qu’elle avait vu. Une grosse tête plate surplombait un corps à quatre pattes difforme et avec une grosse queue ronde. Un robuste coup remontait jusqu'à la tête hérissée de quelques petits piques, d’une corne et de quatre yeux fins. Une grosse bouche prenait le dessous de cette tête écœurante. Deux petites ailes surmontées son corps. Un liquide baveux et apparemment collant suintait de tout son corps par de petits orifices qui s’ouvraient et se refermaient en continu. Sa peau changeait sans arrêt de couleur du rose au vert en passant par le bleu, le blanc, le jaune, le marron, le violet, …
Le monstre fit claquer sa longue langue avant de martelait le sol de son énorme queue ronde et plate, écrasant buissons et branches sous son poids. Puis, suite à un cri long et perçant, se rendit tout simplement invisible. Des bruits de pas lourds et lents se reprochèrent d’Aëron. Cette dernière tira une nouvelle flèche mais voyant que cela n’avait aucun effet sur l’imposant monstre, elle rangea son arc dans son dos et prit ses jambes à son coup. A mesure qu’elle courait en évitant les obstacles omniprésents sur la route, Aëron entendait les pas du monstre qui se faisaient plus rapide. Lors de sa course, elle risqua un coup d’œil derrière elle mais ne vit rien, en revanche elle se prit une racine dans la cheville et s’effondra au sol, toutes ses douleurs qu’elle croyaient passées revenues. En hurlant et se tenant la cheville, la jeune chasseuse essaya de se relever, elle ne pu pas, sa cheville devait être cassée. Sa maudissant d’avoir été aussi stupide, Aëron dégaina son arc et alors qu’elle enduisait ses flèches, un filet de liquide gluant lui coula dessus. Avant même de savoir se qui lui arrivé, Aëron fut propulsé en arrière en s’écrasant dans les arbres et les buissons elle sentit quelques bruits d’os craquaient. Elle tenta alors de ramper pour s’enfuir mais reçu un nouveau coup de poing invisible qui l’envoya valsé dans les airs. Lorsqu’elle retomba au sol, elle perdit de nouveau connaissance alors qu’une multitude de douleurs différentes se propageaient dans son corps.
Voila pour vous ! :noel:
N'oubliez pas que toutes remarques aidant à l'amélioration de ma fic est bienvenue ! :Ok:
Dernière édition par Ortimore le Mer 7 Mai 2008 - 22:12, édité 2 fois
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Vraiment, chapeau ! Je n'ai aucunes remarques à faire si ce n'est les fortes répétitions dans le début.
Je viens de lire les cinq chapitres d'un coup et c'est rare que je soit si interressé.
Je n'ai qu'une chose à te dire à présent : Tu a mes encouragements !
Je viens de lire les cinq chapitres d'un coup et c'est rare que je soit si interressé.
Je n'ai qu'une chose à te dire à présent : Tu a mes encouragements !
.:°Ichi°:.- Nombre de messages : 112
Age : 29
Localisation : Surement en train de se promener.... Hé ! Mais c'est secret ça !
Rang : HR 9
X-Tag : [TC]Ichi
Date d'inscription : 02/04/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Allé ! Le 6eme chapitre tout chaud, sortit du four à fic () ! Je vous annonce donc le premier chapitre de la partie 2 (je devrais appelé la partie 1, "Prologue" et cette fameuse partie 2, "Partie 1").
'Fin bref, voila. (Je suis désolé pour l'absence de dessins mais mon dessinateurs à reprit les cours xD) :
Il faisait bon, ni trop chaud, ni trop froid, Aëron était confortablement installé, ses douleurs avaient disparues. Après avoir savourer ces quelques instants tranquilles, Aëron ouvrit les yeux et découvrit une salle assez grande et carrée. D’environ quatre ou cinq mètres de cotés, la salle était illuminé par deux fenêtre hexagonales sur le toit qui, par un moyen dont Aëron ignorer le fonctionnement, ne laissaient passé que quelques rayons du soleil, évitant ainsi d’être ébloui ou, au contraire, d’être dans la pénombre. Aëron se demanda comment était-il possible que, non seulement la lumière entrait raisonnablement à l’intérieur, mais la température n’avait jamais était plus parfaite pour la jeune chasseuse : elle n’avait pas froid, juste une chaleur rassurante, agréable. Elle découvrit également qu’elle était couchée sur un lit, elle s’assit donc et s’étira en regardant la salle dans son entier. Elle remarqua que la fameuse salle ne possédait qu’une porte en bois, tout comme le reste de la pièce et que les murs n’étaient pas vides, ils contenaient de nombreux tableaux représentant des paysages magnifiques, de merveilleux personnages ou d’effrayants monstres.
Après avoir examiner pendant quelques temps la mystérieuse salle, Aëron essaya de se souvenir de ce qui s’était passé avant qu’elle se réveille … elle avait beau réfléchir, elle ne trouvait rien. Elle continua alors de chercher, plus profondément dans ses pensés cette fois et se rappela de certains passages.
« Le village … le village était en feu … mon … mon père est mort … euh … oui ! A cause d’un monstre … comment ça s’appelle déjà … a oui voila, un Narzwel ! … et euh …»
Ainsi, après au moins vingt à trente bonnes minutes, elle eut totalement retrouvé la mémoire et se souviens de tout sauf de où, pourquoi et comment elle était arrivé là. Même en cherchant elle ne trouva pas, elle décida donc de changer de technique et de se lever de son lit pour aller à la recherche d’informations. Elle se rendit alors compte qu’elle était totalement nue et chercha des yeux un éventuel habit. Sur un petit porte manteau, prés du lit, étaient accrochés ses vêtements, son sac, son armure et son arc propres et réparés. Elle enfila avec hâte ses vêtements et décida de laissait ses autres affaires ici pour l’instant. Puis elle se dirigea en direction de la porte et lorsqu’elle l’ouvrit elle fut abasourdie, elle croyait que derrière cette porte elle découvrirait un couloir ou une autre salle mais à la place de cela la porte donnait sur un magnifique espace vert.
La salle était donc en fait une cabane.
Aëron, encore sous le choc, se mit alors en tête d’observer plus précisément cet espace vert inconnu. Pour au moins une centaine de mètre carré s’étendait de l’herbe, bien verte, propre, régulière et fine. Aucune irrégularité dans cette herbe. Aux bordures de ce grand espace se dressait une forêt dont les troncs, les lianes, les feuilles, les branches et les racines étaient tellement serrées qu’ils formaient un immense mur impénétrable, ce mur s’élevait si haut qu’il était impossible de voire l’horizon, seulement l’herbe, les arbres et le ciel. La cabane d’où sortait Aëron se trouvait au milieu de la « prairie », sur un petit talus qui ne se remarquer presque pas dans la grande étendue.
Alors, qu’elle effectuait le tour de la bâtisse en bois, Aëron découvrit une très légère bosse dans l’herbe non loin de là. Elle s’y rendit alors, elle fut étonnée de pouvoir courir sans souffrir. Une fois à côté de la bosse, la jeune chasseuse se baissa alors et tata la sol. Alors qu’elle approcha ses mains du sol herbeux, un cri effroyable se fit entendre suivit d’un bruyant bruissement de feuilles et de craquellement de bois. Aëron sursauta comme elle ne l’avait jamais fait et tomba à la renverse sur le sol alors qu’elle chercha désespérément son arc avant de se rappeler qu’elle l’avait laissé dans la cabane. Elle se releva donc et chercha des yeux d’où provenait ce boucan. Elle finit par apercevoir, dans le mur végétal, un mouvement frénétique. Cherchant ce que cela pouvait bien être, Aëron finit par trouver :
« Sans doute une créature qui essaye de traverser le mur en frappant dessus. »
Mais après plusieurs secondes, durant lesquelles la jeune chasseuse hésita de se jeter à la cabane pour récupérer son armure et son arc, le bruit cessa et un léger grognement se fit entendre.
« Elle à du comprendre qu’elle ne pouvait pas passer. » Se rassurât elle, alors que dans sa tête se mélangés le peur d’être entourée de monstres, la tranquillité de se sentir protéger et l’inquiétude de ne pas savoir où elle se trouver.
Se retournant vers la bosse, Aëron s’en approcha et la tâta avec ses doigts, cherchant une éventuelle ouverture. A la place, elle tomba sur une sorte de poignée enfouie sous terre sur laquelle elle n’attendit pas pour tirer de toutes ses forces. Avec son étonnement le plus complet, la bosse se souleva sans artifices, elle une trappe. Aëron toute excitée, poussa sur le côté la « trappe-bosse » et regarda dans le trou qui s’offrait à elle. Elle y sentit montait une étrange odeur de mi fraîcheur, mi cramé qui lui piqua le nez, la faisant éternuer. Une échelle de bois, bien polie et entretenue descendait dans les profondeurs obscures insondables.
Quelques minutes plus tard, revêtit de son armure, ayant accroché son arc, son carquois et son sac dans son dos, Aëron entreprit la descente avec, comme éclairage la lumière du jour …
'Fin bref, voila. (Je suis désolé pour l'absence de dessins mais mon dessinateurs à reprit les cours xD) :
Partie 2, Chapitre 1
Il faisait bon, ni trop chaud, ni trop froid, Aëron était confortablement installé, ses douleurs avaient disparues. Après avoir savourer ces quelques instants tranquilles, Aëron ouvrit les yeux et découvrit une salle assez grande et carrée. D’environ quatre ou cinq mètres de cotés, la salle était illuminé par deux fenêtre hexagonales sur le toit qui, par un moyen dont Aëron ignorer le fonctionnement, ne laissaient passé que quelques rayons du soleil, évitant ainsi d’être ébloui ou, au contraire, d’être dans la pénombre. Aëron se demanda comment était-il possible que, non seulement la lumière entrait raisonnablement à l’intérieur, mais la température n’avait jamais était plus parfaite pour la jeune chasseuse : elle n’avait pas froid, juste une chaleur rassurante, agréable. Elle découvrit également qu’elle était couchée sur un lit, elle s’assit donc et s’étira en regardant la salle dans son entier. Elle remarqua que la fameuse salle ne possédait qu’une porte en bois, tout comme le reste de la pièce et que les murs n’étaient pas vides, ils contenaient de nombreux tableaux représentant des paysages magnifiques, de merveilleux personnages ou d’effrayants monstres.
Après avoir examiner pendant quelques temps la mystérieuse salle, Aëron essaya de se souvenir de ce qui s’était passé avant qu’elle se réveille … elle avait beau réfléchir, elle ne trouvait rien. Elle continua alors de chercher, plus profondément dans ses pensés cette fois et se rappela de certains passages.
« Le village … le village était en feu … mon … mon père est mort … euh … oui ! A cause d’un monstre … comment ça s’appelle déjà … a oui voila, un Narzwel ! … et euh …»
Ainsi, après au moins vingt à trente bonnes minutes, elle eut totalement retrouvé la mémoire et se souviens de tout sauf de où, pourquoi et comment elle était arrivé là. Même en cherchant elle ne trouva pas, elle décida donc de changer de technique et de se lever de son lit pour aller à la recherche d’informations. Elle se rendit alors compte qu’elle était totalement nue et chercha des yeux un éventuel habit. Sur un petit porte manteau, prés du lit, étaient accrochés ses vêtements, son sac, son armure et son arc propres et réparés. Elle enfila avec hâte ses vêtements et décida de laissait ses autres affaires ici pour l’instant. Puis elle se dirigea en direction de la porte et lorsqu’elle l’ouvrit elle fut abasourdie, elle croyait que derrière cette porte elle découvrirait un couloir ou une autre salle mais à la place de cela la porte donnait sur un magnifique espace vert.
La salle était donc en fait une cabane.
Aëron, encore sous le choc, se mit alors en tête d’observer plus précisément cet espace vert inconnu. Pour au moins une centaine de mètre carré s’étendait de l’herbe, bien verte, propre, régulière et fine. Aucune irrégularité dans cette herbe. Aux bordures de ce grand espace se dressait une forêt dont les troncs, les lianes, les feuilles, les branches et les racines étaient tellement serrées qu’ils formaient un immense mur impénétrable, ce mur s’élevait si haut qu’il était impossible de voire l’horizon, seulement l’herbe, les arbres et le ciel. La cabane d’où sortait Aëron se trouvait au milieu de la « prairie », sur un petit talus qui ne se remarquer presque pas dans la grande étendue.
Alors, qu’elle effectuait le tour de la bâtisse en bois, Aëron découvrit une très légère bosse dans l’herbe non loin de là. Elle s’y rendit alors, elle fut étonnée de pouvoir courir sans souffrir. Une fois à côté de la bosse, la jeune chasseuse se baissa alors et tata la sol. Alors qu’elle approcha ses mains du sol herbeux, un cri effroyable se fit entendre suivit d’un bruyant bruissement de feuilles et de craquellement de bois. Aëron sursauta comme elle ne l’avait jamais fait et tomba à la renverse sur le sol alors qu’elle chercha désespérément son arc avant de se rappeler qu’elle l’avait laissé dans la cabane. Elle se releva donc et chercha des yeux d’où provenait ce boucan. Elle finit par apercevoir, dans le mur végétal, un mouvement frénétique. Cherchant ce que cela pouvait bien être, Aëron finit par trouver :
« Sans doute une créature qui essaye de traverser le mur en frappant dessus. »
Mais après plusieurs secondes, durant lesquelles la jeune chasseuse hésita de se jeter à la cabane pour récupérer son armure et son arc, le bruit cessa et un léger grognement se fit entendre.
« Elle à du comprendre qu’elle ne pouvait pas passer. » Se rassurât elle, alors que dans sa tête se mélangés le peur d’être entourée de monstres, la tranquillité de se sentir protéger et l’inquiétude de ne pas savoir où elle se trouver.
Se retournant vers la bosse, Aëron s’en approcha et la tâta avec ses doigts, cherchant une éventuelle ouverture. A la place, elle tomba sur une sorte de poignée enfouie sous terre sur laquelle elle n’attendit pas pour tirer de toutes ses forces. Avec son étonnement le plus complet, la bosse se souleva sans artifices, elle une trappe. Aëron toute excitée, poussa sur le côté la « trappe-bosse » et regarda dans le trou qui s’offrait à elle. Elle y sentit montait une étrange odeur de mi fraîcheur, mi cramé qui lui piqua le nez, la faisant éternuer. Une échelle de bois, bien polie et entretenue descendait dans les profondeurs obscures insondables.
Quelques minutes plus tard, revêtit de son armure, ayant accroché son arc, son carquois et son sac dans son dos, Aëron entreprit la descente avec, comme éclairage la lumière du jour …
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Vraiment pas mal..Tu as un bon style d'écriture et tu fais evoluer ta personnage au fur et a mesure.
Cependant,je me permets de te donner quelque conseils:éclairci ce que tu veux expliquer n'es pas toujours tres clair,et il y a des fois quelqu lenteur(et surtou veille a ne pas"casser" le rythme des combats.)et quand un personnage raconte un combat rajoute un peu de descriptif sans donner trop de details
Mais sinon cette fic est bien(bien mieux que l'histoire d'un certain max^^.
Continue .
Elthin
Cependant,je me permets de te donner quelque conseils:éclairci ce que tu veux expliquer n'es pas toujours tres clair,et il y a des fois quelqu lenteur(et surtou veille a ne pas"casser" le rythme des combats.)et quand un personnage raconte un combat rajoute un peu de descriptif sans donner trop de details
Mais sinon cette fic est bien(bien mieux que l'histoire d'un certain max^^.
Continue .
Elthin
Elthin- Nombre de messages : 29
Age : 32
Date d'inscription : 30/04/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
A, euh ouais OK mais quand est-ce que tu vois des combats ? Celui avec les congas ? Ça fais déjà un bout de temps x)
Le chapitre 7 risque de tardé un peu car je suis un peu à court d'inspiration.
Quand tu dit "lenteur", ça veut dire quoi ?
Et oki je vais voire ce que je peux faire pour Derick qui raconte son combat ;p
Ne critique quand même pas l'histoire de Max (si tu veut parler de celle de GriffonHunter) elle vas quand même être publiée
Le chapitre 7 risque de tardé un peu car je suis un peu à court d'inspiration.
Quand tu dit "lenteur", ça veut dire quoi ?
Et oki je vais voire ce que je peux faire pour Derick qui raconte son combat ;p
Ne critique quand même pas l'histoire de Max (si tu veut parler de celle de GriffonHunter) elle vas quand même être publiée
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Les combats ,oui je parlai des bien des congas,donc oui ça fait longtemps^^
Les lenteurs c'est quand tu mets des passages pas trop utile et long par rapport a l'histoire,mais ne t'inquiete pas il y en a pas beaucoup
Quant a la fic de Griffon ben je la critique tout simplement parce que je trouve qu'elle fait trop de bruit par rapport a ce qu'elle vaut...et publié,publié la aussi on exagere beaucoup,il signe pas chez Glenat non plus.Mais c'est un avis personnel et je respecte ceux qui aiment(fin du hs)
Les lenteurs c'est quand tu mets des passages pas trop utile et long par rapport a l'histoire,mais ne t'inquiete pas il y en a pas beaucoup
Quant a la fic de Griffon ben je la critique tout simplement parce que je trouve qu'elle fait trop de bruit par rapport a ce qu'elle vaut...et publié,publié la aussi on exagere beaucoup,il signe pas chez Glenat non plus.Mais c'est un avis personnel et je respecte ceux qui aiment(fin du hs)
Elthin- Nombre de messages : 29
Age : 32
Date d'inscription : 30/04/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
MAJ du chapitre 1 et 2. Je ferais les autres ce soir
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
euh desole pole rythme des dessin,je ne suis pas dessinateur et j'ai des habitudes et un train de vie qui me laissent pas beaucoups de temps pour dessiner(deja que je dors pas beaucoups...)mais j'ai presque v=finie le nouveau dessin =D
bravo pour les news chapter ^^
bravo pour les news chapter ^^
Conan2- Nombre de messages : 200
Age : 32
Localisation : Grand Ghetto du Ciel(avec Tupac et Bob)
Rang : Chewing Gum au Canabis ^^
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
MAJ du chapitre 3 (changement de la description du Narzwel : il ressembler trop a un rathalos )
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Désolé du double post mais bon ^^
Je viens de finir, le chapitre 7 alors je vais le posté
Partie 2, Chapitre 2
Il faisait froid … ou chaud … Aëron ne savait plus entre la fraîcheur de l’atmosphère et la chaleur portée par l’odeur piquante et omniprésente. La jeune chasseuse ne voyait plus rien dans le tunnel vertical qu’elle descendait car la lumière du soleil ne pénétrait pas aussi profond.
Après environ vingt minutes, Aëron toucha le sol avec ses pieds et, soulagée, lâcha l’échelle. L’odeur s’intensifiait au fur et à mesure qu’elle descendait mais là, au fond du tunnel elle était insupportable et la faisait sans arrêt éternuer. Elle posa alors un genou au sol, ouvrit son sac et en sortit une torche afin de l’allumer à l’aide de pierres grâce à une technique qui lui avait enseigné son père. A la lumière de la flamme, elle découvrit une petite salle en pierre dotée d’une seule petite porte en métal forgé. Le sol de cette salle était couvert de dalles jaunies par le temps et de nombreux insectes avaient élu domicile dans cet endroit lugubre.
Aëron, après avoir regardé d’un air dégoûté les lieux, se dirigea vers la porte désireuse d’en savoir plus. La jeune chasseuse posa une main sur la poignée mais reçu un choc d’électricité statique ce qui la fis sursauter, elle décida alors de réessayer en approchant doucement sa main de la poignée métallique mais reçu de nouveau un choc. Déterminée, elle posa alors son sac et sa torche au sol en faisant attention de rien brûlé. Elle en sortit alors de gros gants en cuir et les enfila avant de toucher une nouvelle fois la poigné, elle ressenti une décharge mais bien moins forte que les autres. Aëron poussa alors la porte de toutes ses forces, essayant de surmonter l’étrange chaleur combinée à l’électricité ambiante. Après au moins une minutes, la porte était assez ouverte pour qu’elle puisse passer. La jeune chasseuse reprit alors sa torche et éclaira ce qui se trouvait derrière la porte. Elle découvrit un long couloir, salle comme le reste, dont elle ne voyait pas le fond, décidant alors de s’y aventurer, elle avança prudemment alors que ses pas raisonnaient dans le tunnel. Aëron remarqua également l’absence d’insectes en ce lieu, s’interrogeant de plus en plus elle continua d’avancer.
Au bout de quelques secondes elle entendit un petit bruit strident suivi d’un bruit de pas saccadé en provenance de derrière elle. Elle sursauta alors et se retourna en éclairant le couloir de sa torche qui, d’ailleurs, perdait de l’intensité. Rien. Elle ne vit rien d’autre que le couloir, les battements de son cœur commencèrent alors à s’accélérer. Un lent bruit de pas suivi d’un étrange bruit humide résonnait dans le couloir, au fond. Aëron rebroussa alors chemin jusqu'à atteindre la porte qu’elle avait ouverte quelques temps auparavant. Rien. Toujours rien. Sans réussir à calmer son cœur elle continua alors d’avancer pour parcourir le couloir une bonne fois pour toute, elle courait presque.
Ses pas rapides rationnaient dans le couloir, couvrant les bruits humide de l’individu invisible qui se cacher non loin d’elle, pourtant elle ne le voyait pas … Soudain une sorte de liquide blanc clair lui coula dessus depuis le plafond sur l’épaule droite dans un grésillement aigu, elle fut jeté au sol par le même choc que celui de la porte mais en plus puissant, son bras droit était paralysé comme si elle avait des fourmis dans le bras mais en bien plus intense. Aëron regarda alors son épaule meurtrie et se rendit compte que le liquide creusait dans son armure comme dans du beurre. De sa main encore valide, elle arracha la plaque d’armure et la jeta au sol loin d’elle. Elle regarda alors au dessus d’elle, ce qu’elle vit lui fit pousser un cri strident.
Au dessus d’elle sur le plafond du couloir, était accroché un wyvern immonde. D’environ trois à quatre mètres de long, sa peau était livide et d’un blanc sale. Il possédait deux petites ailes dont les bouts étaient des ventouses, une courte queue fine qui se terminait elle aussi par une ventouse, deux pattes arrière griffues et maladroites et un long cou flexible dans n’importe quelle position fini par une tête démuni d’yeux mais possédant deux narines volumineuses et une énorme bouche remplie de nombreuses rangées de dents acérées.
Le monstre se laissa tomber du plafond et atterri sans amortissements sur le sol dans un bruit de sucions. Aëron ne pu que mieux voire l’horrible monstre qui la fixait de sa tête sans yeux. Il renifla bruyamment avant de poussait un cri suraigu amplifié par la petite taille du couloir. La jeune chasseuse, terrorisé, réussis avec grande peine à bouger son bras et à s’emparer de son arc pour décocher d’un geste malhabile un flèche sur le monstre. La flèche vint se fichée dans le ventre du monstre, sous son aile arrachant un cri de douleur à la bête. Cette dernière commença à convulser avant de se couvrir d’une étrange aura bleutée. L’odeur piquante se fit alors plus forte que jamais et Aëron devina que cette aura était de l’électricité pure et se rendit compte qu’elle n’avait aucune chance contre un wyvern pareil. Elle décida alors de prendre ses jambes à son coup. Alors qu’elle courait, elle entendit un crépitement derrière elle et, risquant un coup d’œil, elle vit une grosse boule de cette électricité bleue foncée sur elle. Elle l’esquiva alors de justesse en se jetant au sol, ses cheveux se dressèrent au passage d’une aussi grosse concentration d’électricité et elle éternua sous la puissance de l’odeur insupportable. Elle se releva et reprit sa course effréné vers un lieu imaginaire, n’ayant plus de torche elle courait à l’aveuglette mais heureusement pour elle, le couloir ne contenait pas de virages. Seule la boule bleue du wyvern qui s’était écrasé et qui crépitait encore lui éclairait, si peu soit il, le chemin vers la sortie. Des cris suraigus lui indiquaient que le monstre se rapprochait.
Aëron eu vraiment chaud lorsqu’elle esquiva la troisième boule électrique qui fonçait sur elle, cela faisait pourtant bien cinq minutes qu’elle courait elle n’avait toujours pas trouvé de sortie. Lorsque soudain elle se cogna brusquement à un mur qui devait d’ailleurs être une porte. Elle chercha la poignée hâtivement se disant que chaque seconde comptait –et cela était bien vrai. Elle fini par la trouvée et, rassemblant ses dernières forces, la poussa. Avec un grand soulagement elle s’ouvrit plutôt facilement mais alors qu’elle allait refermée la porte derrière elle, une nouvelle boule d’énergie lui arriva dessus. Même en se jetant au loin, Aëron se sentit mourir tant elle souffrait, tous ses membres étaient paralysé, elle ne pouvait ni bouger, ni parler mais elle parvint à s’accrocher à sa volonté et à survivre. Avec de nouveaux efforts elle essaya de bouger mais n’y parvint pas. Le désespoir s’empara d’elle alors que le wyvern commença à enfoncer la porte refermée a moitié. A force, elle réussis à reprendre le contrôle de ses membres, petit à petit jusqu'à les maîtriser presque totalement. Elle se releva alors en éternuant et en surmontant la douleur. Alors qu’elle alluma une torche, elle la lança sur le monstre qui avait passé la tête dans l’entrebâillement de la porte. Le monstre cria en rentrant la tête mais retourna à l’assaut de plus belle. Arrachant pour de bon la porte dans un bruit de métal broyé. Le wyvern s’approcha alors d’Aëron doucement en reniflant, son coup légèrement blessé par la torche encore brûlante. Le monstre approcha alors sa tête d’Aëron puis l’ouvrit, prêt à dévorer l’imprudente chasseuse qui s’était aventuré dans son domaine, mais la fameuse chasseuse avait allumé une autre torche et la jeta dans la gueule grand ouverte du monstre. Ce dernier hurla de rage en reculant sous la douleur, il poussa un énorme cri qui fit tressaillir Aëron puis se jeta sur elle. Elle eu juste le temps de tirer une flèche avant de perde connaissance…
La suite ... au prochain épisode !
Je viens de finir, le chapitre 7 alors je vais le posté
Partie 2, Chapitre 2
Il faisait froid … ou chaud … Aëron ne savait plus entre la fraîcheur de l’atmosphère et la chaleur portée par l’odeur piquante et omniprésente. La jeune chasseuse ne voyait plus rien dans le tunnel vertical qu’elle descendait car la lumière du soleil ne pénétrait pas aussi profond.
Après environ vingt minutes, Aëron toucha le sol avec ses pieds et, soulagée, lâcha l’échelle. L’odeur s’intensifiait au fur et à mesure qu’elle descendait mais là, au fond du tunnel elle était insupportable et la faisait sans arrêt éternuer. Elle posa alors un genou au sol, ouvrit son sac et en sortit une torche afin de l’allumer à l’aide de pierres grâce à une technique qui lui avait enseigné son père. A la lumière de la flamme, elle découvrit une petite salle en pierre dotée d’une seule petite porte en métal forgé. Le sol de cette salle était couvert de dalles jaunies par le temps et de nombreux insectes avaient élu domicile dans cet endroit lugubre.
Aëron, après avoir regardé d’un air dégoûté les lieux, se dirigea vers la porte désireuse d’en savoir plus. La jeune chasseuse posa une main sur la poignée mais reçu un choc d’électricité statique ce qui la fis sursauter, elle décida alors de réessayer en approchant doucement sa main de la poignée métallique mais reçu de nouveau un choc. Déterminée, elle posa alors son sac et sa torche au sol en faisant attention de rien brûlé. Elle en sortit alors de gros gants en cuir et les enfila avant de toucher une nouvelle fois la poigné, elle ressenti une décharge mais bien moins forte que les autres. Aëron poussa alors la porte de toutes ses forces, essayant de surmonter l’étrange chaleur combinée à l’électricité ambiante. Après au moins une minutes, la porte était assez ouverte pour qu’elle puisse passer. La jeune chasseuse reprit alors sa torche et éclaira ce qui se trouvait derrière la porte. Elle découvrit un long couloir, salle comme le reste, dont elle ne voyait pas le fond, décidant alors de s’y aventurer, elle avança prudemment alors que ses pas raisonnaient dans le tunnel. Aëron remarqua également l’absence d’insectes en ce lieu, s’interrogeant de plus en plus elle continua d’avancer.
Au bout de quelques secondes elle entendit un petit bruit strident suivi d’un bruit de pas saccadé en provenance de derrière elle. Elle sursauta alors et se retourna en éclairant le couloir de sa torche qui, d’ailleurs, perdait de l’intensité. Rien. Elle ne vit rien d’autre que le couloir, les battements de son cœur commencèrent alors à s’accélérer. Un lent bruit de pas suivi d’un étrange bruit humide résonnait dans le couloir, au fond. Aëron rebroussa alors chemin jusqu'à atteindre la porte qu’elle avait ouverte quelques temps auparavant. Rien. Toujours rien. Sans réussir à calmer son cœur elle continua alors d’avancer pour parcourir le couloir une bonne fois pour toute, elle courait presque.
Ses pas rapides rationnaient dans le couloir, couvrant les bruits humide de l’individu invisible qui se cacher non loin d’elle, pourtant elle ne le voyait pas … Soudain une sorte de liquide blanc clair lui coula dessus depuis le plafond sur l’épaule droite dans un grésillement aigu, elle fut jeté au sol par le même choc que celui de la porte mais en plus puissant, son bras droit était paralysé comme si elle avait des fourmis dans le bras mais en bien plus intense. Aëron regarda alors son épaule meurtrie et se rendit compte que le liquide creusait dans son armure comme dans du beurre. De sa main encore valide, elle arracha la plaque d’armure et la jeta au sol loin d’elle. Elle regarda alors au dessus d’elle, ce qu’elle vit lui fit pousser un cri strident.
Au dessus d’elle sur le plafond du couloir, était accroché un wyvern immonde. D’environ trois à quatre mètres de long, sa peau était livide et d’un blanc sale. Il possédait deux petites ailes dont les bouts étaient des ventouses, une courte queue fine qui se terminait elle aussi par une ventouse, deux pattes arrière griffues et maladroites et un long cou flexible dans n’importe quelle position fini par une tête démuni d’yeux mais possédant deux narines volumineuses et une énorme bouche remplie de nombreuses rangées de dents acérées.
Le monstre se laissa tomber du plafond et atterri sans amortissements sur le sol dans un bruit de sucions. Aëron ne pu que mieux voire l’horrible monstre qui la fixait de sa tête sans yeux. Il renifla bruyamment avant de poussait un cri suraigu amplifié par la petite taille du couloir. La jeune chasseuse, terrorisé, réussis avec grande peine à bouger son bras et à s’emparer de son arc pour décocher d’un geste malhabile un flèche sur le monstre. La flèche vint se fichée dans le ventre du monstre, sous son aile arrachant un cri de douleur à la bête. Cette dernière commença à convulser avant de se couvrir d’une étrange aura bleutée. L’odeur piquante se fit alors plus forte que jamais et Aëron devina que cette aura était de l’électricité pure et se rendit compte qu’elle n’avait aucune chance contre un wyvern pareil. Elle décida alors de prendre ses jambes à son coup. Alors qu’elle courait, elle entendit un crépitement derrière elle et, risquant un coup d’œil, elle vit une grosse boule de cette électricité bleue foncée sur elle. Elle l’esquiva alors de justesse en se jetant au sol, ses cheveux se dressèrent au passage d’une aussi grosse concentration d’électricité et elle éternua sous la puissance de l’odeur insupportable. Elle se releva et reprit sa course effréné vers un lieu imaginaire, n’ayant plus de torche elle courait à l’aveuglette mais heureusement pour elle, le couloir ne contenait pas de virages. Seule la boule bleue du wyvern qui s’était écrasé et qui crépitait encore lui éclairait, si peu soit il, le chemin vers la sortie. Des cris suraigus lui indiquaient que le monstre se rapprochait.
Aëron eu vraiment chaud lorsqu’elle esquiva la troisième boule électrique qui fonçait sur elle, cela faisait pourtant bien cinq minutes qu’elle courait elle n’avait toujours pas trouvé de sortie. Lorsque soudain elle se cogna brusquement à un mur qui devait d’ailleurs être une porte. Elle chercha la poignée hâtivement se disant que chaque seconde comptait –et cela était bien vrai. Elle fini par la trouvée et, rassemblant ses dernières forces, la poussa. Avec un grand soulagement elle s’ouvrit plutôt facilement mais alors qu’elle allait refermée la porte derrière elle, une nouvelle boule d’énergie lui arriva dessus. Même en se jetant au loin, Aëron se sentit mourir tant elle souffrait, tous ses membres étaient paralysé, elle ne pouvait ni bouger, ni parler mais elle parvint à s’accrocher à sa volonté et à survivre. Avec de nouveaux efforts elle essaya de bouger mais n’y parvint pas. Le désespoir s’empara d’elle alors que le wyvern commença à enfoncer la porte refermée a moitié. A force, elle réussis à reprendre le contrôle de ses membres, petit à petit jusqu'à les maîtriser presque totalement. Elle se releva alors en éternuant et en surmontant la douleur. Alors qu’elle alluma une torche, elle la lança sur le monstre qui avait passé la tête dans l’entrebâillement de la porte. Le monstre cria en rentrant la tête mais retourna à l’assaut de plus belle. Arrachant pour de bon la porte dans un bruit de métal broyé. Le wyvern s’approcha alors d’Aëron doucement en reniflant, son coup légèrement blessé par la torche encore brûlante. Le monstre approcha alors sa tête d’Aëron puis l’ouvrit, prêt à dévorer l’imprudente chasseuse qui s’était aventuré dans son domaine, mais la fameuse chasseuse avait allumé une autre torche et la jeta dans la gueule grand ouverte du monstre. Ce dernier hurla de rage en reculant sous la douleur, il poussa un énorme cri qui fit tressaillir Aëron puis se jeta sur elle. Elle eu juste le temps de tirer une flèche avant de perde connaissance…
La suite ... au prochain épisode !
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
*baaaaave*a quand la suite .??^^
Conan2- Nombre de messages : 200
Age : 32
Localisation : Grand Ghetto du Ciel(avec Tupac et Bob)
Rang : Chewing Gum au Canabis ^^
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Vraiment bien faite cette fic.
Je te félicite vraiment ! ! !
Je te félicite vraiment ! ! !
.:°Ichi°:.- Nombre de messages : 112
Age : 29
Localisation : Surement en train de se promener.... Hé ! Mais c'est secret ça !
Rang : HR 9
X-Tag : [TC]Ichi
Date d'inscription : 02/04/2008
felicitation
j'adore trop ta fic
je l'ai lu en entier et je trouve que tu devrai continuer
je l'ai lu en entier et je trouve que tu devrai continuer
ribouille- Nombre de messages : 25
Age : 31
Localisation : gerbepal 88
Date d'inscription : 20/05/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
ribouille a écrit:j'adore trop ta fic
je l'ai lu en entier et je trouve que tu devrai continuer
Merci, mais là je suis un peu à sec mais je travail le chap. 8 mais j'ai pas trop de temps, comme l'arrêt des notes approche j'ai pas mal de contrôles et le temps qui reste je joue avec des potes ou a la PSP
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Voici le chapitre 8 que je viens de finir, avec un peu de retard je sais ^^
Dites moi ce que vous en penser
Partie 2, Chapitre 3
Aëron avait vraiment chaud cette fois. Elle avait également mal à la tête et au dos.
« C’est donc ça être morte ? » S’interrogea alors la jeune chasseuse.
Elle n’osa pas ouvrir les yeux, se demandant d’abord ce qu’elle trouverait : un magnifique paysage, l’estomac d’un wyvern, une cabane comme celle où elle avait été … Après un moment de réflexion et n’ayant pas réussis à ce décider, elle ouvrit les yeux. Mais n’y voyant absolument rien, elle se leva et alluma une des dernières torches qui lui restait.
Aëron découvrit, avec soulagement mais aussi un peu de lassitude, qu’elle se trouvait toujours dans le souterrain. Elle se releva alors, doucement en se tenant la tête avec une main et en prenant appui sur le mur de l’autre main. Elle avait du se cogner la tête et le dos lorsqu’elle avait perdue connaissance. Aëron eu soudain un flash.
« Le monstre !? Où est-il ?? »Commença-t-elle à s’affoler alors qu’elle cherchait des yeux le monstre.
Elle eu un hoquet de surprise lorsque, dans un coin de la pièce, couché au sol, mort, elle reconnu le wyvern qui l’avait attaqué. Il était étendu au sol dans un position étrange laissant croire qu’il s’était débattu avant de mourir, des marques de brûlures autour de lui signifiées qu’il avait utilisé son électricité pendant son agonie. Aëron se demanda comment cette bête avait elle pu mourir ainsi dans de telles souffrances.
« Et si il faisait le mort ? » Lorsqu’elle se posa cette question, Aëron entreprit de chercher son arc. Elle le trouva, posé à côté d’elle et n’hésitant pas à s’en emparer.
Elle approcha alors doucement le cadavre en plaçant une flèche sur la corde et en la bandant. Elle était à présent s’y proche de lui qu’en tendant le bras elle pourrait presque le toucher. Alors qu’elle s’apprêtait à baisser son arc, le wyvern eut un violent spasme qui le fit sursauter et vomir un liquide étrange qui grésillât au contact du sol. Sans s’en rendre compte et tant elle eut peur, Aëron lâcha la flèche qui vint se planter dans le corps flasque et inanimé du monstre qui ne réagit même pas. Soulagée, Aëron se rapprocha du corps en éternuant (le monstre avait beau être mort, l’odeur ne l’était pas) et sortit son couteau de chasse. Lorsqu’elle planta se dernier dans la chair flasque elle reçu un choc comme avec la porte mais, ayant toujours ses gants de cuir, elle ne subit pas grand-chose. Alors qu’elle découpait des morceaux de chair du wyvern, elle eut de plus en plus de mal à couper. Elle retira alors le couteau dont la lame, couverte de liquide grésillant, fondait à vue d’œil. Aëron jeta alors le couteau au loin dont la lame se détacha à l’impact avant de fondre mollement sur le sol. Dégoûtée, la chasseuse se releva et rangea les quelques bouts de peau qu’elle avait parvenu à arrachés, elle sortit également de son sac une petit fiole de verre vide et la remplie du liquide étrange qui coulait des blessures du monstre. Son père lui avait appris que le verre était un des matériaux les plus résistants, elle l’avait donc utilisé pour collecter ce liquide qui lui serait peut être utile.
Une fois la fiole remplie elle scruta la salle afin d’y trouver une éventuelle sortie. Elle en vit une, cachée dans un recoin et confondue avec le mur de pierre recouvert de lierre et de mousse. Elle se dirigea alors vers cette porte dissimulée, y arrachant les plantes qui la recouvraient puis elle attrapa la poignée et la tourna. Lorsque elle toucha la poignée, elle reçu une nouvelle fois un choc mais, presque habituée, elle ne sentit presque rien. Une fois la porte ouverte au maximum, Aëron se glissa dans la salle suivante et y découvrit un long couloir.
L’odeur se fit de nouveau plus forte et la jeune chasseuse se mit alors sur ses gardes. Elle sortit son arc et y place une flèche, prête à décocher. Puis avançant prudemment sur la pointe des pieds pour ne pas faire de bruit, elle se dirigea vers le fond, encore invisible à ses yeux, du couloir.
« CRACK ! »
Sans s’en rendre compte, en sursautant de peur, Aëron lâcha la flèche qui vint se planter dans un mur, elle regarda ensuite à ses pieds pour voire qu’elle venait de marcher sur un ossement qui traînait là. Alors qu’elle maudissait son imprudence, elle commença à entendre, sentir et apercevoir de nombreuses choses sur les murs et les plafonds. En se concentrant un peu plus elle se rendit compte avec un hoquet de surprise qu’il s’agissait de la même sorte de créature qui l’avait attaquée quelques temps auparavant. Quoique plus petits, ils ne semblaient pas moins féroces et effrayants et ils étaient nombreux … trop nombreux …
La suite ... au prochain épisode !
Dites moi ce que vous en penser
Partie 2, Chapitre 3
Aëron avait vraiment chaud cette fois. Elle avait également mal à la tête et au dos.
« C’est donc ça être morte ? » S’interrogea alors la jeune chasseuse.
Elle n’osa pas ouvrir les yeux, se demandant d’abord ce qu’elle trouverait : un magnifique paysage, l’estomac d’un wyvern, une cabane comme celle où elle avait été … Après un moment de réflexion et n’ayant pas réussis à ce décider, elle ouvrit les yeux. Mais n’y voyant absolument rien, elle se leva et alluma une des dernières torches qui lui restait.
Aëron découvrit, avec soulagement mais aussi un peu de lassitude, qu’elle se trouvait toujours dans le souterrain. Elle se releva alors, doucement en se tenant la tête avec une main et en prenant appui sur le mur de l’autre main. Elle avait du se cogner la tête et le dos lorsqu’elle avait perdue connaissance. Aëron eu soudain un flash.
« Le monstre !? Où est-il ?? »Commença-t-elle à s’affoler alors qu’elle cherchait des yeux le monstre.
Elle eu un hoquet de surprise lorsque, dans un coin de la pièce, couché au sol, mort, elle reconnu le wyvern qui l’avait attaqué. Il était étendu au sol dans un position étrange laissant croire qu’il s’était débattu avant de mourir, des marques de brûlures autour de lui signifiées qu’il avait utilisé son électricité pendant son agonie. Aëron se demanda comment cette bête avait elle pu mourir ainsi dans de telles souffrances.
« Et si il faisait le mort ? » Lorsqu’elle se posa cette question, Aëron entreprit de chercher son arc. Elle le trouva, posé à côté d’elle et n’hésitant pas à s’en emparer.
Elle approcha alors doucement le cadavre en plaçant une flèche sur la corde et en la bandant. Elle était à présent s’y proche de lui qu’en tendant le bras elle pourrait presque le toucher. Alors qu’elle s’apprêtait à baisser son arc, le wyvern eut un violent spasme qui le fit sursauter et vomir un liquide étrange qui grésillât au contact du sol. Sans s’en rendre compte et tant elle eut peur, Aëron lâcha la flèche qui vint se planter dans le corps flasque et inanimé du monstre qui ne réagit même pas. Soulagée, Aëron se rapprocha du corps en éternuant (le monstre avait beau être mort, l’odeur ne l’était pas) et sortit son couteau de chasse. Lorsqu’elle planta se dernier dans la chair flasque elle reçu un choc comme avec la porte mais, ayant toujours ses gants de cuir, elle ne subit pas grand-chose. Alors qu’elle découpait des morceaux de chair du wyvern, elle eut de plus en plus de mal à couper. Elle retira alors le couteau dont la lame, couverte de liquide grésillant, fondait à vue d’œil. Aëron jeta alors le couteau au loin dont la lame se détacha à l’impact avant de fondre mollement sur le sol. Dégoûtée, la chasseuse se releva et rangea les quelques bouts de peau qu’elle avait parvenu à arrachés, elle sortit également de son sac une petit fiole de verre vide et la remplie du liquide étrange qui coulait des blessures du monstre. Son père lui avait appris que le verre était un des matériaux les plus résistants, elle l’avait donc utilisé pour collecter ce liquide qui lui serait peut être utile.
Une fois la fiole remplie elle scruta la salle afin d’y trouver une éventuelle sortie. Elle en vit une, cachée dans un recoin et confondue avec le mur de pierre recouvert de lierre et de mousse. Elle se dirigea alors vers cette porte dissimulée, y arrachant les plantes qui la recouvraient puis elle attrapa la poignée et la tourna. Lorsque elle toucha la poignée, elle reçu une nouvelle fois un choc mais, presque habituée, elle ne sentit presque rien. Une fois la porte ouverte au maximum, Aëron se glissa dans la salle suivante et y découvrit un long couloir.
L’odeur se fit de nouveau plus forte et la jeune chasseuse se mit alors sur ses gardes. Elle sortit son arc et y place une flèche, prête à décocher. Puis avançant prudemment sur la pointe des pieds pour ne pas faire de bruit, elle se dirigea vers le fond, encore invisible à ses yeux, du couloir.
« CRACK ! »
Sans s’en rendre compte, en sursautant de peur, Aëron lâcha la flèche qui vint se planter dans un mur, elle regarda ensuite à ses pieds pour voire qu’elle venait de marcher sur un ossement qui traînait là. Alors qu’elle maudissait son imprudence, elle commença à entendre, sentir et apercevoir de nombreuses choses sur les murs et les plafonds. En se concentrant un peu plus elle se rendit compte avec un hoquet de surprise qu’il s’agissait de la même sorte de créature qui l’avait attaquée quelques temps auparavant. Quoique plus petits, ils ne semblaient pas moins féroces et effrayants et ils étaient nombreux … trop nombreux …
La suite ... au prochain épisode !
Ortimore- Nombre de messages : 1827
Age : 31
Localisation : Dans les forêt & collines en train de chercher un chameleos à 30% de sa taille ^.^'
Rang : Popodrome des Pink Popo
Date d'inscription : 26/01/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
alors la franchement je dis bravo !
j'ai tous lu du debut a la fin et c'etait genial
j'ai adoré cette fic et j'ai hate de voir la suite des aventure d'aeron
bonne continuation
j'ai tous lu du debut a la fin et c'etait genial
j'ai adoré cette fic et j'ai hate de voir la suite des aventure d'aeron
bonne continuation
juju4- Nombre de messages : 58
Age : 31
Date d'inscription : 07/06/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Whaaa bravo j'ai mis le temps a tout lire mais bon chapeau moi je dit !!
Zengestu- Nombre de messages : 8
Age : 32
Localisation : Patelin
Date d'inscription : 03/02/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Vraiment super intéréssant , le seul reproche que je puisse te faire ,c'est que je trouve que ton héroine s'évanouit bien trop souvent ( répétition du genre : elle tombe dans les pommes, elle se réveille sans savoir ou elle est , et d'un coup un truc arrive ).
Voila bonne continuation
Voila bonne continuation
Heroes- Nombre de messages : 260
Age : 31
Localisation : Tour , observant le paysage....
Rang : Commandant de l'unité spéciale de déwyvernisation
X-Tag : [TC]Heroes
Date d'inscription : 06/05/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
bien bien ta fic mais comme la dis heroes elle s'évanouit trop, contre le conga contre le chameleos et contre le kezhu. sinon bonne continuation :noel:
Playback9[Aka Ratzinouny]- Nombre de messages : 1408
Age : 29
Localisation : Suisse, Valais
Rang : mhfu: 8* guilde et 9* village, mhp3: 3*village (only solo)
Date d'inscription : 23/11/2007
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
Le 2eme monstre c'est un chameleos ?
Mais un chameleos ne change pas de couleur , si ?
Mais un chameleos ne change pas de couleur , si ?
Heroes- Nombre de messages : 260
Age : 31
Localisation : Tour , observant le paysage....
Rang : Commandant de l'unité spéciale de déwyvernisation
X-Tag : [TC]Heroes
Date d'inscription : 06/05/2008
Re: Fic de Ortimore : Aëron la chasseresse.
heu oui il change quand il bouge il prend les couleurs de l'endroit un peu tu voit
Playback9[Aka Ratzinouny]- Nombre de messages : 1408
Age : 29
Localisation : Suisse, Valais
Rang : mhfu: 8* guilde et 9* village, mhp3: 3*village (only solo)
Date d'inscription : 23/11/2007
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» Presentation de Ortimore
» hello chasseurs et chasseresse
» Magride, une nouvelle chasseresse.
» Salut à tous les chasseurs et chasseresse
» Félina, nouvelle chasseresse(Joueur masculin)
» hello chasseurs et chasseresse
» Magride, une nouvelle chasseresse.
» Salut à tous les chasseurs et chasseresse
» Félina, nouvelle chasseresse(Joueur masculin)
Page 2 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum