Fic de KutKutator : L'avénement de l'Avatar

ok
c'est vrai que c'est bien de mettre des nouveaux monstres
sa rajoute du mystere ( hou hou )

tres bon chapitre
ps desoler de ne pas avoir pus poster avant mon internet fesait des sienne

Vous pouvez au moins dire si c'était un bon chapitre , parce que j'ai un peu prit des risques en rajoutant encore des personnages mystèrieux

KutKutator a écrit:Vous pouvez au moins dire si c'était un bon chapitre , parce que j'ai un peu prit des risques en rajoutant encore des personnages mystèrieux

c'est vrai que de voir aparaitre la seour de miwolf d'un coup dans une armure doree ( rathian or ? ) dont wyvern l'a pris pour une deese venue lutter contre le mal se rependant dans le corp de son frere a moitier ou totalement transformer en un monstre diabolique qui veut domminerle monde....( les formule habituelle, et j'en passe) .... et un sorcier malefique des temps obscur appatenant a un epoque inconu etant le maitre d'une horde de sorcier malefique venue rependre le chaos dans le monde des hunter et venue aider le mal dans sa quete de pouvoir, ca fait peur mais bon .... ( je sais je divague ) mais sinon bon chapitre comme d'habitude

au niveau bande de sorcier qui met le chaos dans le monde, t'as tout faux mais sinon t'as assez bien résumé
Et merci du commentaire

KutKutator a écrit:au niveau bande de sorcier qui met le chaos dans le monde, t'as tout faux mais sinon t'as assez bien résumé
Et merci du commentaire

QUOI j'ai tout faux sur des sorcier qui ont dit : Pour reprendre ta question, cela veut dire ... Souffrance à la Lumière. alors quoi la lumiere est le bien normalement et de la souffrance a la lumiere sa veut dire les tenebres (qui sont considerer comme le mal normalement) mais je peux me tromper a part sa je vois pas pourquoi ils serait du "bon" cote
je comprendrais plus tard dons ecrit vite la suite kutkutator

Chapitre 25 : La marche dans les sables

Depuis trois jours maintenant, Tristaän et les rescapés du Voilier-Sable marchait désormais à pied dans la chaleur suffocante du désert. Son ami et les autres blessés de l'attaque avait été mit dans des caravanes de secours disposées dans la coque, enfin ce était resté de la coque du bateau. Ils dormaient tous à l'intérieur de ces petites charettes transporté à tour de rôle par les robustes guerriers qui formaient l'équipage. Tristaän, en marchant, vit le commandor aérien marchait seul : elle s'approcha de lui, mieux valait parler que rester dans la solitude qui ronge plus vite que le sable du désert ...
- Bonjour. dit-elle en souriant.
- Bonjour. répondit-t-il, sans qu'aucun traits de son visage ne bouge. Il avait une belle carrure, et ne ressemblait pas à ces vieux marins de mer qu'elle connaissait. Il avait des cheveux marons, un peu comme du bois lisse, et de longs yeux verts d'emmeraude "si tous les hommes du Sud sont comme ça, je devrais venir plus souvent ..."
- D'ou vous vienne vos magnifiques armes ??
- Mes doubles lames ??
- Celles avec lesquelles vous avez chasser l'ombre.
Le commandor répondit, en tentant de ne pas trop laisser d'admiration à cette jeune femme : il était déja mariée ...
- Dans le désert, il y a d'énormes grottes creusées par -enfin c'est ce que l'on dit- le vent et l'air qui souffle ici. Dans ces grottes aux reflets magnifiques, ce sont les beautés les plus merveilleuses de la région, il y a des monstres comment dire ... spéciale, qu'on ne voit que là bas, et dont on faite des armes uniques avec leurs composants.
- Sont ils difficiles à combattre ??
- Cela dépend. Nous autres, chasseurs du Sud, maitrisons un art de chasse différent que les autres.
- Quel genre de combat. questionna elle, curieuse de comprendre cette autre culture.
- J'ai entendu que vous alliez combattre le Shen Moran
- Le quoi ??
- L'Enfer des Sables. D'autres chasseurs de la région y vont pour le vaincre. Regardez comment ils combattent.
Le guerrier mystérieux finit sa phrase par un bref soupir. Tristaän n'en dit pas plus ...

Le lendemain, tous le monde était pressé : les membres disaient qu'ils approchaient grandement de Kornh-Valdor. Lorqu'ils avaient annoncés cette nouvelle, chacun avaient su exprimés sa joie. Il fallait dire que le sable entrait dans les oreilles et donnaient une impression de sifflement constant. La chaleur irritait la peau, et la réserve d'eau ne servait pas à rafraichit le corps, seulement à boire, et les yeux, tout le temps sous l'influence des rayons violents du soleil, devenaient presque aveugles le soir. Du sang avait même coulait des iris d'un vieil homme, qui s'était effondrait, mort de douleur. Presque guéri, Tristaän était allé voir Thorn, son ami dont la blessure faisait toujours peine à voir.
- Tu es venu ... lacha-t-il dans un murmure obligé : il n'arrivait beaucoup à parler, un de ses poumons étaient touchés lui avait délivré l'infirmière.
- Tu te sens mieux ??
Thorn toussa violement, et des petites goutelettes de sang volèrent dans les airs de l'infirmerie ...
- On ne dirait pas ...
Il sourit vaguement puis ferma les yeux vers un sommeil réparateur. Tristaän sortit silencieusement de la charette, pour ne pas le réveiller et pour ne pas alourdit le poids que portait les guerriers qui ne disaient rien, et ne faisait voir aucune trace de fatigue, après ces quatre jours où ils portaient ce lourd fardeau.
Au loin, Tristaän aperçut quelque chose, une silhouette qui paraissait -enfin elle esperait- humaine.
Elle s'approcha du capitaine qui amrchait toujours seul, et lui fit part de ce qu'elle venait de voir ...
- C'est un homme. Il marche vers nous, il sait que nous sommes là.
- Ses intentions ne sont pas ... barbares ??
Le commandor ne répondit pas, continua seulement de marcher, en avisant l'homme au loin qui avançait. Arrivait à un certain point, il ouvrit grands les yeux et s'écria :
- C'est la croix en aigle !! Cet éclaireur porte la croix en aigle !!
Tout le monde s'agita, dans un élan d'excitation.
- C'est quoi la croix en aigle ?? s'enquit Tristaän
- Le signe de Kornh-Valdor !! Le signe que nous approchons de la Cité du Désert !! répondit-il joyeusement ...

Chapitre 25 : Peur dans le ciel

C'était un Yama Tsukami, nommé ainsi par les anciens. C'était un énorme monstre coloré d'un vert de forêt, possédant huit longues tentacules visqueuses qui flottaient hasrdeusement dans l'air. Ses entrailles cachaient une gueule béante énorme garnies de dents gigantesques. Le monstre résussissait à voler par un miracle encore inconnu : certains disaient que c'était grace au gaz que contenait son estomac !! Le monstre se positionna à quelques mètres seulement du bateau. Les tentacules frôlaient déja l'embarcation, enmenant avec elles quelques précieux tonneaux de poudres.
Devinant froidement qu'il ne pourrait pas combattre un tel monstre, et qu'il devait vite intrevenir avant que toute l'embarcation soit fracassée, Altas prit Théoden par la main -qui se laissa bien sur faire vu l'étrange état dans lequel il était possédé- et courut vers l'échelle qui menait à l'intérieur di bateau. Pensant bien sur que la bête ne tenterai rien pour le moment, Altas ne vit pas le premier coup de tentacule du Yama Tsukami, qui éclata une des trois parties de l'énorme ballon d'air du bateau. Celui-ci, en vidant son air, provoqua une explosion paraissant titanesque. L'onde de choc envoya Altas par terre avec son ami, et le monstre, qui était plus proche de l'impact mais plus gros, ne fit que de s'envoler plus loin, à court therme le temps que la première onde s'estompe. L'arrière du bateau s'embrasa soudainement, l'air qui venait de sortir en masse du ballon était très inflammable, et rien que le moindre impact provoquait le feu. Altas se remit debout maladroitement, et releva Théoden qui semblait être plongé dans un profond coma “j'ai déja vécu ça ...” pensa-t-il. Il revit Tristaän, inconsciente, en train de se caché. Karan, courageuse, qui tentait de sauver les autres, au dépriment de sa propre vie. Le gémissement de Théoden le retira de ses pensées : il venait enfin de se remettre de sa trense et s'était aperçut de sa cheville qui ne serait plus jamais la même : elle était percée d'un fragment de chaines tordues en pointes, malheureusement épaisse.
- Attends moi la, je reviens !!
- Ou veux tu que j'aille ?? Surtout qu'on est pas dans les mille mètres d'altitude !! répondit-il, à la surprise d'Altas qui ne pensait pas que dans une telle souffrance, on pouvait encore avoir un ton humouristique.
Le jeune guerrier descendit l'échelle presque sans s'en rendre compte, tellement le stress et la peur l'avait envahit. Il regarda un peu partout, dans les coins, les coffres, à la recherche d'une aide, d'un levier pour faire fonctionner une arme faite exprès pour combattre pareil monstre, d'une bombonne d'acide, de n'importe quoi pourvu que cela l'aide !! Il répéra alors l'arme du capitaine, placée sur son lit, propre et brillante -le capitaine était encore en train de parler tout seul comme toutes les autres personnes présentes sur le pont, mis à part Théoden-. C'était un Fusarbalète Lourd, une arme que portait en faite tous membres de l'équipage -cela n'étonnait maintenant plus Altas-. Il prit cette arme excessivement lourde entre de ses deux mains musclées. Il retira quelques munitions dans une petite boite où était inscrit “Munitions Ciel”. N'en ayant jamais entendu parler avant, Altas se dit que c'était un des changements du Nord. Les petites balles étaient assez étranges en faite : colorées d'un jaune très brillants, elles se finissaient par de petites pointes incroyablement acérées. Il la plaça dans une fente de l'arme, où il réussit à caser une dizaine de munitions. L'arme ainsi chargée, il prit la petite boite de recharge, mit le Fusarbalète sur son dos, et accourut vers l'échelle. Plus haut, sur le pont, une deuxième secousse se fit entendre. Altas fut une nouvelle fois projeté par terre. Un cliquetis de chaine d'acier éclata, et la partie avant du bateau bascula dans le vide. Le guerrier armé se jeta sur l'échelle, monta deux par deux les échellons, et arrivé en haut, un spectacle horrible s'offrit à lui : La deuxième bombonne d'air était explosée, tous l'équipage criait, maintenant qu'il avait reprit ses esprits, et Théoden s'accrochait déséspérement à une barrière, à la limite de tomber dans le vide ...

Euh c'est moi ou ca interresse personne ??

moi sa m'interese il n'y a pas ten faire meme si je pensais avoir poster au dernier chapitre 2 fois mais bon cela dois etre a cause d'internet( comm d'abs , un vrai casse tete )
tres bon chapitre kut-ku un yama c'est quand meme un peu gros non ? bon c'est vrai que des pirate qui contole un yama c'est possible mais impossible ( houla sa s'arange pas evec le temps)
continus comme sa et desoler pour le delire

T'inquiete ca m'arrive souvent à moi aussi ^^
Et encore merci (quand tu disais un peu gros, c'est dans le sens "on n'y croit pas trop" ou dans le sens "très gros monstre" ??, mais bon pas grave ...)

KutKutator a écrit:T'inquiete ca m'arrive souvent à moi aussi ^^
Et encore merci (quand tu disais un peu gros, c'est dans le sens "on n'y croit pas trop" ou dans le sens "très gros monstre" ??, mais bon pas grave ...)

eh bien les deux en faite c'est pour sa que sa ne s'arrange pas , mais bon je dois bien reigoler car depuis le depart de tenshi sur jenova...(fin de )

Je ne te comprends pas vraiment sur le coup ...
Tu trouves que ma FIC s'arrange pas ?? Bon, chacun ses critiques ... =)

Heuresement que Kut ma prévenu (c** de p**** de m**** de suivre le sujet, 4 ou 5 chap et même pas dans ma boite à mail j'ai vu un seul message indiquant qu'il avait post)

Bon chapitre (en général), faut voir la suite ça promet d'être intéressent

KutKutator a écrit:Je ne te comprends pas vraiment sur le coup ...
Tu trouves que ma FIC s'arrange pas ?? Bon, chacun ses critiques ... =)

mais non c'est moi qui m'arange pas

Merci à Dracostef et à toi LeonHunter (désolé de la mal compréhension ^^)

Par contre j'annonce que mes parents (super chiants) commencent à me réprimander sévrère quand je vais trop sur l'ordi et comme je n'ai pas que le forum (MSN, facebook, ... tout ce qu'à je pense un mec de 14 ans) je posterai moins (désolé, faut se plaindre à mes parents)

Voila, tout en sachant que le chapitre 26 est quand meme en cour d'écriture quand meme

lol c'est pas grave j'irais me plaindre quand je t'aurais retrouvé lol, non c'est vrai c'est pas grave tant que ça arrive un jour

Chapitre 26 : Réponse par toute beauté

Lorsque Wyvern se réveilla, il était couché dans une pièce lumineuse, nimbée de lumière par le soleil qui venait de se lever, dans un vide nuageux. Sa vue était flou, et il ne distingua que de maigres détails de ce qui l'entourait : il y avait un meuble épais, fait de Barguerite, un arbre de la région, au couleurs violettes et bleu clair. Au bout de la pièce, il perçut un panier, où une petite couette dépliée était posée, chaude et étrangement parsemé de lambeaux de tissus déchirés. Wyvern tenta de se lever, mais il se rappela doulouresement, en poussant un gémissement de souffrances, sa blessure encore fraîche à l'épaule, qui éjecta quelques gouttes de sang lorsqu'il la bougea ...

• J'y ai versé quelques gouttes de Feramol, un Elixir de la Région.
  La personne qui venait de parler s'avança jusqu'à la ligne d'ombre à l'avant de la chambre, sans la dépasser, laissant son visage sombre et impércéptible.
  
• Qui êtes vous ?? osa Wyvern, curieux tout dê même de savoir à qui il avait à faire.
  
• Je t'ai déja dit qui je suis, et tu n'as à entendre que mon lien familial.
  répondit-elle, dans une réponse brève et directe.
  

Wyvern lacha un sourire : comme ci une identité pouvait causé mal à autrui.

• Ou suis-je ?? questionna-t-il sournoisement, en cherchant une réponse qu'il savait inespérée : si elle ne voulait lui révéler son nom, cette jeune femme ne lui déclarerait pas le nom du lieu où il se trouvait.
  
• Tu te trouves dans Jerv-Endrha, la Cité Avatarienne. Lorsque tu seras rétablis, tu pourras visiter.
  
  

Wyvern chercha déséspérément dans son esprit encore brouillé si il avait déja entendu parler d'une quelconque cité avec pareil nom. En vain, il ne connaissait pas cet endroit.

• Pourquoi vous ne vous montrez pas ?? demanda Wyvern, qui voulait une nouvelle fois voir la toute beauté de cet être qui, il s'en rappelait, lui avait sauvé la vie
  
• Mon apparence m'oblige à ne pas me faire voir par un humain. Ton désir l'emporterait sur ta raison. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai du m'éloigner de mon frère, il y a quelques années ... Wyvern la vit baisser la tête dans l'ombre, sans doute cernée par un profond regret.
  
• Pourquoi m'avez vous emmené ici ?? Miwolf allait revenir !!
  
  

Elle ne répondit jamais à la question : elle tourna plutot la tête vers la fenêtre, et un de ses yeux s'éclaircit. Rien qu'en observant un seul reflet du visage de la jeune femme, Wyvern frémit de désir. Mais quel était le secret de cette beauté vivante ?? ...

chapitre intrigant je trouve, et même plutôt troublant, mais qui est-ce?

Chapitre 27 : La puissance désertique

Une escorte d'une vingtaine de soldats "d'élite" d'après le Commandor, était arivé proche du groupe, pour l'accompagnait durant la fin du voyage, pendant lequel il faudrait encore marché quatre heures, qui paraissèrent moins désormais moins longues, maintenant que tout le monde avait la joie de la fin de ce prériple, et le coeur plein d'espoir. Certains parlaient de leurs fils, qui devaient se faire un sang d'encre, d'autres de leurs femmes enceintes, qui les attendait, avec l'horrible crainte que leur enfant se retrouve sans père, depuis qu'elles avaient apris qu'un monstre avaient attaqué l'embarcation de leur mari. Tristaän, elle, souhaitait qu'elle ne soit rien arrivé à Altas : il avait le don de s'attirait des ennuis inimaginables. Pendant la fin de la grande marche, elle crut voir des bêtes courirent dans l'horizon, comme des plumes, s'envolant dans l'air, qui apparaissent dans un envol mystérieux, et disparaissaient dans le vent. En plissant les yeux, elle aperçut même quelqu'un sur cette bête, comme ci il s'en servait en tant que monture. Elle n'eut pas le temps de chercher d'autres détails dans le lointain, les Soldats de Kornh-Valdor veanit d'apercevoir les Grandes Tours de Fer, les piliers de la Porte de Fer, et de la Cité. En effet, d'après les plans que Tristaän avait put entrevoir rapidement dans la soute du bateau, la Porte, les Tours et toute la Muraille, protégeait la Ville derrière, et soutenait la Cité, où se plaçait tous les plans politiques, militaires, les appartement royaux, et un étrange et immense batiment, qu'elle n'avait pas reconnt. Quelques minutes plus tard, lorsque la troupe arriva devant la Muraille, les étrangers de la ville ne tentèrent même plsud e savoir pourquoi on appelait cette ville la Cité Desertique des Anges : les Portes, hautes d'une quarantaine de mètres chacunes, toutes faites d'aciers, de Rubis Valdor, de Sphrène, d'Emmeraude, ... lui donnant un côté splendide, reflétant encore mieux que le ciel lui-même, les reflets dorés du soleil. Les Tours, quant à elle, s'élevaient encore plus haut, poru se rejoindre en un gigantesque clochet de cristal. Au dessus de cet instrument pharamineux, était gravé dans la même pierre, un monstre que Tristaän ne reconnut pas, de par son étrange physiologie et de sa hauteur lointaine. Un des gardes, sans doute le Capitaine, s'approcha de la Porte de Fer, et tira un levier en bronze, incrustait de symboles. On entendit un mécannisme s'actionnait dans les profondeurs de la Muraille, comme une machine vieille de plusieurs siècles, toujours offrante à l'usage humain.
Tout en haut de la tour, un homme s'approcha du bord, et en reconnaissant le soldat, il cria un ordre en un langage inconnu, le même que celui dont avait parlé Thorn avant son accident, sans doute ...

Le capitaine recula, et on entendit comme le bruit d'un Bateau-De-Pierre-Noire, un de ses engins hautement scientifique et moderne, qui évacuait de la fumée noire en partant vers le large, dans le lointain océan. Les Portes de Fers grincèrent, un énorme cliquetis explosa, et elles s'ouvrirent lentement, toute seul, en rejetant une fumée grisâtre d'une cheminée, placée plus loin. Lorsque, une dizaine de minutes plus tard, elles furent complétement écartés, tous étaient encore là, mis à part les soldats, à contempler la ville de Kornh-Valdor : Rien ne pouvait être comparé, à cette immense Cité de Fer, de Sable, et de puissance désertique ...

toujours aussi bien mais comment tu fais?

Merci Dracostef, ca fait plaisir
Allez encore un chapitre, vu que je suis en week end faut que je profite :

Chapitre 27 : La Barbarie nuageuse

La peur ayant conquit les pensées d'Altas, et la sueur son corps, il en oublia la présence du Bateau Pirate, qui s'approchait dangereusement de leur embarcation. Il n'avait pas vut que, pendant qu'il était en train de chercher déséspérément dans la soute une arme quelconque, on avait balancé de lourds crochets de fers, où des guerriers barbares commençaient à se glisser : il préférait prendre le risque de tomber dans le vide que de ne pas détruire cette embarcation, passagers comprient. Altas avait désormais ses Munitions Ciels de charger, mais rangea son arme pour secourir Théoden, qui pouvait à tous moment lachait prise, et plonger dans le gouffre nuageux qui était placé sous leurs pieds. Altas s'assit et glissa sur le bois, comme un toboggan de bois et d'échardes. Arrivé à mi-chemin, il reprit son souffle et son calme en s'appuyant sur une bare de fer qui dépassait : si il perdait le controle de sa descente, c'est aussi la vie qu'il abandonnerait. Il prit son courage à deux mains, lacha la barre de fer, puis vira vers son ami. Il stoppa sa chute sur la barrière du bateau, puis s'accrocha au bras de Théoden, en le remontant vivement, des larmes coulant sur ses joues sous l'effort qu'il menait. Quand Théoden se percha à la même ligne que lui, il le serra grandement dans ses bras : une amitié, en une seule péripétie, veanit de se souder dans l'espoir.

Lorsqu'il sortit de l'étreinte de son compagnon de combat, Altas prit l'arme du Capitaine entre ses main, puis visa les yeux du monstre, lointain, en pleine hauteur, mais pas innaccessibles. Il tira une première munition, et fut surprit par l'onde de choc qui le fit reculler, seulement avec la force d'une aussi petite balle. L'impact n'eut l'air de rien vu d'en bas, et le monstre aussi au commencement en sentit rien. Mais la munition resta figeait dans sa chair verte et visqueuse, et comme un minuscule monstre, elle suça progressivement le sang de la bête, de ses pointes qui la cernaient, ressemblant désormait à des dents pointues. En voyant les pirates sur le bateau, qui venaient de débarquer, Altas, qui n'avait pourtant jamais combattu d'humain, n'hésita pas pour sauver sa vie, et celles des passagers : il tira des Munitions Ciels sur les guerriers, qui s'éffondrèrent tout de suite lorsqu'ils reçurent la balle, se nourrissant de tout leur sang présent dans leur corps, en un temps record. Quand il n'y avait plus de guerriers, Altas tirait sur le monstre, qui recula soudain, son sang violet ressortant de ses veines. En voyant d'où venait la menace, les autres pirates changèrent de direction, en balançant leurs crochets vers les deux hommes, lames sortient : les Pirates Sardor avaient tous un lien entre confrères, et détestaient lorsqu'un d'eux tombaient au combat ...

t'enchaine vite j'ai a peine le temps d'en lire un que t'en post encore 3 lol, le truc c'est que t'es chapitre sont super court c'est pour ça que tu post vite non?
Sinon bon chapitre, je dois dire merci Atlas lol ^^

Altas et non pas Atlas : mon héros n'est pas un livre ^^
Et j'enchaine vite parce que, comme expliqué plus haut, mes parents m'engueules quand je fais trop d'ordi lol

Mais sinon merci de toujours suivre, et des compliments