[INTERFIC] La Fic sans nom
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Ce qui nous fera donc:
Sexe: Homme
Expérience: Débutant
Armes: Lance + Armes improvisées
Personnalité: Inconscient
Schizophrénie: oui
Époque: MHFU
Chapitre 1 à venir!
Sexe: Homme
Expérience: Débutant
Armes: Lance + Armes improvisées
Personnalité: Inconscient
Schizophrénie: oui
Époque: MHFU
Chapitre 1 à venir!
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Il arrive bientôt le chapitre ? J'ai hate !
Roy Shogun- Chef R.P.
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Moi aussi
J adore ton prologue c est bien trouvé
J adore ton prologue c est bien trouvé
thomaslehunter- Nombre de messages : 116
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Suite à des problèmes familiaux, j'ai eu peu de temps pour m'en occuper pendant la deuxième moitié de Mai! Au final, j'ai carrément oublié que j'avais une fic en cours ici... ^-^'
J'ai commencé de le taper il y a de ça deux heures. il est pratiquement prêt à la "publication".
j'ai le récit principale, plus qu'à mettre un peu plus en forme le style par-ci par-là et à vérifier l’orthographe, puis je le post! J' essaierais d'y consacrer à nouveau 1 ou 2 heures ce soir, ce qui devrait permettre de le finir. Au plus tard pour demain! :)
J'ai commencé de le taper il y a de ça deux heures. il est pratiquement prêt à la "publication".
j'ai le récit principale, plus qu'à mettre un peu plus en forme le style par-ci par-là et à vérifier l’orthographe, puis je le post! J' essaierais d'y consacrer à nouveau 1 ou 2 heures ce soir, ce qui devrait permettre de le finir. Au plus tard pour demain! :)
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Je certifie pas le sans fautes pour l’orthographe, mais ça y est, il est fini! Et encore désolé pour le retard...
Bonne lecture! :)
__________
Il courait sur le sentier aussi vite que ses muscles le permettaient. Son bouclier, qu’il portait à la ceinture, s’enfonçait dans sa cuisse à chaque mouvement, tandis que la lance en fer qu’il portait dans son dos lui grattait la tête à chaque balancement. Il sentait même les graviers lui écorcher ses pieds, nus, à tel point qu’il laissait un peu de son sang sur chacune de ses traces de pas. Ajoutés à tous cela, ses poumons étaient en feu, et il devait forcer sa jambe à continuer de courir malgré l’atroce crampe. Dans son esprit intérieur, un de ses « lui », moins téméraire, tentait de prendre le dessus pour faire cesser cette souffrance inutile ; mais le principal, qui avait le contrôle du corps, continuait de courir tout en maudissant sa schizophrénie.
Bientôt, il allait repasser les deux torches enflammées. Il les a déjà passé douze fois, en s’efforçant d’oublier qu’entre chaque passage, il avait couru sur une boucle d’un kilomètre. Muishiki se consolait en pensant que seuls 7 tours le sépareront encore de la fin de ses souffrances après son prochain passage.
Sutikku, le maître de Muishiki, le regardais avec un sourire en coin : Il n’avait jamais vu un lancier tenir si longtemps. Il jeta un coup d’œil aux autres élèves, qui avaient déjà fini leurs 20 kilomètres et s’étaient assis sur l’herbe fraiche pour se laver les pieds et boire à grand engorgées. Indéniablement, il est plus facile de courir avec un fusil-arbalète en bandoulière - ou une épée dans un étui à la taille, qu’avec une lance de près de 4 mètres dans le dos et un bouclier aussi grand que son torse au ceinturon.
Après presque 3 heures de course, le jeune apprenti passa les flambeaux pour la vingtième fois. Une fois passées, plutôt que de s’arrêter gentiment et rejoindre son professeur, il préféra s’écrouler tel un sac sur le sol graveleux. Fatigué à n’en plus pouvoir, il regardait Sutikku s’approcher de lui, en lui ordonnant de se relever. « Je suis crevé, sale sadique… » Pensa-t-il avant de s’évanouir.
Lorsqu’il rouvrit les yeux, Muishiki reconnu immédiatement l’endroit où il se trouvait. Dans un lit, bordé par des draps blancs, et ce dans une pièce de la même couleur… Il ne pouvait être qu’à l’infirmerie de son école militaire. Il y était déjà passé quatre fois: Une fois pour retirer une épine de près de 40cm de son torse, une autre pour arrêter cinq ou six hémorragies à autant d’endroits différents, et il comptabilisait alors son troisième évanouissement d’épuisement.
Il lut dix jours de repos sur la fiche posée sur sa table de chevet, mais il savait bien que son maître ne lui en laissera que le tiers avant de le contraindre à retourner enchaîner pompes et tractions par paquets de cinquante, huit heures durant.
Muishiki passât trois jours à l’infirmerie avant que Sutikku revienne le chercher, à maudire le jour où il avait signé son entrée dans l’école. Finalement, devenir un chasseur n’est pas si plaisant que cela en avait l’air... Vivement que les cours se terminent!
Une fois dehors, il retrouva l’autre groupe moins un, puisqu’un autre est partit en séjours à l’infirmerie après s’être sortit l’œil droit de l’orbite pendant un exercice.
- Vous partez de ce tronc d’arbre, posé au sol. Courrez alors jusqu’à l’autre tronc allongé au sol, à cent mètres. Touchez-le des deux mains, puis revenez toucher celui-ci. Faîtes trente allers-retours. Go!
- Attachez vos deux pieds ensembles avec ces cordages, puis attachez votre nœud à celui d’un camarade. Une fois ceci fait, grimpez cet arbre de 15 mètres cinquante fois!
- Faîtes vingt-cinq tours de la boucle, soit autant de kilomètres, avec ces sacs. Chacun contient près de 20 kilos de parpaings.
- Allez dîner maintenant ! On finira la journée par deux séries de cinquante pompes, cinquante tractions, et cinquante abdos.
Les huit apprentis chasseurs peinèrent à rejoindre les tables pour manger l’assiette de sucre et leur breuvage d’énergie qui leur servira de dîner, avant d’aller souffrir à nouveau.
Une fois la journée enfin terminée, ils purent aller prendre une bonne douche pour ensuite aller dormir cinq ou six heures, avant de retourner s’éclater les muscles le lendemain avant même l’arrivée du soleil.
Deux élèves n’étaient pas présents: deux claquages à la cuisse leur ont offert un aller simple pour l’infirmerie. Kanja, l’infirmière, s’occupaient toujours très bien d’eux. Mais vu tout ce qu’ils enduraient, il le fallait bien… ou ils ne donneraient pas bien cher de leur peau.
Comme chaque nuit, Muishiki contemplait le ciel par la fenêtre, depuis son lit. Ce ciel qui le faisait rêver de liberté, et qui dominait sur les forêts et collines. Son mental souffrait tant il pensait à tous ces monstres, comme des Velocidrome, Kut-Ku et pleins d’autres réjouissances, qu’il rêvait d’affronter.
- La fenêtre est ouverte, et assez large pour y faire passer ta lance et toi avec. Qu’attends-tu pour t’enfuir ? Souffla son lui avide d’aventures.
- C’est une bien mauvaise idée ! Mieux vaut attendre la fin de l’entraînement, ou nous seront tué au premier monstre rencontré! Rétorqua le plus sage de ses lui.
- Assez! Crachat-il. Maudite schizophrénie ! Laissez-nous tranquilles, moi et mon corps, et allez pourrir dans les griffes du Fatalis!
- Lui, au moins, est libre, répondit son lui vicieux, réjouit par l’idée de s’échapper.
- Allez-vous-en! J’ai l’impression de parler avec le petit diable et le petit ange…
- Que nenni, mal poli! Nous sommes toi, tu te rappelles?
Muishiki resta quelques minutes à contempler le ciel sombre, en réfléchissant à la proposition. La fenêtre était en effet ouverte, et à seulement 4 mètres du sol. Il a déjà chuté de plus haut sans égratignures. Une fois en bas, il lui faudra courir jusqu’au sentier d’entraînement. Après environ quatre-cent mètres de parcourus sur ce dernier, il y aura un arbre avec une longue branche passant par-dessus la clôture. Il lui faudra s’y agripper, pour monter dessus. Il lui faudra encore escalader une branche ou deux pour passer hors d’atteinte des barbelés. Il ne resta plus qu’à sauter de l’arbre, et il respirera le doux parfum de la liberté en pleine forêt!
La réflexion à peine terminée, il se rendit compte que le bouclier était déjà passé par la fenêtre et que la lance était en position pour servir de perche, et qu’il avait déjà passé la jambe droite. Un de ses autres lui a profité de son absence pour prendre le contrôle du corps… Une fois la tête passée, il glissa l’autre jambe pour s’assoir sur les rebords. Derrière lui, un camarade réveillé par le fracas de la chute de la lance n’en cru pas ses yeux. Mais Muishiki n’eut que faire de ses avertissements, et se jeta en avant.
La lance remplit parfaitement son rôle de perche, mais l’arrivé fut si brutale qu’il tomba à la renverse et s’ouvrit le bras sur le protège-main de sa lance. Il se releva péniblement, pris sa lance et son bouclier. C’est alors qu’il réalisât qu’il avait sauté en pyjama, et sans changes.
Sans autres choix possibles, il enleva le haut pour l’enrouler autour de son bras, et ainsi stopper l’hémorragie. Il se mit alors à courir, torse nu, comme il le put, la lance tenue au milieu dans une main et le bouclier dans l’autre, n’ayant pas de quoi les attacher. Pour oublier la douleur dans ses muscles - encore sous l’emprise de la dure journée, il s’occupa à maudire son lui qui était partit trop dans la précipitation, oubliant ainsi vivres et vêtements. Le froid lui gelait tout le haut du corps, le bas étant chauffé par les muscles qui travaillaient du mieux qu’ils le pouvaient.
Après trois cents mètres de course effrénée, il arriva sur la piste qu’il emprunta alors vers la gauche. Sous l’effet de l’épuisement, il relâcha un peu trop son bras droit, et le bout de la lance se planta net dans le sol de terre. Le choc le projeta en avant aussi rapidement qu’il courrait. Une glissade de plusieurs mètres sur le sol caillouteux lui érafla une moitié du visage. Heureusement, il eut le reflexe de protéger son ventre avec le bouclier, mais son pantalon fut déchiré par de multiples endroits. La gueule en sang, il se releva, ramassa sa lance et la pris dans l’autre sens, ainsi que son bouclier, puis se remit à courir.
Alors qu’il courrait vers le grillage, il entendit la voix d’un surveillant qui lui courrait après en lui criant de s’arrêter. Mais il ignora ses appels, et commença de grimper, oubliant ses armes dans la précipitation. Alors qu’un de ses lui le lui fit remarqué, il était déjà trop tard tant le surveillant était proche. Cependant, lors d’une seconde de perte de concentration il se prit un bras dans les barbelés. Lorsqu’il sentit les dents acérées, il lâcha prise sur la branche et tomba. Il ne tenait plus qu’aux barbelés qui lui arrachaient la chair du bras.
Le pion arriva à sa hauteur. Le temps qu’il le sorte de là, la moitié de son avant-bras était arraché de telle sorte qu’on voyait par endroit ses muscles voir son os.
Le surveillant le prit dans les bras, et courra vers l’infirmerie. Muishiki perdit connaissance en chemin, après avoir perdu du sang à grands flots.
Bonne lecture! :)
__________
CHAPITRE PREMIER
Il courait sur le sentier aussi vite que ses muscles le permettaient. Son bouclier, qu’il portait à la ceinture, s’enfonçait dans sa cuisse à chaque mouvement, tandis que la lance en fer qu’il portait dans son dos lui grattait la tête à chaque balancement. Il sentait même les graviers lui écorcher ses pieds, nus, à tel point qu’il laissait un peu de son sang sur chacune de ses traces de pas. Ajoutés à tous cela, ses poumons étaient en feu, et il devait forcer sa jambe à continuer de courir malgré l’atroce crampe. Dans son esprit intérieur, un de ses « lui », moins téméraire, tentait de prendre le dessus pour faire cesser cette souffrance inutile ; mais le principal, qui avait le contrôle du corps, continuait de courir tout en maudissant sa schizophrénie.
Bientôt, il allait repasser les deux torches enflammées. Il les a déjà passé douze fois, en s’efforçant d’oublier qu’entre chaque passage, il avait couru sur une boucle d’un kilomètre. Muishiki se consolait en pensant que seuls 7 tours le sépareront encore de la fin de ses souffrances après son prochain passage.
Sutikku, le maître de Muishiki, le regardais avec un sourire en coin : Il n’avait jamais vu un lancier tenir si longtemps. Il jeta un coup d’œil aux autres élèves, qui avaient déjà fini leurs 20 kilomètres et s’étaient assis sur l’herbe fraiche pour se laver les pieds et boire à grand engorgées. Indéniablement, il est plus facile de courir avec un fusil-arbalète en bandoulière - ou une épée dans un étui à la taille, qu’avec une lance de près de 4 mètres dans le dos et un bouclier aussi grand que son torse au ceinturon.
Après presque 3 heures de course, le jeune apprenti passa les flambeaux pour la vingtième fois. Une fois passées, plutôt que de s’arrêter gentiment et rejoindre son professeur, il préféra s’écrouler tel un sac sur le sol graveleux. Fatigué à n’en plus pouvoir, il regardait Sutikku s’approcher de lui, en lui ordonnant de se relever. « Je suis crevé, sale sadique… » Pensa-t-il avant de s’évanouir.
Lorsqu’il rouvrit les yeux, Muishiki reconnu immédiatement l’endroit où il se trouvait. Dans un lit, bordé par des draps blancs, et ce dans une pièce de la même couleur… Il ne pouvait être qu’à l’infirmerie de son école militaire. Il y était déjà passé quatre fois: Une fois pour retirer une épine de près de 40cm de son torse, une autre pour arrêter cinq ou six hémorragies à autant d’endroits différents, et il comptabilisait alors son troisième évanouissement d’épuisement.
Il lut dix jours de repos sur la fiche posée sur sa table de chevet, mais il savait bien que son maître ne lui en laissera que le tiers avant de le contraindre à retourner enchaîner pompes et tractions par paquets de cinquante, huit heures durant.
Muishiki passât trois jours à l’infirmerie avant que Sutikku revienne le chercher, à maudire le jour où il avait signé son entrée dans l’école. Finalement, devenir un chasseur n’est pas si plaisant que cela en avait l’air... Vivement que les cours se terminent!
Une fois dehors, il retrouva l’autre groupe moins un, puisqu’un autre est partit en séjours à l’infirmerie après s’être sortit l’œil droit de l’orbite pendant un exercice.
- Vous partez de ce tronc d’arbre, posé au sol. Courrez alors jusqu’à l’autre tronc allongé au sol, à cent mètres. Touchez-le des deux mains, puis revenez toucher celui-ci. Faîtes trente allers-retours. Go!
- Attachez vos deux pieds ensembles avec ces cordages, puis attachez votre nœud à celui d’un camarade. Une fois ceci fait, grimpez cet arbre de 15 mètres cinquante fois!
- Faîtes vingt-cinq tours de la boucle, soit autant de kilomètres, avec ces sacs. Chacun contient près de 20 kilos de parpaings.
- Allez dîner maintenant ! On finira la journée par deux séries de cinquante pompes, cinquante tractions, et cinquante abdos.
Les huit apprentis chasseurs peinèrent à rejoindre les tables pour manger l’assiette de sucre et leur breuvage d’énergie qui leur servira de dîner, avant d’aller souffrir à nouveau.
Une fois la journée enfin terminée, ils purent aller prendre une bonne douche pour ensuite aller dormir cinq ou six heures, avant de retourner s’éclater les muscles le lendemain avant même l’arrivée du soleil.
Deux élèves n’étaient pas présents: deux claquages à la cuisse leur ont offert un aller simple pour l’infirmerie. Kanja, l’infirmière, s’occupaient toujours très bien d’eux. Mais vu tout ce qu’ils enduraient, il le fallait bien… ou ils ne donneraient pas bien cher de leur peau.
Comme chaque nuit, Muishiki contemplait le ciel par la fenêtre, depuis son lit. Ce ciel qui le faisait rêver de liberté, et qui dominait sur les forêts et collines. Son mental souffrait tant il pensait à tous ces monstres, comme des Velocidrome, Kut-Ku et pleins d’autres réjouissances, qu’il rêvait d’affronter.
- La fenêtre est ouverte, et assez large pour y faire passer ta lance et toi avec. Qu’attends-tu pour t’enfuir ? Souffla son lui avide d’aventures.
- C’est une bien mauvaise idée ! Mieux vaut attendre la fin de l’entraînement, ou nous seront tué au premier monstre rencontré! Rétorqua le plus sage de ses lui.
- Assez! Crachat-il. Maudite schizophrénie ! Laissez-nous tranquilles, moi et mon corps, et allez pourrir dans les griffes du Fatalis!
- Lui, au moins, est libre, répondit son lui vicieux, réjouit par l’idée de s’échapper.
- Allez-vous-en! J’ai l’impression de parler avec le petit diable et le petit ange…
- Que nenni, mal poli! Nous sommes toi, tu te rappelles?
Muishiki resta quelques minutes à contempler le ciel sombre, en réfléchissant à la proposition. La fenêtre était en effet ouverte, et à seulement 4 mètres du sol. Il a déjà chuté de plus haut sans égratignures. Une fois en bas, il lui faudra courir jusqu’au sentier d’entraînement. Après environ quatre-cent mètres de parcourus sur ce dernier, il y aura un arbre avec une longue branche passant par-dessus la clôture. Il lui faudra s’y agripper, pour monter dessus. Il lui faudra encore escalader une branche ou deux pour passer hors d’atteinte des barbelés. Il ne resta plus qu’à sauter de l’arbre, et il respirera le doux parfum de la liberté en pleine forêt!
La réflexion à peine terminée, il se rendit compte que le bouclier était déjà passé par la fenêtre et que la lance était en position pour servir de perche, et qu’il avait déjà passé la jambe droite. Un de ses autres lui a profité de son absence pour prendre le contrôle du corps… Une fois la tête passée, il glissa l’autre jambe pour s’assoir sur les rebords. Derrière lui, un camarade réveillé par le fracas de la chute de la lance n’en cru pas ses yeux. Mais Muishiki n’eut que faire de ses avertissements, et se jeta en avant.
La lance remplit parfaitement son rôle de perche, mais l’arrivé fut si brutale qu’il tomba à la renverse et s’ouvrit le bras sur le protège-main de sa lance. Il se releva péniblement, pris sa lance et son bouclier. C’est alors qu’il réalisât qu’il avait sauté en pyjama, et sans changes.
Sans autres choix possibles, il enleva le haut pour l’enrouler autour de son bras, et ainsi stopper l’hémorragie. Il se mit alors à courir, torse nu, comme il le put, la lance tenue au milieu dans une main et le bouclier dans l’autre, n’ayant pas de quoi les attacher. Pour oublier la douleur dans ses muscles - encore sous l’emprise de la dure journée, il s’occupa à maudire son lui qui était partit trop dans la précipitation, oubliant ainsi vivres et vêtements. Le froid lui gelait tout le haut du corps, le bas étant chauffé par les muscles qui travaillaient du mieux qu’ils le pouvaient.
Après trois cents mètres de course effrénée, il arriva sur la piste qu’il emprunta alors vers la gauche. Sous l’effet de l’épuisement, il relâcha un peu trop son bras droit, et le bout de la lance se planta net dans le sol de terre. Le choc le projeta en avant aussi rapidement qu’il courrait. Une glissade de plusieurs mètres sur le sol caillouteux lui érafla une moitié du visage. Heureusement, il eut le reflexe de protéger son ventre avec le bouclier, mais son pantalon fut déchiré par de multiples endroits. La gueule en sang, il se releva, ramassa sa lance et la pris dans l’autre sens, ainsi que son bouclier, puis se remit à courir.
Alors qu’il courrait vers le grillage, il entendit la voix d’un surveillant qui lui courrait après en lui criant de s’arrêter. Mais il ignora ses appels, et commença de grimper, oubliant ses armes dans la précipitation. Alors qu’un de ses lui le lui fit remarqué, il était déjà trop tard tant le surveillant était proche. Cependant, lors d’une seconde de perte de concentration il se prit un bras dans les barbelés. Lorsqu’il sentit les dents acérées, il lâcha prise sur la branche et tomba. Il ne tenait plus qu’aux barbelés qui lui arrachaient la chair du bras.
Le pion arriva à sa hauteur. Le temps qu’il le sorte de là, la moitié de son avant-bras était arraché de telle sorte qu’on voyait par endroit ses muscles voir son os.
Le surveillant le prit dans les bras, et courra vers l’infirmerie. Muishiki perdit connaissance en chemin, après avoir perdu du sang à grands flots.
Dernière édition par Over le Lun 13 Juin 2011 - 0:06, édité 2 fois
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Tu poste des paragraphes entiers en choix ? C'est mieux de laisser la surprise d'un avis personnel . Enfin, je vote d) . Bravo, c'est bien pensé, bien expliqué, j'aime la schizophrénie . ( Que dirais tu de lire mon interfic ? Eh ouais c'est pas beau la pub mais il faut bien vivre . )
Roy Shogun- Chef R.P.
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Oui, je préfère que les lecteurs aient un contrôle total sur la trame principale, que de choisir s'il prend une limonade ou un soda! ^^
Thanks pour le comm', et promis je passerais sur ta fic!
Thanks pour le comm', et promis je passerais sur ta fic!
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Merci . Mais c'est bien de changer un peu le style, ca fait moins linéaire, je vais d'ailleurs experimenter un truc inédit sur mon interfic .
Roy Shogun- Chef R.P.
- Nombre de messages : 1866
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Je te souhaite une bonne réussite pour ton expérience, alors! ^^
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Oui . Normalement ca devrait bien se passer . C'est une sorte d'un coup de shoot dans l'interêt de l'histoire . Mais je n'en dis pas plus .
Roy Shogun- Chef R.P.
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
C'est vrai que tes choix sont originaux, et ça me déplaît pas ^^
Niveau histoire, ça me rappelle mon propre entraînement en Sibérie en 1968 ... (blablabla). Sans rire, plutôt sympa l'ambiance ! Assez "réaliste" en somme.
Pour la schizophrénie, ouais c'est classique sans vouloir te vexer.
Je veux qu'il y ai du sang ! C) !
Niveau histoire, ça me rappelle mon propre entraînement en Sibérie en 1968 ... (blablabla). Sans rire, plutôt sympa l'ambiance ! Assez "réaliste" en somme.
Pour la schizophrénie, ouais c'est classique sans vouloir te vexer.
Je veux qu'il y ai du sang ! C) !
Rhapsodos- Nombre de messages : 224
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Localisation : Rodéo sur un Lao, yeah !
Rang : Hr7, Village 9* (vieille , 7* et 8* clear)
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Thank's pour ton comm' et ton vote!
Je tâcherais d'en tenir compte pour la schizo. Et non ça ne me vexe pas du tout! Au contraire, c'est bien que tu le dise! ^^
Je tâcherais d'en tenir compte pour la schizo. Et non ça ne me vexe pas du tout! Au contraire, c'est bien que tu le dise! ^^
Over- Nombre de messages : 190
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Date d'inscription : 26/12/2010
Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Je suis entièrement d'accord avec Rhapsodos ^^
Au fait super style, c'est très bien écrit
Je choisis la c) moi aussi, je veux qu'il s'échappe mais pas tout de suite ! Il faut qu'il souffre d'abord
Au fait super style, c'est très bien écrit
Je choisis la c) moi aussi, je veux qu'il s'échappe mais pas tout de suite ! Il faut qu'il souffre d'abord
Malphas- Nombre de messages : 453
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Localisation : Dans la Grande Forêt, faisant un poker avec deux Congalalas Emeraudes
Rang : Je vais pas le dire, histoire de pas faire de jaloux xD
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Thanks pour ton comm' et ton vote!
État du vote:
c) 2
d) 1
État du vote:
c) 2
d) 1
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Thanks pour ton comm' et ton vote, Tartine! ;)
État du vote:
c) 2
b) 1
d) 1
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c) 2
b) 1
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Dernière édition par Over le Jeu 9 Juin 2011 - 14:18, édité 1 fois
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Pour ce chapitre, j'aurai vu plus de personnalité de notre héro. Une meutrière, une farceuse, une flemmarde, ect. Sinon, c'est bien écrit.
Je vote "C". Plutôt soufrire que resté.
Je vote "C". Plutôt soufrire que resté.
Nalia- Nombre de messages : 401
Age : 27
Localisation : Ici...
Rang : Assassin...
Date d'inscription : 08/07/2010
Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Okok, je prends note!
+ petite correction d'une faute de syntaxe sur la fin du c) ...
____
État du vote:
c) 3
b) 1
d) 1
+ petite correction d'une faute de syntaxe sur la fin du c) ...
____
État du vote:
c) 3
b) 1
d) 1
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Absence tout le week-end pour un mariage à 400km de chez moi... Merci maman de me l'avoir dis le jours du départ. -.-"
Victoire donc du c) => J'édite le chapitre 1, et commence la rédac' du 2 qui arrivera dans la semaine!
Victoire donc du c) => J'édite le chapitre 1, et commence la rédac' du 2 qui arrivera dans la semaine!
Over- Nombre de messages : 190
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Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Bonjour a toi, j'adore ta fic, ta description, t'es pas un peu sadique sur les bords (jaime)!!!! Tu decris bien les blessures, inédit je crois! Tu as un new de fan
ddleterrible- Nombre de messages : 292
Age : 28
Localisation : Regarde au 3eme de la 6rue du 5boulevard du 9 arrondissement du 974 et prend la porte de gauche
Rang : 5 de la guilde 9du chat
Date d'inscription : 21/03/2010
Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Merci ddleterrible! ^^
Bon, avec plus d'un mois de retard (je ne dois pas être fait pour la ponctualité) voilà mon chapitre 2!
J'ai voulu donné la priorité au Bac de Français et après j'ai simplement zappé ma fic ici... Jusqu'à ce que, pas plus tard que ce matin, je tombe sur son dossier en faisant du ménage sur mon ordi. Je me réjouit d'ailleurs de ne pas la retrouvé archivée pour inactivité! :D
Je vous prie donc de bien vouloir m'excuser pour l’inactivité... ^^'
Trêve de bavardage, voili voilou:
______________________________________________________
______________________________________________________
J'ai un peu manqué d'inspiration pour la fin, pour apporter mes choix, car je voulais finir l'examen pour devenir chasseur. Je me suis décidé pour directement le faire passer rang 2 (ou pas, dépend de vous!) quitte à rallonger d'autres étapes histoire de pas finir la fic en 8 chapitres.
Je pars Dimanche, et ce pour 4 semaines. Donc pour l'échéance des votes sera pour mon retour, avec le chapitre 3 pour vous consoler le jour de la rentrée! ^^
Edit: Merci a Rapsodos pour la correction des nombreuses fautes...!
Bon, avec plus d'un mois de retard (je ne dois pas être fait pour la ponctualité) voilà mon chapitre 2!
J'ai voulu donné la priorité au Bac de Français et après j'ai simplement zappé ma fic ici... Jusqu'à ce que, pas plus tard que ce matin, je tombe sur son dossier en faisant du ménage sur mon ordi. Je me réjouit d'ailleurs de ne pas la retrouvé archivée pour inactivité! :D
Je vous prie donc de bien vouloir m'excuser pour l’inactivité... ^^'
Trêve de bavardage, voili voilou:
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Chapitre 2
Muishiki retrouva le plafond de l'infirmerie en ouvrant les yeux, pour la sixieme fois. Il n'eut cependant pas le temps de repenser à la raison de son hospitalisation qu'il se mit à hurler: il ressentit soudainement une douleur atroce sur toute la longueur de son avant-bras. Il se doutait que les barbelés l’avaient bien amoché, mais les bandages l'empêchaient d'en savoir plus.
L'infirmière accourut sous ses cris et lui planta sèchement une seringue dans le bras pour lui injecter une dose de morphine. Cette dernière fit rapidement effet, et Muishiki put reprendre son souffle sous le regard attentionné de l'infirmière.
- Que... Que m'est-il arrivé? Demanda le blessé.
- Tu t'es accroché l'avant bras dans les barbelés, répondit l'infirmière, et t'y es suspendu. Tu es rapidement tombé dans un coma qui aura duré deux semaines... Bon réveil, au fait.
- Comment va-t-il?
- Ton bras? Eh bien... mal... L'os est rattrapable, mais je crains plus de ne pas pouvoir complètement rattraper les muscles... Ils sont sévèrement déchirés. En ce qui concerne la peau, elle se refera, mais ne reformera pas les nerfs...
- Ce qui veut dire?
- Tu pourras t'y planter une lame ou te brûler ces zones de ta peau sans rien sentir. Tu devras donc y faire très attention, les cellules ne se refont pas correctement à l’infini.
- On peut dire que je n'ai pas eu de chance alors...
- Ne dis pas ça! Avec tout le sang que tu as versé, c'est un miracle que tu sois toujours parmi nous. J'ai cru que tu ne te réanimerais jamais tant ton corps était devenu pâle. D’ailleurs, tu remercieras le directeur de m’avoir obligé à te garder en vie au maximum de mes moyens.
- On dit que le corps humain contient près de cinq litres de sang, mais que la vie est possible avec seulement la moitié de ce volume.
- C'est vrai. Mais ça l'est moins quand, comme toi, on a perdu presque trois litres. Désormais, ton sang est au trois cinquièmes celui d'un employé de l'école, mort deux jours avant ton accident. Vous étiez compatibles, c'est ça le miracle. Un concours de circonstances a prouvé qu' «Une vie qui s'éteint peut en sauver une autre».
- Une perfusion de sang dans de telles proportions est donc possible?
- J'avoue que j'ai moi-même été surprise... Quoi qu'il en soit, tu es en vie, c'est le principal! Sur ce, je vais te laisser. Comme je le lui ai promis, je vais prévenir le directeur que tu es à nouveau conscient. J'espère que tu as de solides explications pour tes motivations...
L'infirmière donna à Muishiki une seconde seringue de morphine au cas où la douleur reviendrait, puis partit.
Un petit quart d'heure plus tard, le directeur se montra, accompagné du professeur du blessé.
- Bonjour, Muishiki Takimate. Commença le directeur
- Bonjour, monsieur le directeur... répliqua Muishiki, un peu timide... Il n'avait plus vu le directeur de l'école depuis son entretien d'entrée.
- Ne cherche pas à t’expliquer, mon garçon. Bien d’autres ont fait la même bêtise avant toi, même si beaucoup moins sont restés en vie
Tu dois comprendre une chose : la dureté de l’entraînement n’est pas anodine, en terres hostiles l’espérance de vie dépend de ta concentration, si tu contemples une fleur ou dors profondément sans compagnons pour faire le guet tu es mort.
- Mais, pourquoi moi on m’interdit le désistement? J’aurais mieux fait de rester dans mon village à fabriquer des chaises en bois, l’aventure ce n’est pas fait pour les couillons…
- Tu n’en es pas un, Muishiki! As-tu entendu parler des monstres qui menacent le château dans les montagnes?
- Partiellement…
Le directeur sortit de sa poche une petite boule de cristal, qu’il caressa tendrement tout en prononçant une formule étrange. La boule se mit à chanter:
- Le diable lancera ses monstres affamés,
Contre un château qui dans les montagnes est caché.
Seul l’élu peut espérer pouvoir les contrer,
C’est ainsi qu’a été choisie sa destinée.
Le directeur, muet, repassa sa main sur la boule pour la faire taire, et la rangea soigneusement dans sa poche. Les deux hommes observèrent quelques secondes de silence avant que Muishiki, intrigué, demanda à son interlocuteur ce qui pouvait le faire penser que c’était lui, l’élu. Question à laquelle il eut comme réponse que la suite de la prophétie fournissait des indications sur l’intéressé, et que la description lui correspondait en tous points.
- Tu es le seul, Muishiki, à pouvoir sauver le château d’un enfer certain, continua le directeur. Qu’il te plaise ou non, c’est ton destin, et donc la raison pour laquelle tu dois finir ton entraînement dans cette école…
Et les mois passèrent, l’entraînement continuait, avec ses blessures, ses comas, et ses dépressions qui finirent par devenir une habitude. Quand, enfin, Muishiki vit le bout de la deuxième et dernière année. Lui qui avait accepté sa mission, il allait enfin pouvoir se rendre dans le monde sauvage et mener à bien les opérations!
Le jour de l’épreuve finale arriva enfin! L’objectif était simple: les candidats devaient combattre dans l’arène contre un Bulldrome et un Velocidrome, lâchés en même temps.*
Muishiki prit un instant pour réfléchir: Le Bulldrome avait une courte zone d’attaque, avec sa charge, il serait donc facile à contrer au bouclier. En revanche, le Velo pouvait mordre, griffer, et fouetter avec la queue, il serait très difficile de se concentrer sur ses coups pour les parer, et taper le Bulldrome en même temps… Il décida donc de s’occuper en premier lieu du Velo, en stoppant les charges du Bulldrome au bouclier. Notre héro prit son courage à deux mains, et avança. Le public comptait sur lui, l’élu, il n’avait pas le droit à l’erreur.
Ses ennemis ne se firent pas désirer! Le Bulldrome chargea en sa direction, et le Velocidrome se mit à courir également. Muishiki, en bon inconscient, soutenu sa lance du bouclier qui lui servait à protéger le corps, et chargea droit contre le Bulldrome. Le choc fut tel que les défenses de la bête se fissurèrent de tout leur long! Ce dernier s’écroula au sol, telle une masse: la lance était rentrée dans son épaule gauche, avait broyé l’os, sectionné les ligaments, puis fracturé quatre ou cinq côtes pour ressortir du flanc droit, tout en transperçant le cœur et un poumon au passage. Le pauvre monstre s’était fait empalé sèchement, si bien que le public était ébahi d’imaginer la force déployée par le lancier pour parvenir à un tel… massacre.
Mais ce dernier avait lui aussi subit lui aussi la force du choc, et se retrouvait sur le dos, à demi évanoui. Ses yeux, bien que plissés, distinguait toutefois une forme s’approcher à grande vitesse… Il ne mit heureusement pas longtemps à comprendre que c’était une patte avant du Velocidrome, qu’il esquiva de justesse grâce à une roulade sur la gauche! Deux ou trois figures permirent d’éviter autant de coups supplémentaires, avant qu’il ne puisse finalement se jeter sur le côté en roulade sur l’épaule pour fuir. Mais voilà qu’il était en bien mauvaise posture : le Velocidrome se tenait entre lui et son bouclier, dont une partie était arrachée, et sa lance serait trop longue à extirper des entrailles du défunt Bulldrome…!
Mais, inconscient comme il l’était, ce n’était pas cela qui allait l’arrêter! Il fonça, tête baissée, sur le Velocidrome qu’il esquiva par un bond de dernier instant sur la gauche, mais trop tard! Les griffes du monstre lui avaient arraché la peau du bras! Cependant, il ne ressentit aucune douleur, grâce à son escapade dans les barbelées! Mais ça n’empêcha pas le sang de couler, donc l’odeur lui monta vite dans les narines, excitant alors son lui psychopathe, qui prit instantanément le contrôle du corps!
Ses yeux devinrent alors plus rouges que le sang, et il n’eut alors qu’une envie, celle de l’estoquer, et de le voir gémir! Soudainement, il se jeta sur le Velocidrome qui n’attendait que cela, esquiva les griffes en baissant la tête, s’agrippa à son cou d’une main, fit jaillir son pied droit qui fit imploser une épaule de son ennemi qui ne se rendait point compte de l’évènement. Sa jambe continua le chemin pour asséner un coup de talon à la colonne vertébrale, puis il prit un élan pour chevaucher l’horreur, afin de lui attraper la tête, et lui broyât violement les cervicales. Le craquement retentit dans toute l’arène, et glaça les artères du public.
Maintenant qu’il avait triomphé lors de cet examen, le véritable Muishiki ramassa les morceaux de son bouclier, et extirpa sa lance. La tâche ne fut pas aisé, mais personne ne vint l’aider de peur d’être dilapidé.
Les résultats furent sans surprise pour l’élu: rang de chasseur accordé!
Voilà 6 mois maintenant que Muishiki et son équipe exploraient la forêt. Il y avait deux chasseurs avec lui : Itami, expert en katana, et Kimuzukashii, grand tireur avec un fusil-arbalète. Deux camarades de promo. Le vétéran du cor de chasse, kaikyō était à leur tête. Ils triomphaient de tous leurs combats : Giaprey, Daimyo, groupes de Bulfango…
Quand enfin, ce fut le grand jour: l’examen de passage au deuxième niveau de chasse! Muishiki s’en réjouissait à l’idée de chasser des monstres plus évolués, d’arpenter des zones différentes, d’améliorer ses armes et armures, … La quête consistait en la chasse d’un Khezu en arène. Ils pouvaient y aller tous les trois, mais sans leur chef Kaikyō.
a) Le combat fut sans difficulté aucune : ils triomphèrent de la bête après seulement quelques dizaines de secondes de combat. La tête ressemblait à un hérisson, avec toutes les balles qui s’y étaient logées. Le ventre se confondait avec du gruyère, et ce à cause des nombreux coups de lance. Enfin, la queue avait été coupée en autant de morceaux qu’elle le pouvait, tel un saucisson. Il fallut également près de trois heures pour nettoyer les litres de sang qui jonchaient sur le sol. L’évolution au rang deux de tous les membres du groupe fut évidente!
b) Le groupe s’en sortit, malgré quelques blessures. Muishiki avait une partie du visage éraflée de manière incurable à cause d’un violent coup de queue qu’il n’avait pas su prévoir, et Itami s’était fracturé une jambe à cause d’un incident lors d’une esquive. Cependant, tout deux accédèrent au rang deux. Kimuzukashii avait su se tenir à distance pour éviter les coups, mais une erreur fatale lui coûta le ‘’redoublement’’ : le tir ami n’était pas toléré, la cuisse d’Itami s’en souviendra…
c) La quête fut un échec. Après 50 minutes de dur labeur, ils n’ont pas su arriver à bout de leur cible. Le Khezu n’était que partiellement atteint aux flancs, mais malheureusement pour nos aventuriers pas suffisamment pour le capturer. Leur technique favorisant la prudence n’avait pas porté ses fruits quand à la réussite de la quête. Ils s’en sortaient toutefois sans dégâts physiques, ce qui n’était déjà pas rien! Ils repartirent donc vaillamment avec Kaikyō s’entraîner encore quelques temps avant de revenir tenter leur chance. Mais promesse était faîte qu’ils y arriveraient un jour.
d) Itami ne parvint pas à esquiver un champ électrique du Khezu, qui lui brûla tout le corps. Muishiki se précipita sur lui pour tenter de le retirer de la zone de combat, il n’eut pas le temps de se rendre compte de l’erreur qu’il était déjà porté au même potentiel de son camarade. Kimuzukashii laissa tomber son arc, et se précipita sur le Khezu pour l’attirer, de justesse avant qu’il ne broie ses deux compagnons. Mais un coup de queue terrible l’assomma net. Après avoir tué le Khezu, les juges appelèrent rapidement les secours. Itami décéda suite à ses brûlures, et Kimuzukashii sombra dans l’amnésie, le futur de Muishiki était trop incertain.
L'infirmière accourut sous ses cris et lui planta sèchement une seringue dans le bras pour lui injecter une dose de morphine. Cette dernière fit rapidement effet, et Muishiki put reprendre son souffle sous le regard attentionné de l'infirmière.
- Que... Que m'est-il arrivé? Demanda le blessé.
- Tu t'es accroché l'avant bras dans les barbelés, répondit l'infirmière, et t'y es suspendu. Tu es rapidement tombé dans un coma qui aura duré deux semaines... Bon réveil, au fait.
- Comment va-t-il?
- Ton bras? Eh bien... mal... L'os est rattrapable, mais je crains plus de ne pas pouvoir complètement rattraper les muscles... Ils sont sévèrement déchirés. En ce qui concerne la peau, elle se refera, mais ne reformera pas les nerfs...
- Ce qui veut dire?
- Tu pourras t'y planter une lame ou te brûler ces zones de ta peau sans rien sentir. Tu devras donc y faire très attention, les cellules ne se refont pas correctement à l’infini.
- On peut dire que je n'ai pas eu de chance alors...
- Ne dis pas ça! Avec tout le sang que tu as versé, c'est un miracle que tu sois toujours parmi nous. J'ai cru que tu ne te réanimerais jamais tant ton corps était devenu pâle. D’ailleurs, tu remercieras le directeur de m’avoir obligé à te garder en vie au maximum de mes moyens.
- On dit que le corps humain contient près de cinq litres de sang, mais que la vie est possible avec seulement la moitié de ce volume.
- C'est vrai. Mais ça l'est moins quand, comme toi, on a perdu presque trois litres. Désormais, ton sang est au trois cinquièmes celui d'un employé de l'école, mort deux jours avant ton accident. Vous étiez compatibles, c'est ça le miracle. Un concours de circonstances a prouvé qu' «Une vie qui s'éteint peut en sauver une autre».
- Une perfusion de sang dans de telles proportions est donc possible?
- J'avoue que j'ai moi-même été surprise... Quoi qu'il en soit, tu es en vie, c'est le principal! Sur ce, je vais te laisser. Comme je le lui ai promis, je vais prévenir le directeur que tu es à nouveau conscient. J'espère que tu as de solides explications pour tes motivations...
L'infirmière donna à Muishiki une seconde seringue de morphine au cas où la douleur reviendrait, puis partit.
Un petit quart d'heure plus tard, le directeur se montra, accompagné du professeur du blessé.
- Bonjour, Muishiki Takimate. Commença le directeur
- Bonjour, monsieur le directeur... répliqua Muishiki, un peu timide... Il n'avait plus vu le directeur de l'école depuis son entretien d'entrée.
- Ne cherche pas à t’expliquer, mon garçon. Bien d’autres ont fait la même bêtise avant toi, même si beaucoup moins sont restés en vie
Tu dois comprendre une chose : la dureté de l’entraînement n’est pas anodine, en terres hostiles l’espérance de vie dépend de ta concentration, si tu contemples une fleur ou dors profondément sans compagnons pour faire le guet tu es mort.
- Mais, pourquoi moi on m’interdit le désistement? J’aurais mieux fait de rester dans mon village à fabriquer des chaises en bois, l’aventure ce n’est pas fait pour les couillons…
- Tu n’en es pas un, Muishiki! As-tu entendu parler des monstres qui menacent le château dans les montagnes?
- Partiellement…
Le directeur sortit de sa poche une petite boule de cristal, qu’il caressa tendrement tout en prononçant une formule étrange. La boule se mit à chanter:
- Le diable lancera ses monstres affamés,
Contre un château qui dans les montagnes est caché.
Seul l’élu peut espérer pouvoir les contrer,
C’est ainsi qu’a été choisie sa destinée.
Le directeur, muet, repassa sa main sur la boule pour la faire taire, et la rangea soigneusement dans sa poche. Les deux hommes observèrent quelques secondes de silence avant que Muishiki, intrigué, demanda à son interlocuteur ce qui pouvait le faire penser que c’était lui, l’élu. Question à laquelle il eut comme réponse que la suite de la prophétie fournissait des indications sur l’intéressé, et que la description lui correspondait en tous points.
- Tu es le seul, Muishiki, à pouvoir sauver le château d’un enfer certain, continua le directeur. Qu’il te plaise ou non, c’est ton destin, et donc la raison pour laquelle tu dois finir ton entraînement dans cette école…
Et les mois passèrent, l’entraînement continuait, avec ses blessures, ses comas, et ses dépressions qui finirent par devenir une habitude. Quand, enfin, Muishiki vit le bout de la deuxième et dernière année. Lui qui avait accepté sa mission, il allait enfin pouvoir se rendre dans le monde sauvage et mener à bien les opérations!
Le jour de l’épreuve finale arriva enfin! L’objectif était simple: les candidats devaient combattre dans l’arène contre un Bulldrome et un Velocidrome, lâchés en même temps.*
Muishiki prit un instant pour réfléchir: Le Bulldrome avait une courte zone d’attaque, avec sa charge, il serait donc facile à contrer au bouclier. En revanche, le Velo pouvait mordre, griffer, et fouetter avec la queue, il serait très difficile de se concentrer sur ses coups pour les parer, et taper le Bulldrome en même temps… Il décida donc de s’occuper en premier lieu du Velo, en stoppant les charges du Bulldrome au bouclier. Notre héro prit son courage à deux mains, et avança. Le public comptait sur lui, l’élu, il n’avait pas le droit à l’erreur.
Ses ennemis ne se firent pas désirer! Le Bulldrome chargea en sa direction, et le Velocidrome se mit à courir également. Muishiki, en bon inconscient, soutenu sa lance du bouclier qui lui servait à protéger le corps, et chargea droit contre le Bulldrome. Le choc fut tel que les défenses de la bête se fissurèrent de tout leur long! Ce dernier s’écroula au sol, telle une masse: la lance était rentrée dans son épaule gauche, avait broyé l’os, sectionné les ligaments, puis fracturé quatre ou cinq côtes pour ressortir du flanc droit, tout en transperçant le cœur et un poumon au passage. Le pauvre monstre s’était fait empalé sèchement, si bien que le public était ébahi d’imaginer la force déployée par le lancier pour parvenir à un tel… massacre.
Mais ce dernier avait lui aussi subit lui aussi la force du choc, et se retrouvait sur le dos, à demi évanoui. Ses yeux, bien que plissés, distinguait toutefois une forme s’approcher à grande vitesse… Il ne mit heureusement pas longtemps à comprendre que c’était une patte avant du Velocidrome, qu’il esquiva de justesse grâce à une roulade sur la gauche! Deux ou trois figures permirent d’éviter autant de coups supplémentaires, avant qu’il ne puisse finalement se jeter sur le côté en roulade sur l’épaule pour fuir. Mais voilà qu’il était en bien mauvaise posture : le Velocidrome se tenait entre lui et son bouclier, dont une partie était arrachée, et sa lance serait trop longue à extirper des entrailles du défunt Bulldrome…!
Mais, inconscient comme il l’était, ce n’était pas cela qui allait l’arrêter! Il fonça, tête baissée, sur le Velocidrome qu’il esquiva par un bond de dernier instant sur la gauche, mais trop tard! Les griffes du monstre lui avaient arraché la peau du bras! Cependant, il ne ressentit aucune douleur, grâce à son escapade dans les barbelées! Mais ça n’empêcha pas le sang de couler, donc l’odeur lui monta vite dans les narines, excitant alors son lui psychopathe, qui prit instantanément le contrôle du corps!
Ses yeux devinrent alors plus rouges que le sang, et il n’eut alors qu’une envie, celle de l’estoquer, et de le voir gémir! Soudainement, il se jeta sur le Velocidrome qui n’attendait que cela, esquiva les griffes en baissant la tête, s’agrippa à son cou d’une main, fit jaillir son pied droit qui fit imploser une épaule de son ennemi qui ne se rendait point compte de l’évènement. Sa jambe continua le chemin pour asséner un coup de talon à la colonne vertébrale, puis il prit un élan pour chevaucher l’horreur, afin de lui attraper la tête, et lui broyât violement les cervicales. Le craquement retentit dans toute l’arène, et glaça les artères du public.
Maintenant qu’il avait triomphé lors de cet examen, le véritable Muishiki ramassa les morceaux de son bouclier, et extirpa sa lance. La tâche ne fut pas aisé, mais personne ne vint l’aider de peur d’être dilapidé.
Les résultats furent sans surprise pour l’élu: rang de chasseur accordé!
Voilà 6 mois maintenant que Muishiki et son équipe exploraient la forêt. Il y avait deux chasseurs avec lui : Itami, expert en katana, et Kimuzukashii, grand tireur avec un fusil-arbalète. Deux camarades de promo. Le vétéran du cor de chasse, kaikyō était à leur tête. Ils triomphaient de tous leurs combats : Giaprey, Daimyo, groupes de Bulfango…
Quand enfin, ce fut le grand jour: l’examen de passage au deuxième niveau de chasse! Muishiki s’en réjouissait à l’idée de chasser des monstres plus évolués, d’arpenter des zones différentes, d’améliorer ses armes et armures, … La quête consistait en la chasse d’un Khezu en arène. Ils pouvaient y aller tous les trois, mais sans leur chef Kaikyō.
a) Le combat fut sans difficulté aucune : ils triomphèrent de la bête après seulement quelques dizaines de secondes de combat. La tête ressemblait à un hérisson, avec toutes les balles qui s’y étaient logées. Le ventre se confondait avec du gruyère, et ce à cause des nombreux coups de lance. Enfin, la queue avait été coupée en autant de morceaux qu’elle le pouvait, tel un saucisson. Il fallut également près de trois heures pour nettoyer les litres de sang qui jonchaient sur le sol. L’évolution au rang deux de tous les membres du groupe fut évidente!
b) Le groupe s’en sortit, malgré quelques blessures. Muishiki avait une partie du visage éraflée de manière incurable à cause d’un violent coup de queue qu’il n’avait pas su prévoir, et Itami s’était fracturé une jambe à cause d’un incident lors d’une esquive. Cependant, tout deux accédèrent au rang deux. Kimuzukashii avait su se tenir à distance pour éviter les coups, mais une erreur fatale lui coûta le ‘’redoublement’’ : le tir ami n’était pas toléré, la cuisse d’Itami s’en souviendra…
c) La quête fut un échec. Après 50 minutes de dur labeur, ils n’ont pas su arriver à bout de leur cible. Le Khezu n’était que partiellement atteint aux flancs, mais malheureusement pour nos aventuriers pas suffisamment pour le capturer. Leur technique favorisant la prudence n’avait pas porté ses fruits quand à la réussite de la quête. Ils s’en sortaient toutefois sans dégâts physiques, ce qui n’était déjà pas rien! Ils repartirent donc vaillamment avec Kaikyō s’entraîner encore quelques temps avant de revenir tenter leur chance. Mais promesse était faîte qu’ils y arriveraient un jour.
d) Itami ne parvint pas à esquiver un champ électrique du Khezu, qui lui brûla tout le corps. Muishiki se précipita sur lui pour tenter de le retirer de la zone de combat, il n’eut pas le temps de se rendre compte de l’erreur qu’il était déjà porté au même potentiel de son camarade. Kimuzukashii laissa tomber son arc, et se précipita sur le Khezu pour l’attirer, de justesse avant qu’il ne broie ses deux compagnons. Mais un coup de queue terrible l’assomma net. Après avoir tué le Khezu, les juges appelèrent rapidement les secours. Itami décéda suite à ses brûlures, et Kimuzukashii sombra dans l’amnésie, le futur de Muishiki était trop incertain.
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J'ai un peu manqué d'inspiration pour la fin, pour apporter mes choix, car je voulais finir l'examen pour devenir chasseur. Je me suis décidé pour directement le faire passer rang 2 (ou pas, dépend de vous!) quitte à rallonger d'autres étapes histoire de pas finir la fic en 8 chapitres.
Je pars Dimanche, et ce pour 4 semaines. Donc pour l'échéance des votes sera pour mon retour, avec le chapitre 3 pour vous consoler le jour de la rentrée! ^^
Edit: Merci a Rapsodos pour la correction des nombreuses fautes...!
Dernière édition par Over le Jeu 4 Aoû 2011 - 4:46, édité 2 fois
Over- Nombre de messages : 190
Age : 31
Localisation : Terrible envie d'écrire DTC
Rang : Hunter! :°
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Je vote la d) ! Quand on est un élu, on a pas à se soumettre aux règles stupides de Rangs ! Vive le mode hors la loi !
Roy Shogun- Chef R.P.
- Nombre de messages : 1866
Age : 26
Localisation : Sur les sujets du r-p.
Rang : Rang Max.
Date d'inscription : 25/07/2010
Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Merci pour ton vote! \o/
Over- Nombre de messages : 190
Age : 31
Localisation : Terrible envie d'écrire DTC
Rang : Hunter! :°
Date d'inscription : 26/12/2010
Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Beaucoup de fautes dans ce chapitre ! (si j'ai le temps cette aprem, je les corrigerai )
Le coup de l'élu est un poil abusé mais bon sans ça y aurai pas de fic ^^
Pour moi ce sera la a), je veux des roxxor de la mort qui tue
Le coup de l'élu est un poil abusé mais bon sans ça y aurai pas de fic ^^
Pour moi ce sera la a), je veux des roxxor de la mort qui tue
Rhapsodos- Nombre de messages : 224
Age : 30
Localisation : Rodéo sur un Lao, yeah !
Rang : Hr7, Village 9* (vieille , 7* et 8* clear)
Date d'inscription : 13/03/2010
Re: [INTERFIC] La Fic sans nom
Je veux bien te croire pour les fautes: je me suis relut à minuit avec une nuit blanche la nuit d'avant... x')
Donc je veux bien pour la correction, ce serait sympa merci! ^^
Merci aussi pour ton vote!
J'ai pensé la même chose pour le coup de l'élu, mais je trouvait que ça faisait quand même moins capilo-tracté que le chasseur innocent qui va se farcir un dragon pour le fun...
Donc je veux bien pour la correction, ce serait sympa merci! ^^
Merci aussi pour ton vote!
J'ai pensé la même chose pour le coup de l'élu, mais je trouvait que ça faisait quand même moins capilo-tracté que le chasseur innocent qui va se farcir un dragon pour le fun...
Over- Nombre de messages : 190
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Localisation : Terrible envie d'écrire DTC
Rang : Hunter! :°
Date d'inscription : 26/12/2010
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