La trilogie du diablos
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La trilogie du diablos
par Waylander Mer 13 Jan 2010 - 1:20
PREMIERE PARTIE
Chapitre 1 : Hors la loi
Le nuit étendait son linceul d’ombre sur le village endormis. Rien ne bougeait dans l’obscurité et un silence pesant rendait inquiétante l’atmosphère nocturne. Soudain un sinistre craquement mit fin à cette langueur ténébreuse.
Six hommes enjambèrent une porte défoncé et penetrèrent dans une pièce sombre seulement éclairé par la bougie que tenait le meneur. Il était vêtu de pourpre et brandissait un rouleau de parchemin entre ses doigts blanchâtres. Les autres étaient des soldats arborant tous des cottes de mailles et des épées. L’homme en rouge marqua une pause après quelques pas et promena la lueur tremblotante de la flamme autour de lui. Celle-ci revela une chambre presque nue, seulement meublé d’un lit flanqué de deux meubles noirâtres. L’austérité du lieu illustrait le mode de vie strict que devait mener le personnage vivant ici. Une silhouette évanescente apparut dans le fond de la pièce. Le porteur de lumière éclaira dans cette direction. Un vieil homme se tenait là. Une barbe argenté poussait sur son menton et il avait les cheveux de la même couleur. Une petite lueur mélancolique brillait dans ses yeux bleus. Il portait une cape verte et son corps était protégé d’une armure qui étincelait sous la chiche lueur de la bougie. Le plus impressionnant était probablement l’énorme lame à deux mains qui pendait dans son dos. Le porteur de parchemin se prépara à prendre la parole :
« Etnob, chasseur du village de pokke, vous êtes accusé du meurtre du roi Vega, maître de ces terres, et serez par conséquent emprisonné dans l’attente de votre jugement. Toute tentative de résistance est superflue car cela entrainerait aussitôt l’intervention de la milice locale qui fera s’il le faut usage de la force. » Après avoir délivré son message l’homme se tut un court instant et toisa le vieillard d’un regard mauvais.
- Veuillez nous suivre, dit- il d’un ton glacé.
Le vieux chasseur eut un sourire goguenard :
- Vois tu je passais une nuit fort reposante gamin, alors j’aimerais que toi et tes petits camarades sortiez de chez moi pour que je puisse continuer à dormir.
- Je considère cela comme un refus, gardes saisissez vous de lui ! hurla t-il.
Les guerriers tirèrent leurs épées et s’avancèrent, menaçants. Le hors la loi sortit lentement son arme titanesque de son fourreau puis la pointa devant lui. Un soldat attaqua en hurlant. L’homme para son attaque grossière et le trancha en deux d’un geste circulaire, le sang macula les murs. Un autre agresseur porta un coup d’estoc insidieux qui fut aisément contré. C’est alors qu’Etnob se décida à agir.
Il fit tournoyer son immense épée et l’abattit brutalement sur le sol. Un pan de parquet se détacha en dévoilant le rais de chaussée de la maison. Trois combattants tombèrent avec un cri de surprise et disparurent sous les éboulis. Le dernier mercenaire, livide, avança prudemment vers le tueur surhumain. Celui-ci dévisagea un instant son adversaire qui tremblait de peur puis effectua un bond gracieux avant d’abattre la pointe de son épée sur son cou. Horrifié le malheureux sentit son sang glouglouter dans sa gorge avant de s’écrouler, de l’écume ensanglanté sortant de sa bouche émettant encore de faibles borborygmes. L’homme en pourpre se retrouva seul avec le vieux guerrier.
- Idiot, tu viens de signer ton arrêt de mort, siffla t-il
Puis il éclata d’un rire sardonique.
- J’aurais grand plaisir à te voir gesticuler au bout d’une corde vieux fou !
Une poigne de fer le saisit à la gorge.
- Ecoutes moi bien, la dernière chose que tu verras sera le mépris dans mes yeux.
Sur ce, il augmenta la pression qu’il exercait sur le cou du sournois personnage. Celui suffoqua et tenta de griffer les bras de son agresseur pour se libérer mais il n’y parvint pas, étant maintenu hors de portée. Ses yeux exorbités lançaient des éclairs et il se débattait frénétiquement pour échapper à son funeste destin. Il y eut soudain un craquement sinistre et le corps sans vie du messager tomba sur le sol. Etnob savait que les renforts ne tarderaient pas, il emballa donc quelques vivres, réajusta sa cape sur ses épaules et partit dans la nuit. Pour s’innocenter il devait appréhender le véritable assassin mais comment arrêter un monstre féroce de plusieurs mètres de haut ?
Chapitre 1 : Hors la loi
Le nuit étendait son linceul d’ombre sur le village endormis. Rien ne bougeait dans l’obscurité et un silence pesant rendait inquiétante l’atmosphère nocturne. Soudain un sinistre craquement mit fin à cette langueur ténébreuse.
Six hommes enjambèrent une porte défoncé et penetrèrent dans une pièce sombre seulement éclairé par la bougie que tenait le meneur. Il était vêtu de pourpre et brandissait un rouleau de parchemin entre ses doigts blanchâtres. Les autres étaient des soldats arborant tous des cottes de mailles et des épées. L’homme en rouge marqua une pause après quelques pas et promena la lueur tremblotante de la flamme autour de lui. Celle-ci revela une chambre presque nue, seulement meublé d’un lit flanqué de deux meubles noirâtres. L’austérité du lieu illustrait le mode de vie strict que devait mener le personnage vivant ici. Une silhouette évanescente apparut dans le fond de la pièce. Le porteur de lumière éclaira dans cette direction. Un vieil homme se tenait là. Une barbe argenté poussait sur son menton et il avait les cheveux de la même couleur. Une petite lueur mélancolique brillait dans ses yeux bleus. Il portait une cape verte et son corps était protégé d’une armure qui étincelait sous la chiche lueur de la bougie. Le plus impressionnant était probablement l’énorme lame à deux mains qui pendait dans son dos. Le porteur de parchemin se prépara à prendre la parole :
« Etnob, chasseur du village de pokke, vous êtes accusé du meurtre du roi Vega, maître de ces terres, et serez par conséquent emprisonné dans l’attente de votre jugement. Toute tentative de résistance est superflue car cela entrainerait aussitôt l’intervention de la milice locale qui fera s’il le faut usage de la force. » Après avoir délivré son message l’homme se tut un court instant et toisa le vieillard d’un regard mauvais.
- Veuillez nous suivre, dit- il d’un ton glacé.
Le vieux chasseur eut un sourire goguenard :
- Vois tu je passais une nuit fort reposante gamin, alors j’aimerais que toi et tes petits camarades sortiez de chez moi pour que je puisse continuer à dormir.
- Je considère cela comme un refus, gardes saisissez vous de lui ! hurla t-il.
Les guerriers tirèrent leurs épées et s’avancèrent, menaçants. Le hors la loi sortit lentement son arme titanesque de son fourreau puis la pointa devant lui. Un soldat attaqua en hurlant. L’homme para son attaque grossière et le trancha en deux d’un geste circulaire, le sang macula les murs. Un autre agresseur porta un coup d’estoc insidieux qui fut aisément contré. C’est alors qu’Etnob se décida à agir.
Il fit tournoyer son immense épée et l’abattit brutalement sur le sol. Un pan de parquet se détacha en dévoilant le rais de chaussée de la maison. Trois combattants tombèrent avec un cri de surprise et disparurent sous les éboulis. Le dernier mercenaire, livide, avança prudemment vers le tueur surhumain. Celui-ci dévisagea un instant son adversaire qui tremblait de peur puis effectua un bond gracieux avant d’abattre la pointe de son épée sur son cou. Horrifié le malheureux sentit son sang glouglouter dans sa gorge avant de s’écrouler, de l’écume ensanglanté sortant de sa bouche émettant encore de faibles borborygmes. L’homme en pourpre se retrouva seul avec le vieux guerrier.
- Idiot, tu viens de signer ton arrêt de mort, siffla t-il
Puis il éclata d’un rire sardonique.
- J’aurais grand plaisir à te voir gesticuler au bout d’une corde vieux fou !
Une poigne de fer le saisit à la gorge.
- Ecoutes moi bien, la dernière chose que tu verras sera le mépris dans mes yeux.
Sur ce, il augmenta la pression qu’il exercait sur le cou du sournois personnage. Celui suffoqua et tenta de griffer les bras de son agresseur pour se libérer mais il n’y parvint pas, étant maintenu hors de portée. Ses yeux exorbités lançaient des éclairs et il se débattait frénétiquement pour échapper à son funeste destin. Il y eut soudain un craquement sinistre et le corps sans vie du messager tomba sur le sol. Etnob savait que les renforts ne tarderaient pas, il emballa donc quelques vivres, réajusta sa cape sur ses épaules et partit dans la nuit. Pour s’innocenter il devait appréhender le véritable assassin mais comment arrêter un monstre féroce de plusieurs mètres de haut ?
Dernière édition par Waylander le Mar 26 Jan 2010 - 0:42, édité 1 fois
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Re: La trilogie du diablos
par Dark22 Mer 13 Jan 2010 - 11:08
Eh bien le début de ta fic est tout simplement magnifique, malgré les quelques fautes (l'heure tardive j'imagine
) et la petite vulgarité en fin de chapitre. Mais cela n'a aucunement gaché ma lecture : J 'ADORE, VIVEMENT LA SUITE !!!!
) et la petite vulgarité en fin de chapitre. Mais cela n'a aucunement gaché ma lecture : J 'ADORE, VIVEMENT LA SUITE !!!!
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Mer 13 Jan 2010 - 11:18
La vulgarité est volontaire, c'est pour montrer que c'est un vieil homme rude et le mot pute est present dans de nombreux livres d'heroic fantasy crois moi ^^
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Re: La trilogie du diablos
par Rathalos71 Mer 13 Jan 2010 - 11:23
Trop bien ta fic, j'ai hâte de voir la suite.
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Re: La trilogie du diablos
par Dark22 Mer 13 Jan 2010 - 11:54
Oui, je sais bien, je ne dis pas le contraire, c'est ce qui justement fait de cette fic son originalité : une vieillard dynamique qui a du répondant !
Nan franchement vivement la suite !
Nan franchement vivement la suite !
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Re: La trilogie du diablos
par hell hunter Mer 13 Jan 2010 - 13:44
genial tous simplement genial 
continue
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Mer 13 Jan 2010 - 17:34
CHAPITRE 2 : Souvenirs et complot
Le soleil brûlait avec allégresse la peau du fugitif tandis qu’il foulait le sol montagneux. Son objectif était d’atteindre le désert dans la soirée. Il se plaça à l’ombre d’un arbre cachectique afin de se reposer un peu.
Le vieil homme était éreinté et la chaleur n’améliorait pas sa situation. Il n’avait plus de vivres depuis des jours et il dormait très peu pour échapper à d’éventuels poursuivants. Il se trouvait sur une chaine de montagnes qui séparait le désert du reste du monde, comme si la nature eut voulu protéger cet endroit peu peuplé par l’homme. Le visage émacié du chasseur trahissait son épuisement. Le souffle saccadé et les jambes tremblantes il décida de dormir un peu sous le couvert de la souche sombre décharné. Il sombra bien vite dans le sommeil. Etrangement il ne rêva pas mais se souvint avec une netteté irréel de l’événement qui avait fait basculé sa vie .
Ses bottes s’enfonçaient dans le sable chaud tandis qu’il marchait sur une étendue désertique avec un jeune homme. Celui-ci arborait une armure légère ainsi qu’une courte cape rouge. Son visage exprimait une indéfectible détermination et une lueur de bonté brillait dans ses yeux braqués sur les dunes qui s’étendaient à perte de vue. Etnob l’observa un moment puis se décida à rompre le silence :
- Ce n’est vraiment pas sage de votre part majesté, vous feriez mieux de rentrer. Dois-je vous rappeler qu’étant dépourvu d’héritier pour l’instant votre lignée s’éteindra avec votre mort ? Qu’adviendra t-il de votre peuple si vous mourrez au combat ?
Le roi Vega marque une pause puis, le visage impassible, répondit d’une voix neutre :
- Eh bien mon cher Etnob vous dirigerez le royaume à ma place, vous êtes une personne de confiance, les gens vous aiment et c’est tout naturel après tout vous êtes un héros. Le peuple dont vous parlez se plaint depuis des semaines qu’un Diablos plus gros que les autres sème la terreur et qui, sinon leur souverain, est le mieux placé pour répondre à leurs doléances ?
- Vous savez très bien que le trône ne m’intéresse pas, je ne suis pas fait pour ça, rétorqua le vieil homme en dévisageant le monarque qui se tenait toujours de profil.
- Tant pis le royaume ira donc à ma conseiller mais taisez vous un peu vieil homme je ne suis pas encore mort ! dit-il en éclatant de rire.
Etnob ne put retenir un sourire devant la désinvolture désarmante de son compagnon qui était même allé quelques jours plus tôt jusqu'à refuser une escorte afin de pouvoir demeurer incognito .Un vent chaud se leva et fit tourbillonner le sable du lieu désolé. Les longs cheveux bruns du roi guerrier voletèrent dans son dos. Tout à coup le vieillard s’arrêta et dégaina sa légendaire épée en hurlant : « Attention ! ». Le jeune combattant compris le message et effectua une roulade en sortant ses deux lames ciselées de leur fourreau. Le sol explosa et une créature gigantesque jaillit devant eux. Elle se tenait sur deux pattes mais était dépourvu de bras, à la place deux immenses ailes se dressaient fièrement. Une carapace formée d’écailles épaisses couvrait tout son corps et deux énormes cornes ornaient la collerette osseuse de sa tête. Des crocs saillants et blanchâtres parsemaient de façon hasardeuse sa bouche d’où montait un grognement guttural. Le monstre rejeta son crâne massif en arrière et poussa un rugissement strident qui fit vibrer la terre. Magnifique et terrible le diablos attaque en criant. Il tenta d’empaler le maître de pokke mais celui-ci esquiva le coup en bondissant et taillada au passage l’une des grandes jambes de la créature. Du sang coula en petite quantité de la blessure et se mélangea au sable. Le prédateur fit demi-tour et se jeta sur Etnob. Celui attendait, lame levée, mais contrairement à ce qu’il pensait son adversaire s’arrêta dans sa course et se tourna pour le faucher avec sa queue terminée d’une terrible masse d’arme. Il para le coup mais la puissance de l’attaque le projeta dans les airs. Il se releva péniblement pour faire face à nouveau. A ce moment précis la bête saisit vivement le roi dans sa gueule. Celui se débattit et finit par enfoncer une de ses épées dans le palais du seigneur de la désolation. Malheureusement la deuxième rapière lui échappa des mains. Il se trouvait désormais désarmé dans la bouche d’un monstre géant. Pendant un instant qui sembla durer une éternité le diablos et le vieil homme se dévisagèrent puis l’un creva le sol et disparu en emportant sa proie tandis que l’autre poussait un cri de désespoir.
Le vieillard se réveilla en sursaut, la nuit était tombée. Il se leva en grognant puis reprit son chemin vers le désert. Il devait retrouver le tueur titanesque et montrer à la guilde des chasseurs l’arme ouvragée du roi figée dans son corps. Etant donné que jamais le souverain ne se séparait de ses fidèles épées ils seraient contraints de reconnaître son innocence. Du moins l’espérait-il…
Deux silhouettes encapuchonnées entretenaient une discussion malhonnête dans un coin sombre d’une auberge.
- Il va tenter de retrouver le diablos, fit la première.
- Vous avez mentis en disant qu’il avait tué le roi et nous savions qu’il ne se laisserait pas abattre si facilement. Il a eut beau clamer sa version des faits, par le plus grand des hasards c’est vous que la population a écouté, nous avons donc une chance inouïe qu’il ne faut pas laisser filer, rétorqua la seconde.
- Oui je vais immédiatement monter une équipe afin de tuer le diablos et récupérer cette maudite épée, siffla l’inconnu avec dédain. Quand au vieillard mon meilleur assassin est déjà à ses trousses.
- Une fois qu’il sera mort et que la dernière preuve aura disparu le royaume vous appartiendra et vous me donnerez mes pièces d’or.
- Naturellement, fit l’homme en sirotant sa bière.
Le soleil brûlait avec allégresse la peau du fugitif tandis qu’il foulait le sol montagneux. Son objectif était d’atteindre le désert dans la soirée. Il se plaça à l’ombre d’un arbre cachectique afin de se reposer un peu.
Le vieil homme était éreinté et la chaleur n’améliorait pas sa situation. Il n’avait plus de vivres depuis des jours et il dormait très peu pour échapper à d’éventuels poursuivants. Il se trouvait sur une chaine de montagnes qui séparait le désert du reste du monde, comme si la nature eut voulu protéger cet endroit peu peuplé par l’homme. Le visage émacié du chasseur trahissait son épuisement. Le souffle saccadé et les jambes tremblantes il décida de dormir un peu sous le couvert de la souche sombre décharné. Il sombra bien vite dans le sommeil. Etrangement il ne rêva pas mais se souvint avec une netteté irréel de l’événement qui avait fait basculé sa vie .
Ses bottes s’enfonçaient dans le sable chaud tandis qu’il marchait sur une étendue désertique avec un jeune homme. Celui-ci arborait une armure légère ainsi qu’une courte cape rouge. Son visage exprimait une indéfectible détermination et une lueur de bonté brillait dans ses yeux braqués sur les dunes qui s’étendaient à perte de vue. Etnob l’observa un moment puis se décida à rompre le silence :
- Ce n’est vraiment pas sage de votre part majesté, vous feriez mieux de rentrer. Dois-je vous rappeler qu’étant dépourvu d’héritier pour l’instant votre lignée s’éteindra avec votre mort ? Qu’adviendra t-il de votre peuple si vous mourrez au combat ?
Le roi Vega marque une pause puis, le visage impassible, répondit d’une voix neutre :
- Eh bien mon cher Etnob vous dirigerez le royaume à ma place, vous êtes une personne de confiance, les gens vous aiment et c’est tout naturel après tout vous êtes un héros. Le peuple dont vous parlez se plaint depuis des semaines qu’un Diablos plus gros que les autres sème la terreur et qui, sinon leur souverain, est le mieux placé pour répondre à leurs doléances ?
- Vous savez très bien que le trône ne m’intéresse pas, je ne suis pas fait pour ça, rétorqua le vieil homme en dévisageant le monarque qui se tenait toujours de profil.
- Tant pis le royaume ira donc à ma conseiller mais taisez vous un peu vieil homme je ne suis pas encore mort ! dit-il en éclatant de rire.
Etnob ne put retenir un sourire devant la désinvolture désarmante de son compagnon qui était même allé quelques jours plus tôt jusqu'à refuser une escorte afin de pouvoir demeurer incognito .Un vent chaud se leva et fit tourbillonner le sable du lieu désolé. Les longs cheveux bruns du roi guerrier voletèrent dans son dos. Tout à coup le vieillard s’arrêta et dégaina sa légendaire épée en hurlant : « Attention ! ». Le jeune combattant compris le message et effectua une roulade en sortant ses deux lames ciselées de leur fourreau. Le sol explosa et une créature gigantesque jaillit devant eux. Elle se tenait sur deux pattes mais était dépourvu de bras, à la place deux immenses ailes se dressaient fièrement. Une carapace formée d’écailles épaisses couvrait tout son corps et deux énormes cornes ornaient la collerette osseuse de sa tête. Des crocs saillants et blanchâtres parsemaient de façon hasardeuse sa bouche d’où montait un grognement guttural. Le monstre rejeta son crâne massif en arrière et poussa un rugissement strident qui fit vibrer la terre. Magnifique et terrible le diablos attaque en criant. Il tenta d’empaler le maître de pokke mais celui-ci esquiva le coup en bondissant et taillada au passage l’une des grandes jambes de la créature. Du sang coula en petite quantité de la blessure et se mélangea au sable. Le prédateur fit demi-tour et se jeta sur Etnob. Celui attendait, lame levée, mais contrairement à ce qu’il pensait son adversaire s’arrêta dans sa course et se tourna pour le faucher avec sa queue terminée d’une terrible masse d’arme. Il para le coup mais la puissance de l’attaque le projeta dans les airs. Il se releva péniblement pour faire face à nouveau. A ce moment précis la bête saisit vivement le roi dans sa gueule. Celui se débattit et finit par enfoncer une de ses épées dans le palais du seigneur de la désolation. Malheureusement la deuxième rapière lui échappa des mains. Il se trouvait désormais désarmé dans la bouche d’un monstre géant. Pendant un instant qui sembla durer une éternité le diablos et le vieil homme se dévisagèrent puis l’un creva le sol et disparu en emportant sa proie tandis que l’autre poussait un cri de désespoir.
Le vieillard se réveilla en sursaut, la nuit était tombée. Il se leva en grognant puis reprit son chemin vers le désert. Il devait retrouver le tueur titanesque et montrer à la guilde des chasseurs l’arme ouvragée du roi figée dans son corps. Etant donné que jamais le souverain ne se séparait de ses fidèles épées ils seraient contraints de reconnaître son innocence. Du moins l’espérait-il…
Deux silhouettes encapuchonnées entretenaient une discussion malhonnête dans un coin sombre d’une auberge.
- Il va tenter de retrouver le diablos, fit la première.
- Vous avez mentis en disant qu’il avait tué le roi et nous savions qu’il ne se laisserait pas abattre si facilement. Il a eut beau clamer sa version des faits, par le plus grand des hasards c’est vous que la population a écouté, nous avons donc une chance inouïe qu’il ne faut pas laisser filer, rétorqua la seconde.
- Oui je vais immédiatement monter une équipe afin de tuer le diablos et récupérer cette maudite épée, siffla l’inconnu avec dédain. Quand au vieillard mon meilleur assassin est déjà à ses trousses.
- Une fois qu’il sera mort et que la dernière preuve aura disparu le royaume vous appartiendra et vous me donnerez mes pièces d’or.
- Naturellement, fit l’homme en sirotant sa bière.
Dernière édition par Waylander le Mer 10 Fév 2010 - 15:29, édité 2 fois
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Re: La trilogie du diablos
par Rathalos71 Mer 13 Jan 2010 - 18:39
Super, super, super!!!!Franchement j'adore
continue,tu est sur la bonne voie
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Re: La trilogie du diablos
par hell hunter Mer 13 Jan 2010 - 20:49
bien mais evite d'ecrire en noir stp
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Mer 13 Jan 2010 - 21:24
ok je pense que je vais ecrire en rouge à l'avenir 
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Re: La trilogie du diablos
par Dark22 Mer 13 Jan 2010 - 21:33
La vache c'est gigantesque !! c'est largement digne d'un auteur professionnel ! (par contre tu fais référence au village de mhf2/mhfu ? j'imagine que oui. Dans ce cas il me semble qu Pokke s'écrit avec deux "K")
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Mer 13 Jan 2010 - 22:05
A oui merci je modifirai dans le prochain texte si je réemplois le mot
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Re: La trilogie du diablos
par Dark22 Mer 13 Jan 2010 - 22:10
De rien et très bonne continuation.
Vivement la suite !!
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Jeu 14 Jan 2010 - 19:37
C'étais en rouge alors j'ai effacé, je donne un coup de neuf à la fic ^^
Dernière édition par Waylander le Mar 26 Jan 2010 - 0:45, édité 1 fois
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Re: La trilogie du diablos
par [NT] Rakdos Jeu 14 Jan 2010 - 19:42
Un conseil: écrit plus gros et pas en rouge...c'est pas trop lisible. 
![[NT] Rakdos](https://2img.net/u/2712/46/13/57/avatars/5958-29.jpg)
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Re: La trilogie du diablos
par Dark22 Jeu 14 Jan 2010 - 19:46
Oh purée ca déchire, franchement bravo !
Je pense qu'écrire en blanc serait la meilleure des solutions
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Jeu 14 Jan 2010 - 20:14
Ok la bataille finale sera ecrite en blanc ^^
Pour les prochain commentaires parlez de la fic et pas de la couleur svp
Pour les prochain commentaires parlez de la fic et pas de la couleur svp
Waylander- Nombre de messages : 191
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Jeu 14 Jan 2010 - 21:23
Bon désolé pour le double post mais le rouge ne donne vraiment pas envie de lire et puis comme ça je verrai ce que ça donne en blanc Donc pardon gentils modos
et rehop!
CHAPITRE 3 ( 1 sur 2 ) : Chasse et rebondissements.
Lorsqu’ Etnob aperçut enfin un village il avait tout perdu de sa superbe. Son visage était rougeâtre, ses yeux arboraient de grands cernes et sa cape était déchirée. De plus le manque de sommeil et les nombreuses meurtrissures qui couvraient son corps lui donnaient une démarche claudicante. Il se dirigea d’un pas mal assuré vers un repos mérité.
La petite ville était composée de maisons de bois surélevés et se trouvait à coté d’une mare entouré de palmiers. Derrière cet oasis les étendues dorées du désert miroitaient sous les rayons du soleil. Quand le vieux guerrier pénétra dans l’avant poste il se sentit enfin en sécurité. Les informations de l’extérieur ne parvenaient pas toujours dans ce coin reculé par conséquent, ici, il ne serait pas traqué. Il entra dans une taverne et demanda une chambre. Il s’endormit instantanément en sentant le contact du lit sur son dos blessé. Il parvint, pour la première fois depuis des jours, à passer une nuit complète et bienfaisante. Le lendemain il se réveilla en pleine forme. Il se rendit d’abord au point d’eau pour se décrasser puis vendit sa vieille armure, trop lourde pour convenir au climat aride de ces contrées. Il s’acheta avec l’argent récolté une cotte de maille légère ainsi que de nouvelles bottes. Une fois équipé il sentit son estomac crier famine et se rendit donc à l’auberge pour se restaurer. L’atmosphère du bâtiment était agréable, les gens riaient bruyamment et des rayons lumineux filtraient à travers les fenêtres. Il s’installa non loin d’une table occupé par de jeunes chasseurs qui racontaient leurs exploits avec moult renforts de gestes. Lorsque la serveuse arriva pour prendre sa commande il demanda une cuisse d’apceros et une bière. Une fois que la nourriture fut dans son assiette il se jeta goulument dessus en émettant des grognements de plaisir. Un jeune homme vint troubler la quiétude de son repas.
L’étrange personnage était grand et svelte. Ses cheveux étaient blonds et dans ses yeux verts brillait une lueur mystérieuse. Il portait une veste en cuir et une longue dague à la lame recourbée pendait à sa ceinture. Il saisit une chaise et s’assit en face d’Etnob. Puis devant la déstabilisante impassibilité de son vorace compagnon qui continuait à ingurgiter d’énormes morceaux de viande il décida de rompre le silence.
- Je sais qui vous êtes, murmura t-il.
L’affamé cessa de manger et le dévisagea. « Raté pour la discrétion » pensa t-il amèrement.
- Ecoutez moi Etnob, je n’ai pas cru une seule seconde les affirmations du conseiller royale. Je sais que vous êtes innocent, j’en ai la conviction ! Mon instinct me souffle qu’il vaut mieux croire un héros plutôt qu’un politicien avide de pouvoir. Et quel héros ! Pourfendeur d’Akantor, tueur de rathalos et une rumeur dit même que vous auriez vaincu le légendaire fatalis ! Si vous êtes ici aujourd’hui c’est pour retrouver l’épée du roi accroché au corps du plus puissant diablos de tous les temps et j’aimerais faire partie de cette légende là. Mon nom est Lhan et je vous apporterai mon aide dans la quête que vous allez entreprendre.
Quand le flot de paroles se fut arrêté un silence pesant s’installa. Finalement le vieillard eut un sourire radieux et posa une main sur l’épaule de son admirateur avant de déclarer d’un ton bourru : « Sois le bienvenue gamin ! »
Ils partirent en milieu d’après-midi en emportant de l’eau et des vivres, de plus Lhan transportait désormais une épée courte et un bouclier. Leur périlleux voyage dans la chaleur étouffante du brasier jaunâtre commença. Etnob marchait en tête tandis que son compagnon faisait de son mieux pour suivre ses immenses foulées. Les yeux rivé sur l’horizon il tentait de repérer des traces. Le guerrier blond quant a lui se contentait de suivre silencieux et grave. Après plusieurs heures de marche ils décidèrent de s’arrêter pour la nuit à cause du manque de visibilité. Ils firent un feu pour se protéger de la rudesse de la température et restèrent quelques instants les yeux rivés sur les flammes, dubitatifs. L’obscur firmament s’étendait, constellé d’étoiles scintillantes, sur la nature silencieuse. Finalement le vieil homme rompit le silence :
- J’ai repéré des traces, dit-il d’un ton rêveur. D’après mes estimations ils sont quatre et se rendent exactement dans la même direction que nous, au sud est, là où la bête a été aperçut pour la dernière fois. Je pense qu’ils obéissent au conseiller. Ils cherchent l’épée afin de la faire disparaître, il faudra la trouver avant eux.
- Ne pouvons nous pas les vaincre ? demanda son frère d’arme roulé en boule dans sa cape de voyage.
- Ne soyons pas téméraires mon jeune ami, nous n’avons pas la moindre idée de ce dont ils sont capables. Attendons nous aviserons sur le moment, bailla t-il pour clore le debat.
Sans rien ajouter ils s’endormirent.
Quatre chasseurs armés jusqu’aux dents avaient établit leur campement non loin de là. Le meneur se tenait debout devant ses acolytes. Il était terrifiant. Une armure sombre protégeait son corps devant bien mesurer dans les deux mètres. Son heaume laissait entrevoir deux yeux incarnats dépourvus de pupilles et il tenait un marteau titanesque hérissé de piques dans ses grosses mains. Le géant inhumain prit la parole d’une voix caverneuse qui fit frissonner ses subordonnés :
- Demain nous tuerons le diablos, demain le vieillard ne sera plus, demain le conseiller sera roi et nous serons riches. Enfin je serai riche vous ça m’étonnerait que vous surviviez à l’affrontement qui nous attend, sur ce il éclata d’un rire cruel et ordonna aux hommes massés autour du feu de dormir s’ils ne voulaient pas qu’il leur broie le crâne.
La bataille finale approche.
Donc pardon gentils modos et rehop!CHAPITRE 3 ( 1 sur 2 ) : Chasse et rebondissements.
Lorsqu’ Etnob aperçut enfin un village il avait tout perdu de sa superbe. Son visage était rougeâtre, ses yeux arboraient de grands cernes et sa cape était déchirée. De plus le manque de sommeil et les nombreuses meurtrissures qui couvraient son corps lui donnaient une démarche claudicante. Il se dirigea d’un pas mal assuré vers un repos mérité.
La petite ville était composée de maisons de bois surélevés et se trouvait à coté d’une mare entouré de palmiers. Derrière cet oasis les étendues dorées du désert miroitaient sous les rayons du soleil. Quand le vieux guerrier pénétra dans l’avant poste il se sentit enfin en sécurité. Les informations de l’extérieur ne parvenaient pas toujours dans ce coin reculé par conséquent, ici, il ne serait pas traqué. Il entra dans une taverne et demanda une chambre. Il s’endormit instantanément en sentant le contact du lit sur son dos blessé. Il parvint, pour la première fois depuis des jours, à passer une nuit complète et bienfaisante. Le lendemain il se réveilla en pleine forme. Il se rendit d’abord au point d’eau pour se décrasser puis vendit sa vieille armure, trop lourde pour convenir au climat aride de ces contrées. Il s’acheta avec l’argent récolté une cotte de maille légère ainsi que de nouvelles bottes. Une fois équipé il sentit son estomac crier famine et se rendit donc à l’auberge pour se restaurer. L’atmosphère du bâtiment était agréable, les gens riaient bruyamment et des rayons lumineux filtraient à travers les fenêtres. Il s’installa non loin d’une table occupé par de jeunes chasseurs qui racontaient leurs exploits avec moult renforts de gestes. Lorsque la serveuse arriva pour prendre sa commande il demanda une cuisse d’apceros et une bière. Une fois que la nourriture fut dans son assiette il se jeta goulument dessus en émettant des grognements de plaisir. Un jeune homme vint troubler la quiétude de son repas.
L’étrange personnage était grand et svelte. Ses cheveux étaient blonds et dans ses yeux verts brillait une lueur mystérieuse. Il portait une veste en cuir et une longue dague à la lame recourbée pendait à sa ceinture. Il saisit une chaise et s’assit en face d’Etnob. Puis devant la déstabilisante impassibilité de son vorace compagnon qui continuait à ingurgiter d’énormes morceaux de viande il décida de rompre le silence.
- Je sais qui vous êtes, murmura t-il.
L’affamé cessa de manger et le dévisagea. « Raté pour la discrétion » pensa t-il amèrement.
- Ecoutez moi Etnob, je n’ai pas cru une seule seconde les affirmations du conseiller royale. Je sais que vous êtes innocent, j’en ai la conviction ! Mon instinct me souffle qu’il vaut mieux croire un héros plutôt qu’un politicien avide de pouvoir. Et quel héros ! Pourfendeur d’Akantor, tueur de rathalos et une rumeur dit même que vous auriez vaincu le légendaire fatalis ! Si vous êtes ici aujourd’hui c’est pour retrouver l’épée du roi accroché au corps du plus puissant diablos de tous les temps et j’aimerais faire partie de cette légende là. Mon nom est Lhan et je vous apporterai mon aide dans la quête que vous allez entreprendre.
Quand le flot de paroles se fut arrêté un silence pesant s’installa. Finalement le vieillard eut un sourire radieux et posa une main sur l’épaule de son admirateur avant de déclarer d’un ton bourru : « Sois le bienvenue gamin ! »
Ils partirent en milieu d’après-midi en emportant de l’eau et des vivres, de plus Lhan transportait désormais une épée courte et un bouclier. Leur périlleux voyage dans la chaleur étouffante du brasier jaunâtre commença. Etnob marchait en tête tandis que son compagnon faisait de son mieux pour suivre ses immenses foulées. Les yeux rivé sur l’horizon il tentait de repérer des traces. Le guerrier blond quant a lui se contentait de suivre silencieux et grave. Après plusieurs heures de marche ils décidèrent de s’arrêter pour la nuit à cause du manque de visibilité. Ils firent un feu pour se protéger de la rudesse de la température et restèrent quelques instants les yeux rivés sur les flammes, dubitatifs. L’obscur firmament s’étendait, constellé d’étoiles scintillantes, sur la nature silencieuse. Finalement le vieil homme rompit le silence :
- J’ai repéré des traces, dit-il d’un ton rêveur. D’après mes estimations ils sont quatre et se rendent exactement dans la même direction que nous, au sud est, là où la bête a été aperçut pour la dernière fois. Je pense qu’ils obéissent au conseiller. Ils cherchent l’épée afin de la faire disparaître, il faudra la trouver avant eux.
- Ne pouvons nous pas les vaincre ? demanda son frère d’arme roulé en boule dans sa cape de voyage.
- Ne soyons pas téméraires mon jeune ami, nous n’avons pas la moindre idée de ce dont ils sont capables. Attendons nous aviserons sur le moment, bailla t-il pour clore le debat.
Sans rien ajouter ils s’endormirent.
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- Demain nous tuerons le diablos, demain le vieillard ne sera plus, demain le conseiller sera roi et nous serons riches. Enfin je serai riche vous ça m’étonnerait que vous surviviez à l’affrontement qui nous attend, sur ce il éclata d’un rire cruel et ordonna aux hommes massés autour du feu de dormir s’ils ne voulaient pas qu’il leur broie le crâne.
La bataille finale approche.
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Re: La trilogie du diablos
par Dark22 Jeu 14 Jan 2010 - 21:47
Ah bah c'est mieux comme ca ! Ca fait tout de suite moins mal aux yeux !
Vivement la suite !
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Jeu 14 Jan 2010 - 22:32
Je te remerci pour tes commentaires dark22 Dommage que tu sois mon dernier lecteur -_-"
Dommage que tu sois mon dernier lecteur -_-"
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Re: La trilogie du diablos
par Dark22 Jeu 14 Jan 2010 - 22:37
Bag moi j'adore, donc c'est pas maintenant que je vais te lâcher !
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Re: La trilogie du diablos
par Waylander Jeu 14 Jan 2010 - 22:41
j'exagere il reste hell hunter aussi
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Re: La trilogie du diablos
par hell hunter Jeu 14 Jan 2010 - 22:51
je ne te lacheré pas, fais moi confiance!
les barbares non qu'une parole.
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