Une vie de chasseur
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Une vie de chasseur
C'était l'histoire de quatre valeureux chasseurs, l'un s’appelait Kyoshiro, l'autre David, le suivant Riper et le dernier Sylver. Les quatre premiers groupes de chapitres seront consacrés à chacun des guerriers.
CHAPITRE I : Kyoshiro, les débuts
Originaire de Pokke, Kyoshiro perdit ses parents à l'âge de 6 ans et fut recueillit par le sage du village qui lui enseigna l'art de chasser.
Sa première véritable mission fut d'aller combattre un groupe de Giapreys qui tuait les Popos du village. Il partit donc tout seul, équipé de ses équipements Mafumofu et de son unique épée : un kris en os. Avant d'atteindre le campement où il trouverait de quoi mieux s’équiper, il croisa le chemin de deux chasseurs qui étaient partis chasser le Blangonga, l'un portait des crocs et des griffes, l'autre une queue et des moustaches. Ils étaient tous deux équipés d'une armure de chasseur et semblaient contents de leur victoire. Arrivé au camp, il chercha dans la boîte bleue. Il y trouva une carte, des aiguisoirs, des potions et des marqueurs. Il prit tous ces objets et partit à la recherche du clan de Giapreys.
Après quelques heures de marches, il arriva devant un immense lac, se demandant même si ça n'était pas une mer. Près du lac, une famille de Popos s’abreuvait tranquillement. Mais, hors de vue du chasseur, cachés dans la neige encore fraîche, deux Giapreys guettaient leur proie, le Popo nouveau-né. Kyoshiro s'approcha du groupe de pachydermes, et commença à les caresser d’une main. Soudain, l’animal caressé lui donna un violent coup de défense. Le chasseur alla s'étaler dans les hautes herbes, légèrement sonné. Quand il se remit de son coup, il aperçut la confrontation entre les deux Giapreys et la mère du nouveau-né qui voulait le protéger. Kyoshiro n'hésita pas une seconde, sortant son kris en os de son fourreau et attachant son bouclier à son bras gauche, il fonça en direction des deux Giapreys, cependant il n'avait pas vu qu'un autre animal était derrière lui. Ce-dernier lui sauta dessus, mais, grâce aux entraînements intensifs que lui avait donnés le sage du village, le chasseur fit une roulade sur le côté et esquiva de peu l'attaque du Giaprey. Puis lui fonça dessus, pensant aux Popos qui avaient besoin d'aide. D'un coup, il entailla le dos de l’animal qui hurla de douleur. Le prey lui donna un coup de griffes mais ne put toucher que son bouclier, le chasseur répliqua en plantant son épée dans le torse du monstre. Le Giaprey s’étala par terre, mort. Kyoshiro n'eut pas un moment de répit et courut vers sa cible initiale. La mère du petit était fatiguée et allait succomber aux inexorables attaques du couple de prédateurs. Soudain, les Giapreys stoppèrent leurs attaques et hurlèrent, tête haute. Ils semblèrent appeler quelqu'un ... quelque chose. Puis, dans une fracassante entrée, arriva un autre Giaprey.
Il était plus grand que les autres. De loin, il ressemblait à ses congénères, mais de près, on pouvait apercevoir des cicatrices sur son dos et sa queue, il avait une crête aussi bleue que l'eau du lac glacé, et des griffes de la taille d’un bras, elles avaient l'air aussi tranchant qu'une dague de chasseur. Kyoshiro prit peur pendant un moment mais voyant l’assaut sanglant répété par ces monstres, il reprit confiance. La larme à l’œil, il chargea en direction du monstre alpha, qui se tourna vers lui. Le monstre et ses sujets s’arrêtèrent alors de s'en prendre aux Popos. Lui, n'écoutant que son cœur et son courage, continua à avancer. Les monstres foncèrent alors à leur tour sur lui. Il fonçait avec l'épée dirigée vers l'avant et son bouclier qui couvrait son torse. Le choc avec le premier animal fut terrible, le sang gicla de tous les côtés. La pauvre créature n'avait rien compris à ce qui lui arrivait. En un rien de temps, tout les autres Giapreys s'attaquèrent alors à Kyoshiro qui résista aux premiers assauts et tua près de quatre monstres. Puis ce fut au tour du chef, un Giadrome d'après ce qu'avait dit le sage. Kyoshiro attaqua le premier mais le Drome esquiva facilement le coup d'un saut sur le côté. Le chasseur se demanda alors comment allait-il y arriver mais, le temps qu'il pensa à cela, le Giadrome avait déjà foncé sur lui, lui le percutant de plein fouet et lui arrachant son épée des mains. Le chasseur fit un vol de plusieurs mètres avant de retomber sur le dos, dans l'herbe. Un Giaprey lui sauta dessus, heureusement, son bouclier le protégea. Il vit les dents du monstre s'avancer vers sa tête, il était incapable de s’enfuit, le poids du Giaprey sur son ventre l'en empêchait. En dernier recours, il donna un coup de poing dans la gueule du monstre, le prey tomba sur le côté pour se relever en moins d'une seconde mais Kyoshiro en profita pour se relever lui aussi et commença à chercher son épée. Il la vit près d'un rocher, et sans réfléchir, il courut vers elle tandis que le Giaprey le poursuivait. D'une roulade bien calculée, il roula sur son épée et la prit dans sa main droite. D'un revers fulgurant, il trancha la tête de son poursuivant qui s'écrasa par terre, puis regarda autour de lui. Il n'y avait plus personne, plus rien. Il se retourna, le Giadrome était devant lui, sur un rocher, à moins d'un mètre de lui. Avec une rapidité phénoménale, il avança son bras vers la gueule bavante du monstre. Le Giadrome l'évita mais eu la crête tranchée. Il répliqua alors en donnant un coup de griffe dans le corps du chasseur qui tomba sous l’effet de la douleur. Kyoshiro n’eut le temps de faire qu'un seul geste qui coupa dans une giclée de sang la patte gauche de l'animal. Le Drome cria d'un son strident avant de s'étaler par terre, gémissant. Kyoshiro se releva et s'avança vers lui, il donna le coup final dans la tête de la créature qui succomba. Puis il tomba dans les pommes, dans son sang.
Heureusement, un chasseur qui passait par là vit notre jeune héros et lui donna immédiatement une potion revigorante. Kyoshiro se remit sur ses jambes une heure après. Après avoir remercié le chasseur, il prit les griffes et la crête du Giadrome qu'il avait tué puis rentra à Pokke. Quand il fut rentré, il alla voir directement le sage qui restait toujours devant le camp d'entraînement. Il commença à lui raconter son histoire et lui montra ses récompenses. Le sage lui annonça qu'il savait qu'il y avait un Giaprey Alpha mais qu'il ne voulait pas le décourager. Il lui dit qu'il était prêt à devenir un grand chasseur avant de lui donner une nouvelle arme et de nouvelles armures. Il lui offrit donc l'épée ceinture noire et les équipements Giapreys pour sa victoire contre le Giadrome. Kyoshiro rentra chez lui et installa tout ça dans son coffre. Heureux de sa victoire, il alla revoir le sage qui lui fit visiter le hall de rassemblement. En rentrant chez lui, un Félyne croisa sa route, il avait l'air fatigué et malade, Kyoshiro, de bon cœur, le ramena chez lui et le soigna. Le lendemain il s’occupa de son nouveau compagnon, lui apprenant le maniement des armes, sans résultat. Il se résolut alors à apprendre au chat à cuisiner des mets délicieux, ce que l’animal comprit très rapidement. Désormais, Kyoshiro n’était plus seul durant les difficiles matins du village de Pokke, désormais il n’allait plus jamais rester seul.
CHAPITRE I : Kyoshiro, les débuts
Originaire de Pokke, Kyoshiro perdit ses parents à l'âge de 6 ans et fut recueillit par le sage du village qui lui enseigna l'art de chasser.
Sa première véritable mission fut d'aller combattre un groupe de Giapreys qui tuait les Popos du village. Il partit donc tout seul, équipé de ses équipements Mafumofu et de son unique épée : un kris en os. Avant d'atteindre le campement où il trouverait de quoi mieux s’équiper, il croisa le chemin de deux chasseurs qui étaient partis chasser le Blangonga, l'un portait des crocs et des griffes, l'autre une queue et des moustaches. Ils étaient tous deux équipés d'une armure de chasseur et semblaient contents de leur victoire. Arrivé au camp, il chercha dans la boîte bleue. Il y trouva une carte, des aiguisoirs, des potions et des marqueurs. Il prit tous ces objets et partit à la recherche du clan de Giapreys.
Après quelques heures de marches, il arriva devant un immense lac, se demandant même si ça n'était pas une mer. Près du lac, une famille de Popos s’abreuvait tranquillement. Mais, hors de vue du chasseur, cachés dans la neige encore fraîche, deux Giapreys guettaient leur proie, le Popo nouveau-né. Kyoshiro s'approcha du groupe de pachydermes, et commença à les caresser d’une main. Soudain, l’animal caressé lui donna un violent coup de défense. Le chasseur alla s'étaler dans les hautes herbes, légèrement sonné. Quand il se remit de son coup, il aperçut la confrontation entre les deux Giapreys et la mère du nouveau-né qui voulait le protéger. Kyoshiro n'hésita pas une seconde, sortant son kris en os de son fourreau et attachant son bouclier à son bras gauche, il fonça en direction des deux Giapreys, cependant il n'avait pas vu qu'un autre animal était derrière lui. Ce-dernier lui sauta dessus, mais, grâce aux entraînements intensifs que lui avait donnés le sage du village, le chasseur fit une roulade sur le côté et esquiva de peu l'attaque du Giaprey. Puis lui fonça dessus, pensant aux Popos qui avaient besoin d'aide. D'un coup, il entailla le dos de l’animal qui hurla de douleur. Le prey lui donna un coup de griffes mais ne put toucher que son bouclier, le chasseur répliqua en plantant son épée dans le torse du monstre. Le Giaprey s’étala par terre, mort. Kyoshiro n'eut pas un moment de répit et courut vers sa cible initiale. La mère du petit était fatiguée et allait succomber aux inexorables attaques du couple de prédateurs. Soudain, les Giapreys stoppèrent leurs attaques et hurlèrent, tête haute. Ils semblèrent appeler quelqu'un ... quelque chose. Puis, dans une fracassante entrée, arriva un autre Giaprey.
Il était plus grand que les autres. De loin, il ressemblait à ses congénères, mais de près, on pouvait apercevoir des cicatrices sur son dos et sa queue, il avait une crête aussi bleue que l'eau du lac glacé, et des griffes de la taille d’un bras, elles avaient l'air aussi tranchant qu'une dague de chasseur. Kyoshiro prit peur pendant un moment mais voyant l’assaut sanglant répété par ces monstres, il reprit confiance. La larme à l’œil, il chargea en direction du monstre alpha, qui se tourna vers lui. Le monstre et ses sujets s’arrêtèrent alors de s'en prendre aux Popos. Lui, n'écoutant que son cœur et son courage, continua à avancer. Les monstres foncèrent alors à leur tour sur lui. Il fonçait avec l'épée dirigée vers l'avant et son bouclier qui couvrait son torse. Le choc avec le premier animal fut terrible, le sang gicla de tous les côtés. La pauvre créature n'avait rien compris à ce qui lui arrivait. En un rien de temps, tout les autres Giapreys s'attaquèrent alors à Kyoshiro qui résista aux premiers assauts et tua près de quatre monstres. Puis ce fut au tour du chef, un Giadrome d'après ce qu'avait dit le sage. Kyoshiro attaqua le premier mais le Drome esquiva facilement le coup d'un saut sur le côté. Le chasseur se demanda alors comment allait-il y arriver mais, le temps qu'il pensa à cela, le Giadrome avait déjà foncé sur lui, lui le percutant de plein fouet et lui arrachant son épée des mains. Le chasseur fit un vol de plusieurs mètres avant de retomber sur le dos, dans l'herbe. Un Giaprey lui sauta dessus, heureusement, son bouclier le protégea. Il vit les dents du monstre s'avancer vers sa tête, il était incapable de s’enfuit, le poids du Giaprey sur son ventre l'en empêchait. En dernier recours, il donna un coup de poing dans la gueule du monstre, le prey tomba sur le côté pour se relever en moins d'une seconde mais Kyoshiro en profita pour se relever lui aussi et commença à chercher son épée. Il la vit près d'un rocher, et sans réfléchir, il courut vers elle tandis que le Giaprey le poursuivait. D'une roulade bien calculée, il roula sur son épée et la prit dans sa main droite. D'un revers fulgurant, il trancha la tête de son poursuivant qui s'écrasa par terre, puis regarda autour de lui. Il n'y avait plus personne, plus rien. Il se retourna, le Giadrome était devant lui, sur un rocher, à moins d'un mètre de lui. Avec une rapidité phénoménale, il avança son bras vers la gueule bavante du monstre. Le Giadrome l'évita mais eu la crête tranchée. Il répliqua alors en donnant un coup de griffe dans le corps du chasseur qui tomba sous l’effet de la douleur. Kyoshiro n’eut le temps de faire qu'un seul geste qui coupa dans une giclée de sang la patte gauche de l'animal. Le Drome cria d'un son strident avant de s'étaler par terre, gémissant. Kyoshiro se releva et s'avança vers lui, il donna le coup final dans la tête de la créature qui succomba. Puis il tomba dans les pommes, dans son sang.
Heureusement, un chasseur qui passait par là vit notre jeune héros et lui donna immédiatement une potion revigorante. Kyoshiro se remit sur ses jambes une heure après. Après avoir remercié le chasseur, il prit les griffes et la crête du Giadrome qu'il avait tué puis rentra à Pokke. Quand il fut rentré, il alla voir directement le sage qui restait toujours devant le camp d'entraînement. Il commença à lui raconter son histoire et lui montra ses récompenses. Le sage lui annonça qu'il savait qu'il y avait un Giaprey Alpha mais qu'il ne voulait pas le décourager. Il lui dit qu'il était prêt à devenir un grand chasseur avant de lui donner une nouvelle arme et de nouvelles armures. Il lui offrit donc l'épée ceinture noire et les équipements Giapreys pour sa victoire contre le Giadrome. Kyoshiro rentra chez lui et installa tout ça dans son coffre. Heureux de sa victoire, il alla revoir le sage qui lui fit visiter le hall de rassemblement. En rentrant chez lui, un Félyne croisa sa route, il avait l'air fatigué et malade, Kyoshiro, de bon cœur, le ramena chez lui et le soigna. Le lendemain il s’occupa de son nouveau compagnon, lui apprenant le maniement des armes, sans résultat. Il se résolut alors à apprendre au chat à cuisiner des mets délicieux, ce que l’animal comprit très rapidement. Désormais, Kyoshiro n’était plus seul durant les difficiles matins du village de Pokke, désormais il n’allait plus jamais rester seul.
Dernière édition par Ceanataur le Dim 12 Déc 2010 - 12:42, édité 1 fois
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Re: Une vie de chasseur
CHAPITRE II : David, au commencement
David est né à Kokoto et perdit sa mère durant un combat contre deux yian kut-ku. Depuis, son père lui apprend à chasser pour venger sa mère, soit disant. Tous deux, ils allaient chasser le mosswine dans les vastes forêts proche du village de Kokoto. David n'était pas très costaud pour son âge donc il regardait seulement son père chasser. Celui-là portait une épée digne des grands chasseurs, une agito avait-il dit un jour. Il était équipé en armure de combat et partait souvent de la maison où ils habitaient pour aller chasser le roi du ciel, il revenait toujours bredouille car personne n'avait vu en vrai ce roi. En fait, personne n'est revenu vivant après l'avoir vu. La légende dit qu'il ressemblerait à un monstre rouge sang qui cracherai des boules de lave, il pourrait s'envoler et passerait sa majeure partie du temps dans le ciel, il aurait aussi une queue d'une force phénoménale capable de détruire un rocher de la taille d'un aptonoth en mille morceaux. Une autre légende venue de Dondruma, un village lointain, dit que ce monstre serait aussi vif et rapide qu'un vespoid, et que sa couleur bleu-vert le rendrait invisible dans la forêt. Mais une toute autre légende de Jumbo, ville encore plus lointaine, dit que le roi du ciel est aussi argenté qu'une lame qui vient d'être polie sous le soleil, et qu'il vivrait dans une tour lointaine perdue dans la jungle de Nargu. Bon, revenons à nos chasseurs.
Un jour, son père partit pour la chasse au chef kut-ku, un certain yian garuga. Le chef du village, son père et d’autres valeureux chasseurs partirent donc pour la chasse. Deux long jours s'écoulèrent, pendant ce temps, David à été recueilli par le professeur de l'école d'entraînement qui le laissait regarder les matchs dans l'arène. Enfin, à la fin du 2nd jour, un homme boitant s'approcha du village; Tout le monde accourut vers lui, il raconta ce qu'il s'était passé : "hier ................ trop nombreux ............... tous morts .................. Je ........................................."
Et il s'est tu, trempant dans son sang, mort. Alors une sueur glacée remonta lentement le dos du jeune héros, une peur aussi sombre que le légendaire dragon noir s'empara de lui, une haine plus dévastatrice encore que le dragon géant des montagnes prit possession de son corps. Puis, sans bouger, il réfléchit, il réfléchit à ce qu'il allait faire, il réfléchit à ce qu'il va faire et ... tout d'un coup ... eut une idée aussi simple que normale, il allait venger son père.
Une semaine plus tard, après avoir fêté ses 16 ans, l'âge à partir duquel on peut chasser, il avait récolté assez d'argent pour s'acheter une nouvelle arme, il alla chez le vendeur d'arme, hésita, puis se décida à prendre la plus simple, la plus adapté, la plus meurtrière. Puis, il alla voir l'homme qui l'avait recueilli et lui dit ces trois mots : "JE SUIS PRET". Aussitôt, l'homme comprit, il l'emmena devant l'arène où il pourrait enfin faire ses preuves. Il lui demanda si il était bien sûr de ce qu'il voulait faire et l'adolescent lui répondit que oui. Alors la porte de l'arène s'ouvrit, laissant apparaître un camp où se trouvait au centre une boîte. Il avança, se rapprocha de la boîte, puis prit les potions et les viandes qui se trouvaient dedans. Puis, il se tourna, face à une allée sombre, il avança. Au bout de quelques secondes, il entendit un cri aigu, un cri strident, un cri mortuaire mais il continua à avancer. Il commençait à transpirer, la sueur de son front dégoulina sur sa joue. Alors une peur encore jamais ressentie s'empara de son corps tout entier. Enfin, il vit la fin du tunnel, l'entrée de l'arène. Le soleil l'ébloui mais il ne s'arrêta pas. Il entra dans l'arène et ...
Rien, personne. Pas un monstre, pas un homme, pas un bruit. Soudain, il reçut un coup dans le dos tel un coup de bâton qui pourrait briser n'importe quelle armure et fut éjecté à quelques mètres de là. Il gisait, par terre, sans bouger. L'armure qu'il portait avait été brisée au niveau du milieu du dos, c'était l'armure de son père. Du sang sortait de sa bouche, il avait les yeux fermés ... Puis, il les ouvrit, ses yeux étaient rouges comme le feu ardent qui forge les armes, comme le sang qu'il recrachait de sa bouche ... comme le roi des cieux. Alors il se releva avec peine, il avait mal mais la rage, la haine et la vengeance qui s'étaient rassemblées en lui le fit continuer de se lever. Une fois debout, il observa, il observa celui qui lui avait donner ce coup, un monstre affreux était dressé devant lui, la gueule remplit d'une fumée noire comme la braise ; des oreilles grandes comme un bouclier de petite épée, dépliées pour obtenir le moindre son qu'il pourrait y avoir ; un bec aussi gros qu'un marteau, aussi solide qu'un rocher ; une queue aussi puissante que la charge d'un bullfango ; et des pattes aussi vives que des pattes de vélociprey. Et, sentant la rage s'emparer de ses mains, la haine se contenir dans ses bras et la vengeance se préparer, il fonça.
Il fonça tel une munition de fusarbalète donnant le coup de grâce et, en ayant ses deux mains accrochées au manche de son épée, il dégaina son arme et attaqua le premier. Alors une magnifique épée de fer brillant au soleil sortit de son fourreau, des crocs tout autour de l'arme se levèrent, près à empaler sa victime tel une machine à tuer. Il donna toute ses forces dans sa frappe mais rata sa cible qui s'était envolée juste avant. Instantanément, il prit son couteau de dépeçage ranger sur la ceinture de son tasset et le lança. Il le lança si fort et si habilement qu'il toucha sa victime dans l'aile gauche. Le kut-ku atterrit donc en vitesse sur le champ vide de l'arène. Il ne pouvait plus voler, son aile avait été transpercée par le couteau. Alors commença la bataille pour la vie. Le kut-ku, n'écoutant que son instinct, fonça sur le chasseur qui esquiva sa charge d'une roulade entre ses pattes. Puis, levant son épée, il allait frapper le monstre. Mais la créature recula et ne bougea plus, attendant le bon moment. Le chasseur ne comprenait pas, pourquoi faisait-il cela ? Soudain, une boule de feu sortit de la gueule du wyvern, pour se diriger vers notre héros qui lui, sans réfléchir, leva son épée et se protégea grâce à elle. La boule de feu explosa sur son épée et projeta le jeune chasseur en arrière. Elle avait rongée son épée, du métal en fusion coulait de son arme. Puis, l'esprit de vengeance reprit le dessus sur le chasseur. Se tournant vers la bête, les yeux en larmes, il le regarda tel un tueur regardant sa proie. Animé par la force de son père, il brandit sa lame et cria, d'un cri fort qui perturba le kut-ku. Alors, il courut vers sa cible, n'ayant qu'un seul but, venger ses parents. La créature fonça elle aussi. Alors, le chasseur fit une roulade sur le côté pour esquiver la charge et d'un revers aussi ravageur que mortel, il trancha la patte droite du kut-ku qui cria et s'effondra par terre. Alors, il s'arrêta, il ne bougea plus, il tenait son arme de la main droite et ... se tourna vers sa proie, vers sa cible, vers la cause de tout. Puis, il chargea son épée d'une force phénoménale, qui pourrait ravager n'importe qui, n'importe quoi, et acheva le monstre. Enfin, il resta là, à côté de sa récompense, de sa victime, sans rien dire, sans bouger, puis, il laissait tomber son arme et leva sa tête, il regarda le soleil et se dit : j'ai réussi. Alors, il sorti de l'arène, avec dans sa main droite, la lame ravageuse et dans sa main gauche ses trophées : Les deux oreilles du kut-ku ainsi que son bec et ses griffes. Il fut acclamé par son professeur et alla poser tout ça dans son coffre.
Puis, revenant vers le camp d'entraînement, il fut interpellé par le professeur de l'arène qui le félicita et lui demanda de le suivre. Une fois arrivé dans une salle, il lui tendit quelque chose : une épée en os grande comme un homme, avec des écriture marquées dessus qui disait : "Rage, haine et vengeance sont termes de tout". Le professeur lui dit que c'est l'arme de son père qui lui avait demandé de lui donner si jamais il venait à tomber au combat. Puis, l'homme lui donna autre chose, un couteau de chasseur fait en métal avec des écritures dorées dessus qui disaient : "puise ta force dans ton coeur". Le couteau était orné de pierres et le manche était fait en peau d'apceros. Le professeur lui expliqua qu'il appartenait à sa mère quand elle mourut. Le chasseur, les larmes aux yeux, remercia le professeur qui lui donna en plus de l'argent pour se confectionner une nouvelle armure. En rentrant chez lui, il cria à tout le village qu'il allait devenir le plus grand chasseur de tous les temps, personne ne le cru pour le moment ...
David est né à Kokoto et perdit sa mère durant un combat contre deux yian kut-ku. Depuis, son père lui apprend à chasser pour venger sa mère, soit disant. Tous deux, ils allaient chasser le mosswine dans les vastes forêts proche du village de Kokoto. David n'était pas très costaud pour son âge donc il regardait seulement son père chasser. Celui-là portait une épée digne des grands chasseurs, une agito avait-il dit un jour. Il était équipé en armure de combat et partait souvent de la maison où ils habitaient pour aller chasser le roi du ciel, il revenait toujours bredouille car personne n'avait vu en vrai ce roi. En fait, personne n'est revenu vivant après l'avoir vu. La légende dit qu'il ressemblerait à un monstre rouge sang qui cracherai des boules de lave, il pourrait s'envoler et passerait sa majeure partie du temps dans le ciel, il aurait aussi une queue d'une force phénoménale capable de détruire un rocher de la taille d'un aptonoth en mille morceaux. Une autre légende venue de Dondruma, un village lointain, dit que ce monstre serait aussi vif et rapide qu'un vespoid, et que sa couleur bleu-vert le rendrait invisible dans la forêt. Mais une toute autre légende de Jumbo, ville encore plus lointaine, dit que le roi du ciel est aussi argenté qu'une lame qui vient d'être polie sous le soleil, et qu'il vivrait dans une tour lointaine perdue dans la jungle de Nargu. Bon, revenons à nos chasseurs.
Un jour, son père partit pour la chasse au chef kut-ku, un certain yian garuga. Le chef du village, son père et d’autres valeureux chasseurs partirent donc pour la chasse. Deux long jours s'écoulèrent, pendant ce temps, David à été recueilli par le professeur de l'école d'entraînement qui le laissait regarder les matchs dans l'arène. Enfin, à la fin du 2nd jour, un homme boitant s'approcha du village; Tout le monde accourut vers lui, il raconta ce qu'il s'était passé : "hier ................ trop nombreux ............... tous morts .................. Je ........................................."
Et il s'est tu, trempant dans son sang, mort. Alors une sueur glacée remonta lentement le dos du jeune héros, une peur aussi sombre que le légendaire dragon noir s'empara de lui, une haine plus dévastatrice encore que le dragon géant des montagnes prit possession de son corps. Puis, sans bouger, il réfléchit, il réfléchit à ce qu'il allait faire, il réfléchit à ce qu'il va faire et ... tout d'un coup ... eut une idée aussi simple que normale, il allait venger son père.
Une semaine plus tard, après avoir fêté ses 16 ans, l'âge à partir duquel on peut chasser, il avait récolté assez d'argent pour s'acheter une nouvelle arme, il alla chez le vendeur d'arme, hésita, puis se décida à prendre la plus simple, la plus adapté, la plus meurtrière. Puis, il alla voir l'homme qui l'avait recueilli et lui dit ces trois mots : "JE SUIS PRET". Aussitôt, l'homme comprit, il l'emmena devant l'arène où il pourrait enfin faire ses preuves. Il lui demanda si il était bien sûr de ce qu'il voulait faire et l'adolescent lui répondit que oui. Alors la porte de l'arène s'ouvrit, laissant apparaître un camp où se trouvait au centre une boîte. Il avança, se rapprocha de la boîte, puis prit les potions et les viandes qui se trouvaient dedans. Puis, il se tourna, face à une allée sombre, il avança. Au bout de quelques secondes, il entendit un cri aigu, un cri strident, un cri mortuaire mais il continua à avancer. Il commençait à transpirer, la sueur de son front dégoulina sur sa joue. Alors une peur encore jamais ressentie s'empara de son corps tout entier. Enfin, il vit la fin du tunnel, l'entrée de l'arène. Le soleil l'ébloui mais il ne s'arrêta pas. Il entra dans l'arène et ...
Rien, personne. Pas un monstre, pas un homme, pas un bruit. Soudain, il reçut un coup dans le dos tel un coup de bâton qui pourrait briser n'importe quelle armure et fut éjecté à quelques mètres de là. Il gisait, par terre, sans bouger. L'armure qu'il portait avait été brisée au niveau du milieu du dos, c'était l'armure de son père. Du sang sortait de sa bouche, il avait les yeux fermés ... Puis, il les ouvrit, ses yeux étaient rouges comme le feu ardent qui forge les armes, comme le sang qu'il recrachait de sa bouche ... comme le roi des cieux. Alors il se releva avec peine, il avait mal mais la rage, la haine et la vengeance qui s'étaient rassemblées en lui le fit continuer de se lever. Une fois debout, il observa, il observa celui qui lui avait donner ce coup, un monstre affreux était dressé devant lui, la gueule remplit d'une fumée noire comme la braise ; des oreilles grandes comme un bouclier de petite épée, dépliées pour obtenir le moindre son qu'il pourrait y avoir ; un bec aussi gros qu'un marteau, aussi solide qu'un rocher ; une queue aussi puissante que la charge d'un bullfango ; et des pattes aussi vives que des pattes de vélociprey. Et, sentant la rage s'emparer de ses mains, la haine se contenir dans ses bras et la vengeance se préparer, il fonça.
Il fonça tel une munition de fusarbalète donnant le coup de grâce et, en ayant ses deux mains accrochées au manche de son épée, il dégaina son arme et attaqua le premier. Alors une magnifique épée de fer brillant au soleil sortit de son fourreau, des crocs tout autour de l'arme se levèrent, près à empaler sa victime tel une machine à tuer. Il donna toute ses forces dans sa frappe mais rata sa cible qui s'était envolée juste avant. Instantanément, il prit son couteau de dépeçage ranger sur la ceinture de son tasset et le lança. Il le lança si fort et si habilement qu'il toucha sa victime dans l'aile gauche. Le kut-ku atterrit donc en vitesse sur le champ vide de l'arène. Il ne pouvait plus voler, son aile avait été transpercée par le couteau. Alors commença la bataille pour la vie. Le kut-ku, n'écoutant que son instinct, fonça sur le chasseur qui esquiva sa charge d'une roulade entre ses pattes. Puis, levant son épée, il allait frapper le monstre. Mais la créature recula et ne bougea plus, attendant le bon moment. Le chasseur ne comprenait pas, pourquoi faisait-il cela ? Soudain, une boule de feu sortit de la gueule du wyvern, pour se diriger vers notre héros qui lui, sans réfléchir, leva son épée et se protégea grâce à elle. La boule de feu explosa sur son épée et projeta le jeune chasseur en arrière. Elle avait rongée son épée, du métal en fusion coulait de son arme. Puis, l'esprit de vengeance reprit le dessus sur le chasseur. Se tournant vers la bête, les yeux en larmes, il le regarda tel un tueur regardant sa proie. Animé par la force de son père, il brandit sa lame et cria, d'un cri fort qui perturba le kut-ku. Alors, il courut vers sa cible, n'ayant qu'un seul but, venger ses parents. La créature fonça elle aussi. Alors, le chasseur fit une roulade sur le côté pour esquiver la charge et d'un revers aussi ravageur que mortel, il trancha la patte droite du kut-ku qui cria et s'effondra par terre. Alors, il s'arrêta, il ne bougea plus, il tenait son arme de la main droite et ... se tourna vers sa proie, vers sa cible, vers la cause de tout. Puis, il chargea son épée d'une force phénoménale, qui pourrait ravager n'importe qui, n'importe quoi, et acheva le monstre. Enfin, il resta là, à côté de sa récompense, de sa victime, sans rien dire, sans bouger, puis, il laissait tomber son arme et leva sa tête, il regarda le soleil et se dit : j'ai réussi. Alors, il sorti de l'arène, avec dans sa main droite, la lame ravageuse et dans sa main gauche ses trophées : Les deux oreilles du kut-ku ainsi que son bec et ses griffes. Il fut acclamé par son professeur et alla poser tout ça dans son coffre.
Puis, revenant vers le camp d'entraînement, il fut interpellé par le professeur de l'arène qui le félicita et lui demanda de le suivre. Une fois arrivé dans une salle, il lui tendit quelque chose : une épée en os grande comme un homme, avec des écriture marquées dessus qui disait : "Rage, haine et vengeance sont termes de tout". Le professeur lui dit que c'est l'arme de son père qui lui avait demandé de lui donner si jamais il venait à tomber au combat. Puis, l'homme lui donna autre chose, un couteau de chasseur fait en métal avec des écritures dorées dessus qui disaient : "puise ta force dans ton coeur". Le couteau était orné de pierres et le manche était fait en peau d'apceros. Le professeur lui expliqua qu'il appartenait à sa mère quand elle mourut. Le chasseur, les larmes aux yeux, remercia le professeur qui lui donna en plus de l'argent pour se confectionner une nouvelle armure. En rentrant chez lui, il cria à tout le village qu'il allait devenir le plus grand chasseur de tous les temps, personne ne le cru pour le moment ...
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Re: Une vie de chasseur
CHAPITRE III : L’apparition de Riper
Né à Kokoto, il vivait avec ses parents dans une maison proche du hall de rassemblement. Ses parents n’étaient pas chasseurs mais lui rêvait d’en devenir un. Tous les soirs, il s’approchait de la fenêtre de sa chambre et écoutait les chasseurs fêter leurs victoire ou celle de leurs camarades. Il pouvait resté comme ça pendant plusieurs heures, et il rêvait, il rêvait de ce qu’il fera si il était un jour chasseur. Il serait célèbre dans tout le village et qui sait, peut être dans tout le monde de Gardemine. Malheureusement, il n’avait que 14 ans, il été donc trop jeune pour devenir chasseur. Mais en attentant d’avoir 16 ans, il s’entraînait, jour et nuit, jusqu’à ce qu’un jour …
C’était la veille de son anniversaire, il allait enfin avoir 16 ans. Tous ces longs moments à s’entraîner allaient enfin être récompensés. Ne pouvant plus attendre, il alla voir le vendeur d’arme avec un sac rempli d’argent. Rempli de l’argent qu’il avait économisé depuis plus de 5 ans, environ 50 000 z. Donc, il alla voir le marchand, lui présenta le sac et lui demanda l’arme qu’il espérait tant. Puis, alla voir le marchand d’armure, il ne lui restait plus que 30 000 z mais c’était suffisant, il prit donc une armure adaptée à son arme. Enfin, ayant terminé ses achats, il rentra chez lui, attendant demain pour essayer ses nouveaux équipements. Il les rangea dans l’armoire de sa chambre, qui était vide et qui attendait des trophées. Ses parents ne savaient pas qu’il avait acheté des équipements, de toute façon, ils auraient été contre. C’est pour cela qu’il les avait achetés en cachette et mis à l’abri de tous soupçon, car son père voulait faire de lui un forgeron, comme lui. Son père se moquait souvent de lui, il répétait sans cesse que quand il arrivera à tuer un mosswine, les yians kut-ku auront des dents et les bullfangos des ailes mais Riper lui répondait à chaque fois : « Alors ils en auront bientôt, pauvre forgeron ». C’est pour cela qu’il passait la majeure partie de son temps à l’extérieur, à s’entraîner derrière sa maison, à l’abri de tout regard.
Enfin, le grand jour arriva. Il avait enfin 16 ans. Une fête se préparait en son honneur, il allait annoncer à tout le monde qu’il allait enfin devenir chasseur. La fête se déroula en début d’après-midi, tout le village était rassemblé devant chez lui pour fêter son 16ème anniversaire. Il en profita pour annoncer à tout le monde sa décision. Il monta sur une table et demanda l’attention de tout le monde. Tout le monde arrêta son occupation et le regarda. Alors, il l’annonça, il le dit haut et fort pour que tout le monde l’entende : il deviendra chasseur. Puis, dans un silence complet, il alla chercher ses équipements et les présenta au village. Tout le village applaudit sauf une personne, une personne qu’il connaissait bien. C’était son père, il le regardait avec un regard noir, un regard de haine, un regard qui commença à faire peur au jeune chasseur. Mais Riper reprit le dessus et sourie à son père comme pour lui dire qu’il avait décidé ceci et que rien ne changera. Quand la fête fut finie, il rentra chez lui, heureux d’avoir annoncé son rêve à tout le monde. Mais quand il ouvrit la porte, il vit son père, il était assis sur une chaise, il le regardait. Alors Riper dit que c’était son rêve. Aussitôt, son père répliqua et lui dit que chasser n’était pas fait pour lui, et qu’il allait devenir forgeron, c’était son destin. Alors Riper dit qu’il allait changer son destin. Mais son père n’aima pas ce qu’il venait de dire et commença à lui crier dessus, à lui répéter qu’il allait devenir forgeron et qu’il n’avait pas le choix. Riper, calme, lui répondit qu’il deviendra chasseur. Sa mère, qui venait d’arriver, dit à son mari que si leur fils voulait devenir chasseur, et bien qu’il le devienne, si il avait tellement envie. Le vieil homme dit alors à son fils d’aller dans sa chambre et qu’il allait en discuter avec sa mère. Riper alla tranquillement dans sa chambre, emportant ses affaires avec lui. Il écouta la conversation, l’oreille collée au mur. Et entendit que sa mère devint d’accord avec son père. Alors, il prit son armure l’enfila, prit son arme et sortit par la fenêtre de sa chambre. Il voulait montrer à ses parents qu’il était fait pour chasser. Il partit alors pour la forêt, en quête de défenses de bullfango. Il se promit qu’il allait rentrer avant la nuit pour ne pas faire paniquer ses parents.
En marchant dans la forêt, il aperçu un jeune qui chassait avec son père, le garçon ne chassait pas il était à l’arrière et son père tuait des mosswines. C’était comme si son père lui apprenait à chasser. Il regretta alors de ne pas pouvoir être à la place de ce garçon. Enfin, il arriva devant une clairière, une mare se trouvait en son milieu et deux bullfangos s’abreuvaient. Il sortit alors son arme de son fourreau et s’avança près d’eux. Il savait qu’il ne devait pas attaquer le premier, donc il sortit une flûte de sa ceinture et souffla. Les deux bullfangos se retournèrent et regardèrent le chasseur. Ils grattaient le sol, prêts à charger. Alors un premier bullfangos fonça sur lui, il l’évita d’une roulade mais eut un peu de mal à se relever car son arme et son armure étaient quand même assez lourdes. Le deuxième animal fonça à son tour sur lui mais Riper ne l’avait pas vu venir, il fut éjecté par une force incroyable et atterrit contre un arbre, à moitié sonné. Mais il récupéra très vite et se releva. Il n’avait presque rien sentit car son armure l’avait protégé. C’était une armure assez grosse qui protége assez bien le chasseur. Elle était faite d’un métal aussi solide qu’une corne de wyvern du désert. C’était l’armure haut-métal, avait dit le vendeur. Il avança alors vers les bullfangos qui commençaient à se tourner vers lui pour l’attaquer à nouveau. Il donna un premier coup sur le premier d’entre eux. L’arme était aussi puissante qu’imposante et le bullfango fut éjecté par la force de son possesseur. Alors Riper reprit son marteau à deux mains et le mit en arrière, comme pour charger un coup. Il tourna autour du dernier bullfango et appuya sur le bouton qui se trouvait sur le manche. Alors, en une fraction de seconde, des pointes pouvant embrocher n’importe qu’elle armure sortirent tout autour du marteau. Riper donna alors un grand coup dans le flanc de la bête. Les piques transpercèrent la peau de l’animal avant que la masse ne broie les os de la pauvre créature qui mourut instantanément tellement l’impact était important. Le chasseur posa alors son arme par terre et prit son couteau à dépecer. Il coupa les défenses des deux bêtes étalées par terre. Mais, un bruit se fit entendre, un bruit presque silencieux, un bruit fluide accompagné de légers grognements. Puis, soudain, un cri étrange parvint jusqu’aux oreilles de Riper, qui regardait la chose qui émettait ces bruits bizarres mais ne la voyait pas car le soleil l’éblouissait.
Alors un monstre de la taille de deux hommes se posa devant lui, il poussait un cri strident si fort que le chasseur dû mettre ses mains sur ses oreilles pour diminuer la force du cri qui lui détruisait ses tympans. Dans la seconde qui suivit, l’horrible bête fonça sur l’homme qui gicla à plusieurs mètres. L’armure avait été un peu pliée tellement le choc fut puissant. Alors, se relevant, Riper vit enfin la créature, d’après ce qu’il avait lu dans les magazines d’information sur les wyverns peuplants ce monde, il était face à un yian kut-ku mais une chose étrange apparaissait sur ce soit disant yian kut-ku, la couleur de sa carapace était bleu et non pas rouge orange comme dans les livres, et il paraissait plus grand qu’un yian kut-ku normal. Mais, cela ne lui posait aucun problème, ce n’était qu’un monstre, comme les autres. Alors il vit que sa carapace et son bec avait été gravement endommagé et comprit que ce monstre avait déjà vécu pas mal de combats et avait sûrement anéanti ses victimes. Soudain, un frisson lui glaça le dos, une peur inconnue jusqu’alors s’empara de son corps, le tétanisant. Il resta là, sans bouger, face au monstre qui s’apprêter à lui foncer dessus. La bête s’avança alors vers lui. Riper trembler et, soudain, se demanda pourquoi était il là. Il se rappela qu’il était là pour devenir chasseur, pour montrer à son père qu’il allait devenir ce qu’il voulait être, il était là pour chasser, et non pas pour être chasser. Alors, la volonté qu’il avait de devenir chasseur réchauffa son dos, il n’avait plus peur. Immédiatement, il chercha son arme. Il la vit enfin, derrière la créature. Alors il la regarda, il la regarda profondément, avec une volonté si tenace que la créature s’arrêta un instant, puis continua son chemin ; Et … soudain …. Il courut, il fonça vers la bête qui stoppa son avancée, surprise. Il avança jusqu’à arriver entre ses pattes et là, il sauta, jusqu’à atteindre son arme qu’il prit de sa main droite. Il se releva, se tourna vers le monstre, attrapa son arme avec la main gauche et … animé par la volonté de vaincre, il fonça sur son agresseur qui allait devenir sa victime. Il cria et appuya sur le bouton pour actionner les piques. Alors, il projeta son arme vers l’animal d’une force sans égale, il la lança dans le seul but de vaincre, il la lança et … rata. Le yian kut-ku était trop rapide, il avait esquivé le coup. Alors, sans réfléchir, Riper reprit son arme à deux mains et se tourna, tout en sautant vers sa cible et … d’un coup ravageur et mortel, il toucha le bec du monstre qui se brisa tel la force à laquelle l’arme avait été chargé était puissante. La créature fut poussée vers l’arrière et s’effondra, morte. Le chasseur s’étala par terre, lui aussi mort mais de fatigue. Il resta là, inconscient pendant assez longtemps. Quand il reprit connaissance, il faisait nuit et à côté de lui gisait le corps sans vie de la bête. Il se releva, et s’approcha du corps inerte. Il prit son couteau et préleva quelques écailles du monstre ainsi que son bec, d’une taille gigantesque. Puis, il chercha un endroit où s’abriter en attentant l’arrivée du soleil. Il trouva un arbre creux, il s’effondra dedans, puis, attacha son marteau devant l’entrée, les piques sorties pour éviter de faire de nouveaux une mauvaise rencontre. Il garda son armure car dans ce monde, tout peut arriver, et il s’endormit.
Le lendemain, la lumière du soleil le réveilla, il se leva et sortit de sa cachette. Il commença alors à rentrer chez lui, portant les lourds composants du yian kut-ku bleu, ainsi l’avait-il baptisé. En rentrant, il passa devant la carcasse de la créature et vit que des vélocipreys, attirés pas l’odeur qu’elle dégageait, se rapprochaient d’elle. Riper, se dépêcha donc pour ne pas engendrer une nouvelle bataille pour la vie avec d’autres créatures. Heureusement, les vélocipreys étaient trop occupés à dévorer la dépouille du yian kut-ku. Riper arriva enfin à Kokoto, le village semblait mouvementé, il comprit pourquoi quand il rencontra un villageois qui courut aller chercher les autres habitants. Tout le monde croyait qu’il avait été tué après avoir fugué de chez lui. L’espoir renaquit dans chacune des personnes, y comprit son père qui fut le premier à le prendre dans ses bras. Et, voyant ce que son fils avait ramené, il lui demanda de l’excuser et lui dit qu’il avait eu tort de l’empêcher de vivre son rêve. Riper lui pardonna et devint un des plus grand chasseurs du village jusqu’au jour où un évènement particulier arriva dans le village …
Né à Kokoto, il vivait avec ses parents dans une maison proche du hall de rassemblement. Ses parents n’étaient pas chasseurs mais lui rêvait d’en devenir un. Tous les soirs, il s’approchait de la fenêtre de sa chambre et écoutait les chasseurs fêter leurs victoire ou celle de leurs camarades. Il pouvait resté comme ça pendant plusieurs heures, et il rêvait, il rêvait de ce qu’il fera si il était un jour chasseur. Il serait célèbre dans tout le village et qui sait, peut être dans tout le monde de Gardemine. Malheureusement, il n’avait que 14 ans, il été donc trop jeune pour devenir chasseur. Mais en attentant d’avoir 16 ans, il s’entraînait, jour et nuit, jusqu’à ce qu’un jour …
C’était la veille de son anniversaire, il allait enfin avoir 16 ans. Tous ces longs moments à s’entraîner allaient enfin être récompensés. Ne pouvant plus attendre, il alla voir le vendeur d’arme avec un sac rempli d’argent. Rempli de l’argent qu’il avait économisé depuis plus de 5 ans, environ 50 000 z. Donc, il alla voir le marchand, lui présenta le sac et lui demanda l’arme qu’il espérait tant. Puis, alla voir le marchand d’armure, il ne lui restait plus que 30 000 z mais c’était suffisant, il prit donc une armure adaptée à son arme. Enfin, ayant terminé ses achats, il rentra chez lui, attendant demain pour essayer ses nouveaux équipements. Il les rangea dans l’armoire de sa chambre, qui était vide et qui attendait des trophées. Ses parents ne savaient pas qu’il avait acheté des équipements, de toute façon, ils auraient été contre. C’est pour cela qu’il les avait achetés en cachette et mis à l’abri de tous soupçon, car son père voulait faire de lui un forgeron, comme lui. Son père se moquait souvent de lui, il répétait sans cesse que quand il arrivera à tuer un mosswine, les yians kut-ku auront des dents et les bullfangos des ailes mais Riper lui répondait à chaque fois : « Alors ils en auront bientôt, pauvre forgeron ». C’est pour cela qu’il passait la majeure partie de son temps à l’extérieur, à s’entraîner derrière sa maison, à l’abri de tout regard.
Enfin, le grand jour arriva. Il avait enfin 16 ans. Une fête se préparait en son honneur, il allait annoncer à tout le monde qu’il allait enfin devenir chasseur. La fête se déroula en début d’après-midi, tout le village était rassemblé devant chez lui pour fêter son 16ème anniversaire. Il en profita pour annoncer à tout le monde sa décision. Il monta sur une table et demanda l’attention de tout le monde. Tout le monde arrêta son occupation et le regarda. Alors, il l’annonça, il le dit haut et fort pour que tout le monde l’entende : il deviendra chasseur. Puis, dans un silence complet, il alla chercher ses équipements et les présenta au village. Tout le village applaudit sauf une personne, une personne qu’il connaissait bien. C’était son père, il le regardait avec un regard noir, un regard de haine, un regard qui commença à faire peur au jeune chasseur. Mais Riper reprit le dessus et sourie à son père comme pour lui dire qu’il avait décidé ceci et que rien ne changera. Quand la fête fut finie, il rentra chez lui, heureux d’avoir annoncé son rêve à tout le monde. Mais quand il ouvrit la porte, il vit son père, il était assis sur une chaise, il le regardait. Alors Riper dit que c’était son rêve. Aussitôt, son père répliqua et lui dit que chasser n’était pas fait pour lui, et qu’il allait devenir forgeron, c’était son destin. Alors Riper dit qu’il allait changer son destin. Mais son père n’aima pas ce qu’il venait de dire et commença à lui crier dessus, à lui répéter qu’il allait devenir forgeron et qu’il n’avait pas le choix. Riper, calme, lui répondit qu’il deviendra chasseur. Sa mère, qui venait d’arriver, dit à son mari que si leur fils voulait devenir chasseur, et bien qu’il le devienne, si il avait tellement envie. Le vieil homme dit alors à son fils d’aller dans sa chambre et qu’il allait en discuter avec sa mère. Riper alla tranquillement dans sa chambre, emportant ses affaires avec lui. Il écouta la conversation, l’oreille collée au mur. Et entendit que sa mère devint d’accord avec son père. Alors, il prit son armure l’enfila, prit son arme et sortit par la fenêtre de sa chambre. Il voulait montrer à ses parents qu’il était fait pour chasser. Il partit alors pour la forêt, en quête de défenses de bullfango. Il se promit qu’il allait rentrer avant la nuit pour ne pas faire paniquer ses parents.
En marchant dans la forêt, il aperçu un jeune qui chassait avec son père, le garçon ne chassait pas il était à l’arrière et son père tuait des mosswines. C’était comme si son père lui apprenait à chasser. Il regretta alors de ne pas pouvoir être à la place de ce garçon. Enfin, il arriva devant une clairière, une mare se trouvait en son milieu et deux bullfangos s’abreuvaient. Il sortit alors son arme de son fourreau et s’avança près d’eux. Il savait qu’il ne devait pas attaquer le premier, donc il sortit une flûte de sa ceinture et souffla. Les deux bullfangos se retournèrent et regardèrent le chasseur. Ils grattaient le sol, prêts à charger. Alors un premier bullfangos fonça sur lui, il l’évita d’une roulade mais eut un peu de mal à se relever car son arme et son armure étaient quand même assez lourdes. Le deuxième animal fonça à son tour sur lui mais Riper ne l’avait pas vu venir, il fut éjecté par une force incroyable et atterrit contre un arbre, à moitié sonné. Mais il récupéra très vite et se releva. Il n’avait presque rien sentit car son armure l’avait protégé. C’était une armure assez grosse qui protége assez bien le chasseur. Elle était faite d’un métal aussi solide qu’une corne de wyvern du désert. C’était l’armure haut-métal, avait dit le vendeur. Il avança alors vers les bullfangos qui commençaient à se tourner vers lui pour l’attaquer à nouveau. Il donna un premier coup sur le premier d’entre eux. L’arme était aussi puissante qu’imposante et le bullfango fut éjecté par la force de son possesseur. Alors Riper reprit son marteau à deux mains et le mit en arrière, comme pour charger un coup. Il tourna autour du dernier bullfango et appuya sur le bouton qui se trouvait sur le manche. Alors, en une fraction de seconde, des pointes pouvant embrocher n’importe qu’elle armure sortirent tout autour du marteau. Riper donna alors un grand coup dans le flanc de la bête. Les piques transpercèrent la peau de l’animal avant que la masse ne broie les os de la pauvre créature qui mourut instantanément tellement l’impact était important. Le chasseur posa alors son arme par terre et prit son couteau à dépecer. Il coupa les défenses des deux bêtes étalées par terre. Mais, un bruit se fit entendre, un bruit presque silencieux, un bruit fluide accompagné de légers grognements. Puis, soudain, un cri étrange parvint jusqu’aux oreilles de Riper, qui regardait la chose qui émettait ces bruits bizarres mais ne la voyait pas car le soleil l’éblouissait.
Alors un monstre de la taille de deux hommes se posa devant lui, il poussait un cri strident si fort que le chasseur dû mettre ses mains sur ses oreilles pour diminuer la force du cri qui lui détruisait ses tympans. Dans la seconde qui suivit, l’horrible bête fonça sur l’homme qui gicla à plusieurs mètres. L’armure avait été un peu pliée tellement le choc fut puissant. Alors, se relevant, Riper vit enfin la créature, d’après ce qu’il avait lu dans les magazines d’information sur les wyverns peuplants ce monde, il était face à un yian kut-ku mais une chose étrange apparaissait sur ce soit disant yian kut-ku, la couleur de sa carapace était bleu et non pas rouge orange comme dans les livres, et il paraissait plus grand qu’un yian kut-ku normal. Mais, cela ne lui posait aucun problème, ce n’était qu’un monstre, comme les autres. Alors il vit que sa carapace et son bec avait été gravement endommagé et comprit que ce monstre avait déjà vécu pas mal de combats et avait sûrement anéanti ses victimes. Soudain, un frisson lui glaça le dos, une peur inconnue jusqu’alors s’empara de son corps, le tétanisant. Il resta là, sans bouger, face au monstre qui s’apprêter à lui foncer dessus. La bête s’avança alors vers lui. Riper trembler et, soudain, se demanda pourquoi était il là. Il se rappela qu’il était là pour devenir chasseur, pour montrer à son père qu’il allait devenir ce qu’il voulait être, il était là pour chasser, et non pas pour être chasser. Alors, la volonté qu’il avait de devenir chasseur réchauffa son dos, il n’avait plus peur. Immédiatement, il chercha son arme. Il la vit enfin, derrière la créature. Alors il la regarda, il la regarda profondément, avec une volonté si tenace que la créature s’arrêta un instant, puis continua son chemin ; Et … soudain …. Il courut, il fonça vers la bête qui stoppa son avancée, surprise. Il avança jusqu’à arriver entre ses pattes et là, il sauta, jusqu’à atteindre son arme qu’il prit de sa main droite. Il se releva, se tourna vers le monstre, attrapa son arme avec la main gauche et … animé par la volonté de vaincre, il fonça sur son agresseur qui allait devenir sa victime. Il cria et appuya sur le bouton pour actionner les piques. Alors, il projeta son arme vers l’animal d’une force sans égale, il la lança dans le seul but de vaincre, il la lança et … rata. Le yian kut-ku était trop rapide, il avait esquivé le coup. Alors, sans réfléchir, Riper reprit son arme à deux mains et se tourna, tout en sautant vers sa cible et … d’un coup ravageur et mortel, il toucha le bec du monstre qui se brisa tel la force à laquelle l’arme avait été chargé était puissante. La créature fut poussée vers l’arrière et s’effondra, morte. Le chasseur s’étala par terre, lui aussi mort mais de fatigue. Il resta là, inconscient pendant assez longtemps. Quand il reprit connaissance, il faisait nuit et à côté de lui gisait le corps sans vie de la bête. Il se releva, et s’approcha du corps inerte. Il prit son couteau et préleva quelques écailles du monstre ainsi que son bec, d’une taille gigantesque. Puis, il chercha un endroit où s’abriter en attentant l’arrivée du soleil. Il trouva un arbre creux, il s’effondra dedans, puis, attacha son marteau devant l’entrée, les piques sorties pour éviter de faire de nouveaux une mauvaise rencontre. Il garda son armure car dans ce monde, tout peut arriver, et il s’endormit.
Le lendemain, la lumière du soleil le réveilla, il se leva et sortit de sa cachette. Il commença alors à rentrer chez lui, portant les lourds composants du yian kut-ku bleu, ainsi l’avait-il baptisé. En rentrant, il passa devant la carcasse de la créature et vit que des vélocipreys, attirés pas l’odeur qu’elle dégageait, se rapprochaient d’elle. Riper, se dépêcha donc pour ne pas engendrer une nouvelle bataille pour la vie avec d’autres créatures. Heureusement, les vélocipreys étaient trop occupés à dévorer la dépouille du yian kut-ku. Riper arriva enfin à Kokoto, le village semblait mouvementé, il comprit pourquoi quand il rencontra un villageois qui courut aller chercher les autres habitants. Tout le monde croyait qu’il avait été tué après avoir fugué de chez lui. L’espoir renaquit dans chacune des personnes, y comprit son père qui fut le premier à le prendre dans ses bras. Et, voyant ce que son fils avait ramené, il lui demanda de l’excuser et lui dit qu’il avait eu tort de l’empêcher de vivre son rêve. Riper lui pardonna et devint un des plus grand chasseurs du village jusqu’au jour où un évènement particulier arriva dans le village …
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Re: Une vie de chasseur
CHAPITRE IV : Sylver est né
C’était par un temps nuageux, dans les montagnes enneigées de Furahiya, une tempête de neige s’était levée. Un chasseur marchait dans la neige, seul, à la recherche d’une quelconque caverne ou abri pouvant le protéger de ce froid extrême. Il portait une armure épaisse, d’une couleur azure, il y avait des sortes d’ailes sur ses épaules. Des piques sortaient de son casque qui se prolongeait vers l’arrière. Cela faisait un moment qu’il marchait comme ça. Soudain, il aperçut quelque chose, une forme sombre dans la neige, il s’approcha d’elle, prudemment et ….
Il découvrit que cette forme n’était pas celle d’un monstre, ou d’un rocher, mais c’était celle d’un homme, un chasseur plus précisément car il y avait une arme à côté de lui, une arme fine et longue. L’extrémité des deux bouts de l’arme était reliée par une corde aussi fine qu’une toile d’araignée et aussi solide que du métal. Le chasseur prit l’arme et s’approcha de l’homme inconscient. Puis, chercha une grotte, il en trouva une qui ne se trouvait qu’à quelques pas d’ici. Alors il emmena l’homme dans la grotte. Ils restèrent là, à attendre que la tempête se finisse. Au bout de plusieurs heures, la tempête n’était pas terminée mais l’homme se réveilla. Le chasseur s’avança vers lui et lui dit qu’il n’avait rien à craindre de lui et qu’il l’avait sauvé de la tempête. L’homme, fatigué, le remercia d’une voix faible. Le chasseur lui demanda comment il s’appelait et d’où venait-il. Il lui répondit qu’il ne savait pas d’où il venait, il ne se souvenait plus que de son nom : Sylver.
L’homme lui raconta qu’il l’avait trouvé dans la neige, inconscient et lui montra son arc. Sylver le prit et remercia encore une fois son sauveur qui lui répondit qu’ils n’étaient pas encore sauvés, il fallait encore que la tempête se calme et qu’ils ne fassent pas de mauvaises rencontres pendant le retour au village de Pokke.
Quand la tempête fut finie, les deux hommes sortirent de leur cachette et commencèrent leur retour à Pokke. Plusieurs heures sont passées, et nos deux hommes continuent à marcher, inexorablement. Soudain, le sol commença à trembler et, sans comprendre ce qu’il leur arrivait, les deux chasseurs furent éjectés par une force qui venait de sous terre. Heureusement, leur atterrissage fut ralenti par la neige. Alors, devant eux, un monstre aussi grand que 2 fois leur taille leur faisait face. Il avait des crocs de la taille d’une épée, des griffes aiguisées telle une lance, des bras si musclés qu’il pourrait tuer un chasseur d’un seul revers et … au niveau de sa patte gauche, une marque rouge apparaissait très distinctement, il avait été blessé par quelque chose de tranchant, de pointu. Le monstre cria et Sylver dû se protéger les oreilles pour ne pas devenir sourd mais le bruit ne semblait pas affecter son camarade qui restait là, sans bouger, debout, face à la bête. Puis, la créature fonça droit sur eux. Doucement, l’homme sorti son arme, c’était une sorte de lance mais différente de celles que connaissait Sylver, elle avait au bout un canon et dessus était accroché une lame, une lame souillée par le sang de ses dernières batailles. L’homme sorti aussi un bouclier en métal aussi grand que lui et le mit en avant, prêt à se protéger. Soudain, un cri retentit dans le sombre désert de neige. Un cri qui résonna dans les oreilles de Sylver. Un cri qui se rapprochait.
Et, tombant du ciel, un monstre deux fois plus grand que le précédent fit son entrée. Ce monstre avait la couleur du désert et semblait avoir subit beaucoup de combats quand au nombre de ses blessures. Il avait une mâchoire puissante, des crocs acérés, des griffes faites pour tuer. Alors, le monstre blessé creusa un tunnel sous la neige si rapidement que le géant ne pu le rattraper et commença à creuser lui aussi pour essayer de retrouver sa proie, en vain. L’homme dit alors à Sylver de rester à l’arrière. Il lui obéit et se réfugia derrière un rocher, dégainant quand même son arc. Alors, d’un pas décidé et sûr de lui, l’homme s’avança vers le monstre qui se tourna vers sa nouvelle proie, prêt à bondir. La créature se baissa et, aussi vif que l’éclair, fonça sur le chasseur. Ses puissantes pattes avant qui lui permettaient d’avancer aussi rapidement écrasaient sauvagement la neige qui lui servait d’appui et, soudain, il sauta sur sa victime qui esquiva son attaque en sautant sur le côté. Le chasseur se tourna vers le monstre et lui trancha l’aile gauche d’un coup rapide et précis. La bête poussa un cri de douleur et sauta en arrière. Ses yeux étaient devenus rouges, ils étaient remplis de sang. On voyait à présent toutes ses veines présentent sous sa carapace. On arrivait à distinguer le parcours de son sang qui le rendait plus féroce, plus fort. Tout à coup, il fonça sur l’homme qui planta son bouclier par terre pour l’aider à se protéger mais cela ne suffit pas, le chasseur fut éjectée à plusieurs mètres tellement le monstre était puissant. Quand il se releva, il vit le monstre qui s’était arrêté devant lui et qu’il se rapprochait petit à petit vers sa cible principale. Alors, Sylver prit son arc ainsi qu’une flèche qu’il posa sur son arc. Il banda l’arme d’une telle force que la flèche qui partit en direction du monstre lui transperça sa carapace d’une facilité incroyable. Le monstre fit alors un tour sur lui-même et alla écraser le pauvre chasseur. Tout deux roulèrent dans la neige et la pente devenait de plus en plus rude. Sylver courut le plus vite possible pour aller voir ce qu’il se passait mais il était trop tard.
Ils avaient disparus dans la brume qui commençait à arriver. Au loin, on entendait le cri du wyvern qui résonna dans le cœur de Sylver. Il venait de perdre son seul ami, son sauveur. Alors, la larme à l’œil, il rentra dans la direction où ils allaient avant cette affreuse bataille. Au bout de plusieurs heures de marche, il arriva enfin au village de Pokke et alla raconter toute son histoire au chef du village qui lui offrit une maison en guise de bienvenue car il y avait peu de chasseurs à Pokke. Un dénommé tigrex en avait décimé une grande partie. Quand Sylver su ça, il jura de venger son ami, quand le moment sera venu.
C’était par un temps nuageux, dans les montagnes enneigées de Furahiya, une tempête de neige s’était levée. Un chasseur marchait dans la neige, seul, à la recherche d’une quelconque caverne ou abri pouvant le protéger de ce froid extrême. Il portait une armure épaisse, d’une couleur azure, il y avait des sortes d’ailes sur ses épaules. Des piques sortaient de son casque qui se prolongeait vers l’arrière. Cela faisait un moment qu’il marchait comme ça. Soudain, il aperçut quelque chose, une forme sombre dans la neige, il s’approcha d’elle, prudemment et ….
Il découvrit que cette forme n’était pas celle d’un monstre, ou d’un rocher, mais c’était celle d’un homme, un chasseur plus précisément car il y avait une arme à côté de lui, une arme fine et longue. L’extrémité des deux bouts de l’arme était reliée par une corde aussi fine qu’une toile d’araignée et aussi solide que du métal. Le chasseur prit l’arme et s’approcha de l’homme inconscient. Puis, chercha une grotte, il en trouva une qui ne se trouvait qu’à quelques pas d’ici. Alors il emmena l’homme dans la grotte. Ils restèrent là, à attendre que la tempête se finisse. Au bout de plusieurs heures, la tempête n’était pas terminée mais l’homme se réveilla. Le chasseur s’avança vers lui et lui dit qu’il n’avait rien à craindre de lui et qu’il l’avait sauvé de la tempête. L’homme, fatigué, le remercia d’une voix faible. Le chasseur lui demanda comment il s’appelait et d’où venait-il. Il lui répondit qu’il ne savait pas d’où il venait, il ne se souvenait plus que de son nom : Sylver.
L’homme lui raconta qu’il l’avait trouvé dans la neige, inconscient et lui montra son arc. Sylver le prit et remercia encore une fois son sauveur qui lui répondit qu’ils n’étaient pas encore sauvés, il fallait encore que la tempête se calme et qu’ils ne fassent pas de mauvaises rencontres pendant le retour au village de Pokke.
Quand la tempête fut finie, les deux hommes sortirent de leur cachette et commencèrent leur retour à Pokke. Plusieurs heures sont passées, et nos deux hommes continuent à marcher, inexorablement. Soudain, le sol commença à trembler et, sans comprendre ce qu’il leur arrivait, les deux chasseurs furent éjectés par une force qui venait de sous terre. Heureusement, leur atterrissage fut ralenti par la neige. Alors, devant eux, un monstre aussi grand que 2 fois leur taille leur faisait face. Il avait des crocs de la taille d’une épée, des griffes aiguisées telle une lance, des bras si musclés qu’il pourrait tuer un chasseur d’un seul revers et … au niveau de sa patte gauche, une marque rouge apparaissait très distinctement, il avait été blessé par quelque chose de tranchant, de pointu. Le monstre cria et Sylver dû se protéger les oreilles pour ne pas devenir sourd mais le bruit ne semblait pas affecter son camarade qui restait là, sans bouger, debout, face à la bête. Puis, la créature fonça droit sur eux. Doucement, l’homme sorti son arme, c’était une sorte de lance mais différente de celles que connaissait Sylver, elle avait au bout un canon et dessus était accroché une lame, une lame souillée par le sang de ses dernières batailles. L’homme sorti aussi un bouclier en métal aussi grand que lui et le mit en avant, prêt à se protéger. Soudain, un cri retentit dans le sombre désert de neige. Un cri qui résonna dans les oreilles de Sylver. Un cri qui se rapprochait.
Et, tombant du ciel, un monstre deux fois plus grand que le précédent fit son entrée. Ce monstre avait la couleur du désert et semblait avoir subit beaucoup de combats quand au nombre de ses blessures. Il avait une mâchoire puissante, des crocs acérés, des griffes faites pour tuer. Alors, le monstre blessé creusa un tunnel sous la neige si rapidement que le géant ne pu le rattraper et commença à creuser lui aussi pour essayer de retrouver sa proie, en vain. L’homme dit alors à Sylver de rester à l’arrière. Il lui obéit et se réfugia derrière un rocher, dégainant quand même son arc. Alors, d’un pas décidé et sûr de lui, l’homme s’avança vers le monstre qui se tourna vers sa nouvelle proie, prêt à bondir. La créature se baissa et, aussi vif que l’éclair, fonça sur le chasseur. Ses puissantes pattes avant qui lui permettaient d’avancer aussi rapidement écrasaient sauvagement la neige qui lui servait d’appui et, soudain, il sauta sur sa victime qui esquiva son attaque en sautant sur le côté. Le chasseur se tourna vers le monstre et lui trancha l’aile gauche d’un coup rapide et précis. La bête poussa un cri de douleur et sauta en arrière. Ses yeux étaient devenus rouges, ils étaient remplis de sang. On voyait à présent toutes ses veines présentent sous sa carapace. On arrivait à distinguer le parcours de son sang qui le rendait plus féroce, plus fort. Tout à coup, il fonça sur l’homme qui planta son bouclier par terre pour l’aider à se protéger mais cela ne suffit pas, le chasseur fut éjectée à plusieurs mètres tellement le monstre était puissant. Quand il se releva, il vit le monstre qui s’était arrêté devant lui et qu’il se rapprochait petit à petit vers sa cible principale. Alors, Sylver prit son arc ainsi qu’une flèche qu’il posa sur son arc. Il banda l’arme d’une telle force que la flèche qui partit en direction du monstre lui transperça sa carapace d’une facilité incroyable. Le monstre fit alors un tour sur lui-même et alla écraser le pauvre chasseur. Tout deux roulèrent dans la neige et la pente devenait de plus en plus rude. Sylver courut le plus vite possible pour aller voir ce qu’il se passait mais il était trop tard.
Ils avaient disparus dans la brume qui commençait à arriver. Au loin, on entendait le cri du wyvern qui résonna dans le cœur de Sylver. Il venait de perdre son seul ami, son sauveur. Alors, la larme à l’œil, il rentra dans la direction où ils allaient avant cette affreuse bataille. Au bout de plusieurs heures de marche, il arriva enfin au village de Pokke et alla raconter toute son histoire au chef du village qui lui offrit une maison en guise de bienvenue car il y avait peu de chasseurs à Pokke. Un dénommé tigrex en avait décimé une grande partie. Quand Sylver su ça, il jura de venger son ami, quand le moment sera venu.
Ceanataur- Nombre de messages : 73
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Re: Une vie de chasseur
j'ais lu ton histoir elle est pas mal mais franchement fais plus de paragraphe parceque la ser un gros gros bloc qu'on a méme po envie de lire sinon bien fait ton histoir aller bonne chance pour la suite (si il y en a une )
pein- Nombre de messages : 96
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Re: Une vie de chasseur
Je suis d'accord ton histoire est super, bien ecrite et tout mais fait plus de paragraphe et ne poste pas 4 chapitres a la fois
mais continue c'est
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Thoms- Nombre de messages : 1551
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Re: Une vie de chasseur
Pour te répondre, j'ai posté ces 4 chapitres pour présenter les chasseurs
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Re: Une vie de chasseur
CHAPITRE I. 1 : Une révélation imposante
C’était un matin, il faisait froid, Kyoshiro venait de devenir chasseur. Quelqu’un frappa à sa porte, c’était le chef du village. Il lui demanda s’il pouvait s’occuper d ‘un monstre car tous les autres chasseurs étaient déjà partis en quête, un certain Bulldrome qui s’attaquait aux convois de marchandises et qui rendait donc le village isolé des villes. Le jeune chasseur accepta et sans plus attendre, s’équipa pour sa nouvelle mission. Il s’installa dans sa cuisine et demanda au chat de lui préparer un repas. Il choisit de prendre du potiron ainsi que des restes de viandes pour ne pas manquer de force pendant le dur combat qui l’attendait. Ainsi, il partit, le ventre plein, pour sa première quête contre le géant des montagnes.
Arrivé dans les montagnes enneigées, il chercha un endroit pour tenter de repérer l’animal. Il grimpa alors avec peine une falaise. Arrivé au sommet, il s’effondra de fatigue. Il se releva au bout de quelques minutes pour continuer sa quête de chasse. De là haut il pouvait voir toute la vallée qui s’étendait à ses pieds. Il arrivait à distinguer des formes sombres qui semblaient se déplacer. Il prit donc ses jumelles pour mieux observer la scène et vit un troupeau d’antekas, de dociles herbivores portant une magnifique ramure dorée par le soleil. C’était la période des amours, deux mâles se battaient pour conquérir le cœur d’une femelle. Soudain, notre chasseur entendit un cri, un cri qui se rapprochait, ce n’était pas un cri de monstre, c’était plutôt un appel de chasseur. Se concentrant, Kyoshiro tentait de savoir d’où venait le cri, il se retourna et …
Face à lui se trouvait une paire de défenses si grandes qu’elles pouvaient détruire quiconque s’opposait à elles, un groin imposant, une longue crinière argentée digne des plus grands monstres, des pattes massives pour supporter un corps trapu et imposant, pour que la charge soit plus forte, violente, ou tout simplement rapide. Le jeune chasseur restait là, sans bouger, comme s’il attendait quelque chose, soudain, il comprit qu’il était devenu sa proie, que les rôles avaient été inversés. Alors il se leva et, sans trop réfléchir, se jeta de la falaise où il se trouvait. Et d’un coup de maître, il s’accrocha au rebord du précipice pour se balancer et atterrir sur une plate-forme creusée dans la montagne. Ici, il se prépara pour son combat.
Il sortit alors de la grotte et grimpa sur le lierre qui se trouvait près de la caverne, arrivé en haut de la falaise, il pu mieux observer son agresseur, il le contempla en cherchant la moindre faille à sa puissance, enfin, il la trouva. Il se jeta alors sur le monstre, armé de son épée et protégé par son armure. L’animal l’avait vu et se retourna violemment pour envoyer le combattant à terre. Il ne lui laissa pas une seconde de répit et fonça en sa direction. Kyoshiro eut juste le temps d’effectuer une roulade pour esquiver la charge dévastatrice du bulldrome. En un rien de temps, il se releva et se tourna vers son attaquant, qui chargea de nouveau, alors le chasseur se protégea grâce à son bouclier sans réfléchir. Il avait arrêté la charge de la créature qui l’avait juste repoussé de quelques mètres, c’était sûrement dû à son armure giaprey qui lui offrait une bonne garde. Le chasseur avait quand même était secoué et commencé à voir flou. L’animal chargea de plus belle, comprenant que le chasseur s’affaiblissait. Arrivé à quelques mètres de sa cible, un appel se fit retentir et un bruit de corde mit fin à ce cri. Une flèche aussi tranchante que pointue se dirigea alors sur la pauvre bête, prête à toucher sa cible. Soudain, instinctivement, le monstre esquiva la flèche qui vint trancher son oreille gauche. La créature ne s’arrêta pas pour autant et continua son chemin. Heureusement, le jeune chasseur put encore arrêter sa charge car la bête avait ralenti quelques instants, pour se tourner vers sa nouvelle proie …
C’était aussi un jeune chasseur mais il paraissait légèrement plus vieux que Kyoshiro, il portait un arc majestueux orné de pointes et de poulies destinées à rendre l’arme plus contrôlable et simple à utiliser pour tuer plus rapidement sa cible. On n’arrivait pas à distinguer son armure tellement elle reflétait la lumière du soleil mais on pouvait apercevoir une petite jumelle sur la visière de son casque pour améliorer la précision de l’arc et une protection sur tout le bras gauche pour protéger cette partie du corps qui lui sert à tirer. Privé de temps, le chasseur ne put éviter l’attaque et tira une flèche en dernier recours. La flèche toucha le sabot du monstre mais ne l’arrêta en aucun cas. Le choc fut tel que le chasseur fut éjecté en arrière d’une force incroyable et atterrit quelques mètres plus loin, la bête s’approcha alors du chasseur, le prit dans ses défenses, le souleva et l’envoya voler par-dessus une colline. Kyoshiro, la haine en main et la rage de vaincre fonça sur la créature. C’était peut être déjà trop tard mais il se devait de tout tenter. Arrivé près du monstre il sauta et planta son épée dans sa croupe. Le bulldrome grogna de douleur et donna un violent coup au combattant qui s’étala par terre pour se relever aussi rapidement qu’il était tombé. Un liquide rouge sortait de sa bouche et allait accompagner le sang versé par la bête qui tremblait de douleur.
Enfin, elle s’enfuit et partit aussi rapidement que si elle chargeait, laissant une trace rouge sur la neige blanche. Alors le jeune chasseur courut pour voir ce qu’il restait du valeureux inconnu. Arrivé à l’endroit où il l’avait vu tombé, une sueur glacée le refroidit encore plus que la neige elle-même, il resta là, sans faire le moindre geste, face à un ravin caché par les brumes. Il jura de venger son camarade et revint sur les lieux du crime mais remarqua que quelque chose avait changé, il n’y avait plus de trace, tout était blanc, la neige avait recouvert toute l’aide dont il disposait pour retrouver le monstre. Mais heureusement, grâce à son équipement équipé d’un tout nouveau moyen de pistage, il pouvait suivre la trace du monstre. Grâce à son casque, il pouvait entendre le moindre cri, grâce à ses gants, il pouvait mieux repérer les empreintes dans la neige, grâce à son armure, il pouvait chasser ce monstre. Il se lança alors à sa poursuite, cherchant le moindre grognement, le moindre indice pouvant l’aider dans sa traque. Enfin, il aperçut des traces de pas accompagnées d’une traînée de sang près d’une grotte. Il se rapprocha de sa découverte et vit la bête, elle était là, allongée par terre, à demi morte. Il dégaina son épée et sortit son bouclier puis se rapprocha de sa victime. Soudain, d’un coup de défense bien calculé, le monstre repoussa Kyoshiro qui recula de quelques pas, légèrement touché. Le bulldrome se releva alors et se tourna vers son meurtrier, l’œil gauche rouge de sang. Une goutte de sueur coulait sur la joue du traqueur. Une tension incomparable se faisait sentir dans la grotte, une peur incroyable immobilisait le chasseur tandis qu’un immense effroi empêchait le monstre de bouger. Alors, le jeune chasseur fonça sur la bête, accompagné d’un cri qui lui sortait du cœur et qui pétrifia de peur la créature. Il prit son épée à deux mains, leva le coup et trancha la gorge du monstre qui s’effondra par terre, tué sur le coup. Kyoshiro posa alors son épée et commença à dépecer le cadavre. Il ne prit que les défenses et l’œil rouge de la créature puis s’en alla.
Rentré à son village, il alla voir le chef qui ne doutait pas de sa victoire face au bulldrome et qui le félicita. Le valeureux vainqueur rentra alors chez lui où il s’effondra sur son lit. Puis, il sortit une feuille de papier de sa poche et la lit, c’était une carte de guilde venant d’un grand chasseur car elle était dorée. Il ne lut que la première page où il y avait marqué en haut : « Héros ultime de Pokke », ainsi, son sauveur était un héros, il continua de lire et identifia au milieu de la page un nom, un nom qu’il allait garder en mémoire encore longtemps, Sylver
Ceanataur- Nombre de messages : 73
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Re: Une vie de chasseur
c'est pas mal, mais pas bien présenté
(mets en gras et aéres beaucoup plus )
comm d'hab j'attends de vois la suite pour emetre un avis plus précis quant a l'histoire elle meme.
(mets en gras et aéres beaucoup plus )
comm d'hab j'attends de vois la suite pour emetre un avis plus précis quant a l'histoire elle meme.
Eres- Nombre de messages : 2383
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Date d'inscription : 18/11/2008
Re: Une vie de chasseur
Peut-être changée d'écriture entre les paragraphes, car la, ça donne aps envie de lire, mais ta fic commence bien...
Par contre évite de poster sur tout les topics d'allez voir ta fic, sinon à force ça fera l'effet inverse
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fumseck- Nombre de messages : 1045
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Date d'inscription : 25/05/2008
Re: Une vie de chasseur
Bon, comme toute fic qui se respecte, je ne peux pas la laisser tomber, c'est pourquoi aujourd'hui (d'ailleurs pourquoi aujourd'hui ? Si je le savais ...) je remets en ligne ma fiction. Sauf que depuis le temps, ben y'a pas mal de chapitres qui ont été inventés (19 fois beaucoup de pages, ça fait très beaucoup), ainsi je vous laisse relire les fics déjà postées et en poste une nouvelle pour ceux qui auraient déjà lus celles déjà postées.
Je vous demanderais donc sans grand acharnement de bien vouloir lire mes fics, trouver le moindre défaut et tout me balancer dans ma g***** (je déconne hein).
En espérant que ça vous plaise
PS : Si vous trouvez gnan-gnan le début, c'est normal, moi aussi. La fic s'améliore nettement plus pour la suite, ça je vous le promet
Je vous demanderais donc sans grand acharnement de bien vouloir lire mes fics, trouver le moindre défaut et tout me balancer dans ma g***** (je déconne hein).
En espérant que ça vous plaise
PS : Si vous trouvez gnan-gnan le début, c'est normal, moi aussi. La fic s'améliore nettement plus pour la suite, ça je vous le promet
Dernière édition par Ceanataur le Dim 10 Oct 2010 - 13:37, édité 1 fois
Ceanataur- Nombre de messages : 73
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Re: Une vie de chasseur
CHAPITRE II.1 : La volonté représente tout
Ainsi, il était fait pour se battre, il avait réussi son premier défi et allait en continuer d’autres. Ce n’était que le début.
Le lendemain matin, il fut réveillé par des cris, ce n’était pas des cris de monstres, mais plutôt des plaintes, des pleurs d’une personne humaine, féminine. Il se leva, s’habilla, et alla voir. C’était une femme qui pleurait et demandait de l’aide. Il arriva devant elle et lui demanda ce qu’il se passait. Elle lui dit que c’était son mari et son fils, ils étaient partis chasser l’anteka dans les montagnes enneigées il y a une semaine et ils ne sont toujours pas revenus. Comprenant sa souffrance de perdre ses proches, il lui dit qu’il fera tout pour retrouver sa famille. La femme le remercia amplement et lui montra sur une carte où ils étaient partis chasser. David prit la carte et rentra chez lui, il s’équipa pour cette nouvelle mission et partit donc pour les montagnes enneigées. Mais il revint au village au bout de quelques secondes, il avait trop faim. Il demanda alors à la malheureuse si elle n’avait pas quelque chose à manger. Elle lui répondit que non mais lui donna une broche portable pour qu’il puisse cuire de la viande. Le chasseur la remercia et repartit donc pour les montagnes enneigées.
Arrivé à destination, il regarda sa carte, se tourna, regarda à nouveau sa carte, puis contempla le paysage. La seule chose visible qu’il aperçut fut une petite créature de la taille d’un mosswine. Il se rapprocha d’elle pour remarquer que ce n’était pas un mosswine. Son sourire commença alors à devenir une grimace quand il comprit que ce monstre n’était pas docile et qu’il commençait à grogner. Alors le monstre hurla comme pour appeler sa meute. D’instinct, le chasseur lui planta l’épée dans la tête et regarda le corps inanimé du monstre. C’était un monstre de la famille des primatius, blanc comme la neige, avec deux canines légèrement plus grosses au niveau de la mâchoire supérieure, sûrement un blango. Il le dépeça et prit sa chair pour la faire cuire. Malheureusement, le vent l’empêchait de pouvoir allumer sa broche avec les cailloux qu’il trouvait par terre. Il se dirigea alors vers une petite grotte pour être à l’abri du vent et de toute attaque de monstre pendant qu’il faisait cuire sa viande. Arrivé à l’intérieur, il remarqua que la grotte n’était pas aussi petite que ça, elle était même immense. Il commença donc à faire cuire sa viande, puis, à la vue du changement de couleur de la viande, il la retira de sa broche. Il avait réussi à préparer une bonne viande cuite à point. La délicieuse odeur qu’elle dégageait commençait à le faire saliver. Il mangea avec appétit et reprit rapidement des forces pour continuer sa recherche. Sans trop savoir pourquoi, il s’enfonça dans la grotte.
Il arriva près d’un gouffre et contempla ce merveilleux paysage. Des cristaux de neiges tombaient d’une fissure au dessus de lui, la lumière du soleil illuminait les stalagmites composées de glaces, de légers bruits de chocs entre épées laissait penser que c’était des stalactites qui tombait pour s’écraser plus bas. C’était magnifique. Soudain, un cri interrompit ce moment de bonheur. Un cri à vous glacer le sang. Il semblait provenir du fond de la caverne. David continua alors son chemin, mais dans la direction du cri, pour savoir d’où est-ce qu’il provenait. Il arriva devant un nid rempli d’œufs situé sur un tronc d’arbre. Il se rapprocha et contempla sa découverte. Il entendit ensuite un gémissement. Il se dirigea vers ce bruit et trouva un homme grièvement blessé. Il essaya de savoir comment ce pauvre chasseur avait pu se retrouver dans cette situation. L’homme lui dit seulement un mot, un mot qui pétrifia David de peur. Il lui dit de fuir et succomba à ses blessures en laissant tomber un médaillon par terre que le chasseur ramassa. A l’intérieur se trouvait une photo de femme, et il reconnu celle qui lui avait demandé de l’aide. Alors, choqué par cette découverte, notre jeune chasseur continua sa recherche, maintenant il ne lui restait plus qu’une seule personne à retrouver. Au bout de plusieurs heures de marches, il sentait qu’il se rapprochait de son but, quand, soudain, il eu l’impression d’être suivi. Il s’arrêta net puis se retourna, il n’y avait personne. Il continua donc son chemin mais sentait toujours une présence derrière lui. Il avait peur et commençait à trembler quand soudain, dans un moment angoissant et terrifiant, il entendit un bruit. C’était un rocher qui venait de tomber par terre. Le chasseur se retourna alors et découvrit une créature ignoble face à lui. Ce monstre n’était pas doté d’yeux mais sûrement d’un odorat très développé, il possédait deux ailes ainsi qu’une queue qui lui servait à s’accrocher au plafond de la grotte. Son coup était assez extensible pour qu’il puisse attaquer tout en restant accroché et protégé de toutes attaques. De la bave coulait de sa gueule et sa langue essuyait ses dents aiguisées comme des couteaux tâchés de sang.
Alors le chasseur donna un coup de poing dans la gueule de la bête et sortit immédiatement son épée. D’une force sans pareil, il planta son épée dans la gueule béante de la créature qui tomba, déstabilisée. Le chasseur se lança alors sur le monstre sans lui laisser un moment de répit, mais celui-ci ne lui en laissa pas un non plus et projetant sa gueule vers sa proie, il attrapa le pauvre chasseur pour le secouer dans tous les sens. Perdant connaissance, David laissa tomber son épée qui tomba dans un gouffre. A ce moment là, la bête commença à l’avaler. Alors, dans un dernier espoir, le chasseur planta son couteau dans la gorge de la créature et lui ouvrit son cou. Malheureusement, il se blessa lui aussi dans cette tentative et se tailla la jambe. Soudain, la tête qui pendait faiblement, le monstre cria et perçât les tympans du chasseur qui perdit connaissance sous le choc.
Quelques heures plus tard, David se réveilla avec un terrible mal de tête, trempant dans son sang et celui de la créature. Il se releva non sans mal et regarda autour de lui, il n’y a avait plus rien, la bête avait du partir. Alors il continua sa quête et s’engouffra dans un tunnel. Il tombait parfois, à bout de force, mais se relevait toujours, d’une volonté dure comme l’acier. Il titubait quand il avançait et avait l’œil droit à moitié fermé. Il arriva enfin au bout du tunnel et découvrit une immense étendue sombre, la lumière avait du mal à éclairer ce terrain.
David s’avança alors et revit le monstre qui l’avait attaqué. Cette fois-ci, la créature s’attaquait à autre chose. Le chasseur n’arrivait pas à voir ce que c’était tellement l’épuisement l’emportait mais d’instinct, il se rapprocha de la bête qui s’arrêta nette, reniflant l’air, elle avait sentit sa présence. Elle se tourna donc et s’avança vers lui. Le chasseur n’avait plus le réflexe de sortir une arme et laissa la créature se rapprocher de lui. Soudain, elle s’arrêta, planta sa queue au sol telle une ventouse et leva sa tête. Alors David sursauta, il sentit qu’elle ne faisait pas comme d’habitude. Le monstre baissa donc sa tête et cracha une boule d’électricité qu’il avait puisée dans le sol grâce à sa queue. La boule se rapprochait du chasseur, qui ne bougeait pas, trop fatigué. Au dernier moment, l’homme sauta sur le côté pour éviter cette attaque et s’étala par terre, mort de fatigue. La créature se rapprocha alors de lui, pensant qu’elle l’avait touché. Arrivé tout près de lui, elle tendit son cou pour l’attraper. D’un geste incroyable, il roula sous elle et se releva, son couteau à la main. Alors la bête planta rapidement sa queue au sol, comme pour sa dernière attaque et un bouclier d’électricité enveloppa tout son corps. Heureusement, notre chasseur avait plongé pour éviter cette attaque. Il se releva et attendit que la créature finisse de se protéger. Il commençait à se fatiguer énormément, il trébuchait tout seul de temps en temps, attendant que ce bouclier disparaisse. Soudain, la créature releva sa queue et le bouclier disparut. Alors, la larme à l’œil, criant de douleur, le chasseur fonça sous le monstre et réussit à l’éventrer avant qu’il ne puisse s’échapper. Tous les organes de la créature tombèrent de son ventre et s’aplatirent au sol. Après une dernière inspiration, le chasseur s’écrasa à son tour par terre.
Quand il se réveilla, il était toujours dans la grotte mais il n’était plus seul. Un jeune homme un peu plus jeune que lui était à ses côtés. Le gamin lui expliqua qu’il l’avait sauvé en lui pansant sa plaie et lui donnant une potion antique, un médicament vieux de plusieurs millénaires qui soignait toutes les blessures et empêcher la faim de se faire ressentir pendant longtemps. Le jeune homme lui devait bien ça car sans le chasseur, il risquait de mourir lui aussi sous l’attaque du monstre. Quelques temps après, ils décidèrent de rentrer au village. Arrivés là-bas, le gamin courut vers sa mère, les larmes aux yeux. La femme vint voir le chasseur et le remercia, puis l’invita chez elle. La joie et la peine de cette femme rendaient le chasseur mal à l’aise mais elle lui dit de se détendre et lui offrit un grand sac de pièces d’or en guise de remerciement car elle venait d’une famille très riche. Le chasseur la remercia à son tour et lui dit qu’il n’allait pas la déranger plus longtemps puis partit. Arrivé chez lui, il ressortit sa vieille épée et alla à l’armurerie du village. Il présenta son sac de pièces d’or et demanda à armurier s’il pouvait confectionner une armure digne de lui et améliorer son épée. Quelque temps après, David revint à l’armurerie pour récupérer ses équipements, l’armurier lui donna une nouvelle épée avec des reflets rouges ornée de crocs dorés ainsi qu’une armure typique des grands chasseurs. Retournant chez lui, il fut interpellé par le chef du village qui lui demanda si il était occupé ces temps-ci, et lui proposa une quête contre un carapaceon géant dans les marais, le chasseur lui répondit qu’il s’occuperait de cela plus tard, car il devait récupérer de son combat contre le monstre des cavernes. Ainsi il alla chez lui et s’endormit jusqu’à une prochaine aventure.
Le lendemain matin, il fut réveillé par des cris, ce n’était pas des cris de monstres, mais plutôt des plaintes, des pleurs d’une personne humaine, féminine. Il se leva, s’habilla, et alla voir. C’était une femme qui pleurait et demandait de l’aide. Il arriva devant elle et lui demanda ce qu’il se passait. Elle lui dit que c’était son mari et son fils, ils étaient partis chasser l’anteka dans les montagnes enneigées il y a une semaine et ils ne sont toujours pas revenus. Comprenant sa souffrance de perdre ses proches, il lui dit qu’il fera tout pour retrouver sa famille. La femme le remercia amplement et lui montra sur une carte où ils étaient partis chasser. David prit la carte et rentra chez lui, il s’équipa pour cette nouvelle mission et partit donc pour les montagnes enneigées. Mais il revint au village au bout de quelques secondes, il avait trop faim. Il demanda alors à la malheureuse si elle n’avait pas quelque chose à manger. Elle lui répondit que non mais lui donna une broche portable pour qu’il puisse cuire de la viande. Le chasseur la remercia et repartit donc pour les montagnes enneigées.
Arrivé à destination, il regarda sa carte, se tourna, regarda à nouveau sa carte, puis contempla le paysage. La seule chose visible qu’il aperçut fut une petite créature de la taille d’un mosswine. Il se rapprocha d’elle pour remarquer que ce n’était pas un mosswine. Son sourire commença alors à devenir une grimace quand il comprit que ce monstre n’était pas docile et qu’il commençait à grogner. Alors le monstre hurla comme pour appeler sa meute. D’instinct, le chasseur lui planta l’épée dans la tête et regarda le corps inanimé du monstre. C’était un monstre de la famille des primatius, blanc comme la neige, avec deux canines légèrement plus grosses au niveau de la mâchoire supérieure, sûrement un blango. Il le dépeça et prit sa chair pour la faire cuire. Malheureusement, le vent l’empêchait de pouvoir allumer sa broche avec les cailloux qu’il trouvait par terre. Il se dirigea alors vers une petite grotte pour être à l’abri du vent et de toute attaque de monstre pendant qu’il faisait cuire sa viande. Arrivé à l’intérieur, il remarqua que la grotte n’était pas aussi petite que ça, elle était même immense. Il commença donc à faire cuire sa viande, puis, à la vue du changement de couleur de la viande, il la retira de sa broche. Il avait réussi à préparer une bonne viande cuite à point. La délicieuse odeur qu’elle dégageait commençait à le faire saliver. Il mangea avec appétit et reprit rapidement des forces pour continuer sa recherche. Sans trop savoir pourquoi, il s’enfonça dans la grotte.
Il arriva près d’un gouffre et contempla ce merveilleux paysage. Des cristaux de neiges tombaient d’une fissure au dessus de lui, la lumière du soleil illuminait les stalagmites composées de glaces, de légers bruits de chocs entre épées laissait penser que c’était des stalactites qui tombait pour s’écraser plus bas. C’était magnifique. Soudain, un cri interrompit ce moment de bonheur. Un cri à vous glacer le sang. Il semblait provenir du fond de la caverne. David continua alors son chemin, mais dans la direction du cri, pour savoir d’où est-ce qu’il provenait. Il arriva devant un nid rempli d’œufs situé sur un tronc d’arbre. Il se rapprocha et contempla sa découverte. Il entendit ensuite un gémissement. Il se dirigea vers ce bruit et trouva un homme grièvement blessé. Il essaya de savoir comment ce pauvre chasseur avait pu se retrouver dans cette situation. L’homme lui dit seulement un mot, un mot qui pétrifia David de peur. Il lui dit de fuir et succomba à ses blessures en laissant tomber un médaillon par terre que le chasseur ramassa. A l’intérieur se trouvait une photo de femme, et il reconnu celle qui lui avait demandé de l’aide. Alors, choqué par cette découverte, notre jeune chasseur continua sa recherche, maintenant il ne lui restait plus qu’une seule personne à retrouver. Au bout de plusieurs heures de marches, il sentait qu’il se rapprochait de son but, quand, soudain, il eu l’impression d’être suivi. Il s’arrêta net puis se retourna, il n’y avait personne. Il continua donc son chemin mais sentait toujours une présence derrière lui. Il avait peur et commençait à trembler quand soudain, dans un moment angoissant et terrifiant, il entendit un bruit. C’était un rocher qui venait de tomber par terre. Le chasseur se retourna alors et découvrit une créature ignoble face à lui. Ce monstre n’était pas doté d’yeux mais sûrement d’un odorat très développé, il possédait deux ailes ainsi qu’une queue qui lui servait à s’accrocher au plafond de la grotte. Son coup était assez extensible pour qu’il puisse attaquer tout en restant accroché et protégé de toutes attaques. De la bave coulait de sa gueule et sa langue essuyait ses dents aiguisées comme des couteaux tâchés de sang.
Alors le chasseur donna un coup de poing dans la gueule de la bête et sortit immédiatement son épée. D’une force sans pareil, il planta son épée dans la gueule béante de la créature qui tomba, déstabilisée. Le chasseur se lança alors sur le monstre sans lui laisser un moment de répit, mais celui-ci ne lui en laissa pas un non plus et projetant sa gueule vers sa proie, il attrapa le pauvre chasseur pour le secouer dans tous les sens. Perdant connaissance, David laissa tomber son épée qui tomba dans un gouffre. A ce moment là, la bête commença à l’avaler. Alors, dans un dernier espoir, le chasseur planta son couteau dans la gorge de la créature et lui ouvrit son cou. Malheureusement, il se blessa lui aussi dans cette tentative et se tailla la jambe. Soudain, la tête qui pendait faiblement, le monstre cria et perçât les tympans du chasseur qui perdit connaissance sous le choc.
Quelques heures plus tard, David se réveilla avec un terrible mal de tête, trempant dans son sang et celui de la créature. Il se releva non sans mal et regarda autour de lui, il n’y a avait plus rien, la bête avait du partir. Alors il continua sa quête et s’engouffra dans un tunnel. Il tombait parfois, à bout de force, mais se relevait toujours, d’une volonté dure comme l’acier. Il titubait quand il avançait et avait l’œil droit à moitié fermé. Il arriva enfin au bout du tunnel et découvrit une immense étendue sombre, la lumière avait du mal à éclairer ce terrain.
David s’avança alors et revit le monstre qui l’avait attaqué. Cette fois-ci, la créature s’attaquait à autre chose. Le chasseur n’arrivait pas à voir ce que c’était tellement l’épuisement l’emportait mais d’instinct, il se rapprocha de la bête qui s’arrêta nette, reniflant l’air, elle avait sentit sa présence. Elle se tourna donc et s’avança vers lui. Le chasseur n’avait plus le réflexe de sortir une arme et laissa la créature se rapprocher de lui. Soudain, elle s’arrêta, planta sa queue au sol telle une ventouse et leva sa tête. Alors David sursauta, il sentit qu’elle ne faisait pas comme d’habitude. Le monstre baissa donc sa tête et cracha une boule d’électricité qu’il avait puisée dans le sol grâce à sa queue. La boule se rapprochait du chasseur, qui ne bougeait pas, trop fatigué. Au dernier moment, l’homme sauta sur le côté pour éviter cette attaque et s’étala par terre, mort de fatigue. La créature se rapprocha alors de lui, pensant qu’elle l’avait touché. Arrivé tout près de lui, elle tendit son cou pour l’attraper. D’un geste incroyable, il roula sous elle et se releva, son couteau à la main. Alors la bête planta rapidement sa queue au sol, comme pour sa dernière attaque et un bouclier d’électricité enveloppa tout son corps. Heureusement, notre chasseur avait plongé pour éviter cette attaque. Il se releva et attendit que la créature finisse de se protéger. Il commençait à se fatiguer énormément, il trébuchait tout seul de temps en temps, attendant que ce bouclier disparaisse. Soudain, la créature releva sa queue et le bouclier disparut. Alors, la larme à l’œil, criant de douleur, le chasseur fonça sous le monstre et réussit à l’éventrer avant qu’il ne puisse s’échapper. Tous les organes de la créature tombèrent de son ventre et s’aplatirent au sol. Après une dernière inspiration, le chasseur s’écrasa à son tour par terre.
Quand il se réveilla, il était toujours dans la grotte mais il n’était plus seul. Un jeune homme un peu plus jeune que lui était à ses côtés. Le gamin lui expliqua qu’il l’avait sauvé en lui pansant sa plaie et lui donnant une potion antique, un médicament vieux de plusieurs millénaires qui soignait toutes les blessures et empêcher la faim de se faire ressentir pendant longtemps. Le jeune homme lui devait bien ça car sans le chasseur, il risquait de mourir lui aussi sous l’attaque du monstre. Quelques temps après, ils décidèrent de rentrer au village. Arrivés là-bas, le gamin courut vers sa mère, les larmes aux yeux. La femme vint voir le chasseur et le remercia, puis l’invita chez elle. La joie et la peine de cette femme rendaient le chasseur mal à l’aise mais elle lui dit de se détendre et lui offrit un grand sac de pièces d’or en guise de remerciement car elle venait d’une famille très riche. Le chasseur la remercia à son tour et lui dit qu’il n’allait pas la déranger plus longtemps puis partit. Arrivé chez lui, il ressortit sa vieille épée et alla à l’armurerie du village. Il présenta son sac de pièces d’or et demanda à armurier s’il pouvait confectionner une armure digne de lui et améliorer son épée. Quelque temps après, David revint à l’armurerie pour récupérer ses équipements, l’armurier lui donna une nouvelle épée avec des reflets rouges ornée de crocs dorés ainsi qu’une armure typique des grands chasseurs. Retournant chez lui, il fut interpellé par le chef du village qui lui demanda si il était occupé ces temps-ci, et lui proposa une quête contre un carapaceon géant dans les marais, le chasseur lui répondit qu’il s’occuperait de cela plus tard, car il devait récupérer de son combat contre le monstre des cavernes. Ainsi il alla chez lui et s’endormit jusqu’à une prochaine aventure.
Ceanataur- Nombre de messages : 73
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