Les debuts difficiles d'un hunter...
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Les debuts difficiles d'un hunter...
Voila 3 jours que je suis dans ce trou paumé, les villageois ont l´intelligence d´une moule, même les hotesses de la guilde ne sont pas potables dans ce perchoir qui leur sert de village..
Qu´est ce qu´on se les cailles en plus et rien d´autre que cette ridicule armure Matumofu pour esperer combattre les bestioles qui rodent aux alentours..
Qu´est ce qui m´a pris d´accepter ce job? Pourtant la guilde m´avais promis un poste sympa peinard et cette fois ci à proximité des sports d´hiver... Tu m´etonne question me geler les meules je suis servi...
Voila que cette vieille bique de chef de village me convoque, dès l´aube en plus... Ma mission ? Simple pardi ! devoir descendre cette montagne, esperer arriver en un morceau en bas pour aller jusqu´a cette jungle etouffante que j´avais traversé pour arriver dans ce trou perdu, où une espece de kut-ku nain aurait coupé la route commerciale vers la ville la plus proche...
J´aurais peut être pas du leur repondre de prendre le bateau et de me laisser retourner dormir au chaud. Résultat : j´ai gagné le droit de partir sur le champ pour cette mission sans aucun intéret..
Me voila donc à la lisière de cette jungle impénétrable dans cette armure pleine de fourrure, qu´est ce que je peux transpirer deja, je suis sur que les rivets commencent deja à rouiller. Je suis bien obligé de deposer cette armure dans un fourré, je me retrouve donc avec ma dague de chasseur, mon bouclier et mon slip pour tout equipement...
ça fait deja une demi journée que je progresse à l´aveugle dans cet enfer vert, les vespoids n´ont de cesse d´essayer de m´electrocuter les c*uilles tandis que les hornetaurs tentent desespérément de couper la ficelle de mon slip, systematiquement les uns comme les autres recoivent un bon coup de dague les renvoyant aux autres insectes qui en feront leur repas du jour...
Enfin la chance me souri, enfin presque, en eclatant un vespoid en plein vol je me retrouve avec la jambe plongée à mi mollet dans une enorme bouse de Kut-Ku... Comment être sur que c´est celle d´un kut-ku? Simple, l´odeur pestilentielle qui va me coller jusqu´a la fin de la journée.
Je retrouve la trace de ce Kut-ku, effectivement vu la taille ça à l´air d´un jeune mais comment expliquer la taille de sa bouse???
Pendant les deux tiers de l´apres midi je le suis à la trace, je perds souvent la piste pour la retrouver à partir des restes d´un repas fraichement pris, à croire qu´il passe ses journées à bouffer ce c*n.
Encore une fois je perds sa trace, comment fait il pour dissimuler ainsi ses empreintes dans ce sol boueux? La solution m´apparait au moment où je decide de m´assoir à l´abri d´une fougere geante pour me retaper un peu lorsque j´aperçois enfin ce salopiot qui m´a fait traverser la moitié de cette jungle en slip...
Le voila en hauteur, sur une grosse branche, c´etait donc ça cette facultée à disparaitre, il passait par les arbres ! Comment un Kut-ku pouvait il faire ça vu le poids moyen de ces animaux à l´age adulte? Et un jeune n´aurait pas assez d´expérience pour tenter ce genre de tentative.
La reponse apparut dans mon esprit au moment où je le vis fondre de là haut sur un groupe de Iopreys qui pourchassaient un mosswine dans les fourrés et exprimer toute sa rage meutriere sur ces predateurs, certes plus petit mais non moins dangereux, c´etait un Kut-Ku nain !! !
Sans crier gare mon instinct de chasseur prends les commandes, pas le temps de realiser ce qu´il se passe que je me retrouve dague en main, bouclier au bras à courrir vers ces monstres, dans la fureur de son combat avec le Ioprey que le destin avait désigné comme sa proie, l´un comme l´autre ne m´entendent pas arriver, d´un coup précis et puissant je plante ma dague au travers du cou du ioprey là où se trouvent ses glandes de poisons, les sacs venimeux percés, le poison se repand dans le corps de l´animal, cela ne le tue pas car immunisé contre son propre poison mais le kut ku lui ayant le bec enfoncé dans le ventre du ioprey s´en prend une bonne rasade, cela me facilitera la tache.
Le Kut ku sentant, trop tard, le gout du poison dans son bac lachat le ioprey qui vola bien au dessus des buissons, à ce moment j´avais deja roulé entre ses pattes pour me planquer dans un rondin de bois suffisament pourri pour que je m´y enfonce.
Le Kut ku cherchait en luttant contre les effets du poison qui attaquaient ses yeux, quelle pouvait être cette bête qui venait de le deranger en plein repas et surtout où pouvait elle se cacher maintenant...
Heureusement la bouse collé à mes chausses dissimulait ma propre odeur cependant ce que j´avais pas prevu, dans cette jungle où tout pourrissait vitesse grand V, c´est que me planquer en slip dans un rondin de bois pourri n´etait pas la meilleure option pour proteger mes morceaux les plus tendres de ces foutus insectes bien plus petit que les vespoides mais ô combien plus terrible.
Tandis que le Kut ku reniflait aux alentours, une colonie de cloportes vers fluos avaient repéré un joli petit trou sombre et chaud, caché derriere un malheureux slip de hunter (heureusement j´en avais mis un neuf le matin même), et ils s´etaient mis en tête d´y faire leur nid. Au bout de quelques minutes la situation allait dégénerer pour mon posterieur alors sans réfléchir j´en pris une poignée et les lança sur le kut ku.
Surpris par cette attaque inhabituelle venant de ces betes il ne s´aperçu pas du hunter qui jaillit d´un tronc d´arbre pourri avec nu slip en lambeaux... D´un slip les cloportes avaient fait un string, il etait temps que je sorte de là...
Après m´être trainé sur une dizaine de mètres je songe à la meilleure methode pour un hunter de tuer un Kut-ku avec pour seule armure un bouclier et un string Matumofu, les enseignements de mon vieux maitre me reviennent soudain à l´esprit, sa phrase fétiche "lorsque le grand fleuve rougit, à toi d´emprunter les petits chemins boueux" eclate dans mon esprit.
Je n´y avais pas songé, c´etait pourtant si simple, en un eclair mon plan se forme dans mon esprit.
Je me redresse d´un bond, fais face à la bête qui s´interroge face à cet espece de ver geant à se demander si ce vermissaux ferait un bon repas ou non, il lui semblait avoir deja vu cette espece de ver bien que les précédents etaient bien plus enveloppés.
Je hurla de defi pour capter encore plus son attention puis au moment où je distingua le fremissement caracteristique de la crete d´un kut ku pret à bondir sur sa proie je tourna les talons et m´enfuit le plus vite possible, les plantes et autres lianes me fouettait et lacerait mon paure torse qui en avait deja tellement vu...
Pourtant aux bruits que j´entendais derrière moi, c´etait certain, il avait décidé que j´etais le met de remplacement du ioprey de tout à l´heure, je força l´allure encore plus en commençant à decrire une courbe franche qui j´esperais me ramènerait au point de depart de cette cavalcade.
Je reconnu le tronc pourri et ses cloportes et je bifurqua d´un coup sur ma gauche, la bete ayant perdu du temps empétrée dans un reseau de lianes ne vit pas cette manoeuvre et se précipita droit dans la fosse piégée que j´avais reussi à placer lors de ma dernière pause avant cette course...
Une grande detonation resonna dans la jungle sous les arbres puis le hurlement tant de rage que de frustration du kut-ku lorsque les lianes du filet retomberent sur lui.
Une volée de tranquilisants volèrent sur la bete depuis le fourré en retrait et le kut-ku s´effondra dans un sommeil forcé. Un second hurlement, cette fois de victoire, monta de ce meme buisson, un hunter venait de remplir sa mission, enfin presque...
Le plus dur etait à venir, l´achevement de la bete, effectivement ça m´a pris pas loin de la moitiée de la nuit tant son cuir etait compact et je ne fut pret à revenir au village avec les morceaux les plus intéréssant qu´a la fin de la matinée suivante...
A mon arrivée au village je m´aperçut que les marchands n´avaient pas perdu de temps, aux cris du Kut ku mourrant ils avaient pris la route et avaient atteint le village aux premières heures de la journée, arrivant qu´en debut de soirée tout etait fin pret pour les rejouissance.
Effectivement non seulement ils avaient enfin reussi à importer des cigares dignes de ce nom, de la bière des regions de l´ouest mais surtout, le bocson etait enfin réouvert !! !!
Alcool, cigares, femmes et nourriture abondante, tout en etant le seul heros à de centaines de kilomètres à la ronde, ce village commençait enfin à être sympa....
[ma première petit fic soyez indulgents ! ]
Qu´est ce qu´on se les cailles en plus et rien d´autre que cette ridicule armure Matumofu pour esperer combattre les bestioles qui rodent aux alentours..
Qu´est ce qui m´a pris d´accepter ce job? Pourtant la guilde m´avais promis un poste sympa peinard et cette fois ci à proximité des sports d´hiver... Tu m´etonne question me geler les meules je suis servi...
Voila que cette vieille bique de chef de village me convoque, dès l´aube en plus... Ma mission ? Simple pardi ! devoir descendre cette montagne, esperer arriver en un morceau en bas pour aller jusqu´a cette jungle etouffante que j´avais traversé pour arriver dans ce trou perdu, où une espece de kut-ku nain aurait coupé la route commerciale vers la ville la plus proche...
J´aurais peut être pas du leur repondre de prendre le bateau et de me laisser retourner dormir au chaud. Résultat : j´ai gagné le droit de partir sur le champ pour cette mission sans aucun intéret..
Me voila donc à la lisière de cette jungle impénétrable dans cette armure pleine de fourrure, qu´est ce que je peux transpirer deja, je suis sur que les rivets commencent deja à rouiller. Je suis bien obligé de deposer cette armure dans un fourré, je me retrouve donc avec ma dague de chasseur, mon bouclier et mon slip pour tout equipement...
ça fait deja une demi journée que je progresse à l´aveugle dans cet enfer vert, les vespoids n´ont de cesse d´essayer de m´electrocuter les c*uilles tandis que les hornetaurs tentent desespérément de couper la ficelle de mon slip, systematiquement les uns comme les autres recoivent un bon coup de dague les renvoyant aux autres insectes qui en feront leur repas du jour...
Enfin la chance me souri, enfin presque, en eclatant un vespoid en plein vol je me retrouve avec la jambe plongée à mi mollet dans une enorme bouse de Kut-Ku... Comment être sur que c´est celle d´un kut-ku? Simple, l´odeur pestilentielle qui va me coller jusqu´a la fin de la journée.
Je retrouve la trace de ce Kut-ku, effectivement vu la taille ça à l´air d´un jeune mais comment expliquer la taille de sa bouse???
Pendant les deux tiers de l´apres midi je le suis à la trace, je perds souvent la piste pour la retrouver à partir des restes d´un repas fraichement pris, à croire qu´il passe ses journées à bouffer ce c*n.
Encore une fois je perds sa trace, comment fait il pour dissimuler ainsi ses empreintes dans ce sol boueux? La solution m´apparait au moment où je decide de m´assoir à l´abri d´une fougere geante pour me retaper un peu lorsque j´aperçois enfin ce salopiot qui m´a fait traverser la moitié de cette jungle en slip...
Le voila en hauteur, sur une grosse branche, c´etait donc ça cette facultée à disparaitre, il passait par les arbres ! Comment un Kut-ku pouvait il faire ça vu le poids moyen de ces animaux à l´age adulte? Et un jeune n´aurait pas assez d´expérience pour tenter ce genre de tentative.
La reponse apparut dans mon esprit au moment où je le vis fondre de là haut sur un groupe de Iopreys qui pourchassaient un mosswine dans les fourrés et exprimer toute sa rage meutriere sur ces predateurs, certes plus petit mais non moins dangereux, c´etait un Kut-Ku nain !! !
Sans crier gare mon instinct de chasseur prends les commandes, pas le temps de realiser ce qu´il se passe que je me retrouve dague en main, bouclier au bras à courrir vers ces monstres, dans la fureur de son combat avec le Ioprey que le destin avait désigné comme sa proie, l´un comme l´autre ne m´entendent pas arriver, d´un coup précis et puissant je plante ma dague au travers du cou du ioprey là où se trouvent ses glandes de poisons, les sacs venimeux percés, le poison se repand dans le corps de l´animal, cela ne le tue pas car immunisé contre son propre poison mais le kut ku lui ayant le bec enfoncé dans le ventre du ioprey s´en prend une bonne rasade, cela me facilitera la tache.
Le Kut ku sentant, trop tard, le gout du poison dans son bac lachat le ioprey qui vola bien au dessus des buissons, à ce moment j´avais deja roulé entre ses pattes pour me planquer dans un rondin de bois suffisament pourri pour que je m´y enfonce.
Le Kut ku cherchait en luttant contre les effets du poison qui attaquaient ses yeux, quelle pouvait être cette bête qui venait de le deranger en plein repas et surtout où pouvait elle se cacher maintenant...
Heureusement la bouse collé à mes chausses dissimulait ma propre odeur cependant ce que j´avais pas prevu, dans cette jungle où tout pourrissait vitesse grand V, c´est que me planquer en slip dans un rondin de bois pourri n´etait pas la meilleure option pour proteger mes morceaux les plus tendres de ces foutus insectes bien plus petit que les vespoides mais ô combien plus terrible.
Tandis que le Kut ku reniflait aux alentours, une colonie de cloportes vers fluos avaient repéré un joli petit trou sombre et chaud, caché derriere un malheureux slip de hunter (heureusement j´en avais mis un neuf le matin même), et ils s´etaient mis en tête d´y faire leur nid. Au bout de quelques minutes la situation allait dégénerer pour mon posterieur alors sans réfléchir j´en pris une poignée et les lança sur le kut ku.
Surpris par cette attaque inhabituelle venant de ces betes il ne s´aperçu pas du hunter qui jaillit d´un tronc d´arbre pourri avec nu slip en lambeaux... D´un slip les cloportes avaient fait un string, il etait temps que je sorte de là...
Après m´être trainé sur une dizaine de mètres je songe à la meilleure methode pour un hunter de tuer un Kut-ku avec pour seule armure un bouclier et un string Matumofu, les enseignements de mon vieux maitre me reviennent soudain à l´esprit, sa phrase fétiche "lorsque le grand fleuve rougit, à toi d´emprunter les petits chemins boueux" eclate dans mon esprit.
Je n´y avais pas songé, c´etait pourtant si simple, en un eclair mon plan se forme dans mon esprit.
Je me redresse d´un bond, fais face à la bête qui s´interroge face à cet espece de ver geant à se demander si ce vermissaux ferait un bon repas ou non, il lui semblait avoir deja vu cette espece de ver bien que les précédents etaient bien plus enveloppés.
Je hurla de defi pour capter encore plus son attention puis au moment où je distingua le fremissement caracteristique de la crete d´un kut ku pret à bondir sur sa proie je tourna les talons et m´enfuit le plus vite possible, les plantes et autres lianes me fouettait et lacerait mon paure torse qui en avait deja tellement vu...
Pourtant aux bruits que j´entendais derrière moi, c´etait certain, il avait décidé que j´etais le met de remplacement du ioprey de tout à l´heure, je força l´allure encore plus en commençant à decrire une courbe franche qui j´esperais me ramènerait au point de depart de cette cavalcade.
Je reconnu le tronc pourri et ses cloportes et je bifurqua d´un coup sur ma gauche, la bete ayant perdu du temps empétrée dans un reseau de lianes ne vit pas cette manoeuvre et se précipita droit dans la fosse piégée que j´avais reussi à placer lors de ma dernière pause avant cette course...
Une grande detonation resonna dans la jungle sous les arbres puis le hurlement tant de rage que de frustration du kut-ku lorsque les lianes du filet retomberent sur lui.
Une volée de tranquilisants volèrent sur la bete depuis le fourré en retrait et le kut-ku s´effondra dans un sommeil forcé. Un second hurlement, cette fois de victoire, monta de ce meme buisson, un hunter venait de remplir sa mission, enfin presque...
Le plus dur etait à venir, l´achevement de la bete, effectivement ça m´a pris pas loin de la moitiée de la nuit tant son cuir etait compact et je ne fut pret à revenir au village avec les morceaux les plus intéréssant qu´a la fin de la matinée suivante...
A mon arrivée au village je m´aperçut que les marchands n´avaient pas perdu de temps, aux cris du Kut ku mourrant ils avaient pris la route et avaient atteint le village aux premières heures de la journée, arrivant qu´en debut de soirée tout etait fin pret pour les rejouissance.
Effectivement non seulement ils avaient enfin reussi à importer des cigares dignes de ce nom, de la bière des regions de l´ouest mais surtout, le bocson etait enfin réouvert !! !!
Alcool, cigares, femmes et nourriture abondante, tout en etant le seul heros à de centaines de kilomètres à la ronde, ce village commençait enfin à être sympa....
[ma première petit fic soyez indulgents ! ]
Warlord1er- Nombre de messages : 9
Age : 45
Localisation : 94 - paris 12e
Rang : commerçant
Date d'inscription : 03/09/2007
Re: Les debuts difficiles d'un hunter...
Tout simplement hyper mega cool
Ange Shadow- Nombre de messages : 729
Age : 31
Localisation : DijOn
Rang : Hr 5
Date d'inscription : 24/06/2007
Re: Les debuts difficiles d'un hunter...
Ca va j'aime bien seul defaut qui ma fait tilt des le début il faudrait que tu fasses une différences entre le texte et les dialogues ^^
Re: Les debuts difficiles d'un hunter...
moi je trouve que tu as un réel talent! continue comme ca!
pitansart- Nombre de messages : 734
Age : 33
Localisation : Devant ma psp à nouveau opérationnelle depuis le 18/09/07 à 19h30!!!
Date d'inscription : 22/06/2007
Re: Les debuts difficiles d'un hunter...
Grand merci collegues Hunters d'avoir pris le temps de lire, je vous en post une autre très bientot, deja une page word, vous me dites si c'est trop long !
Warlord1er- Nombre de messages : 9
Age : 45
Localisation : 94 - paris 12e
Rang : commerçant
Date d'inscription : 03/09/2007
Re: Les debuts difficiles d'un hunter...
c'est très bien raconté!
sa manque juste de dialogue... Enfin à mon gout!
Très bon boulot
EDIT: ah en fait c'est juste que je n'ai pas fait la différence
sa manque juste de dialogue... Enfin à mon gout!
Très bon boulot
EDIT: ah en fait c'est juste que je n'ai pas fait la différence
renegat- Nombre de messages : 75
Age : 31
Localisation : Derrière toi... Bouh!
Rang : Lycéen
Date d'inscription : 08/09/2007
Re: Les debuts difficiles d'un hunter...
Mon pavé du soir, Bonsoir ! La suite prochainement, je vais essayer d'en faire une histoire complete plutot que differents petits textes sans rapport les uns aux autres. Commentaires bienvenus !
Ma première véritable chasse dans ce village remonte maintenant à quelques mois, effectivement la guilde ne s'etait pas trompée, c'est bien un poste calme en arrière des zones frontalières infestées de wyverns.
En dehors de quelques chasses à l'Atenka et autres popos fort peu farouches, la vie dans ce petit village s'ecoule aussi paisiblement que l'eau du fleuve au pied de la montagne. En dehors de quelques meutes de giapreys tentant vainement de s'attaquer aux troupeaux rien ne semblait vouloir troubler la quietude de cette vie montagnarde.
J'etais donc parti en foret avec quelques jeunes du village leur inculquer les bases du tir à l'arc offensif, on à beau dire on n'est jamais assez préparés aux attaques d'une faune aussi riche de notre monde sauvage et puis l'avantage d'un arc est de permettre à son utilisateur de rester en dehors des mauvais coups de la mélée, surtout si il est simple villageois ou chasseur novice.
La journée s'annonçait radieuse, le soleil commenaçait juste à pointer l'horizon que nous etions deja tous en ligne à viser à tour de rôle une vieille souche qui servait de cible depuis des générations. Sur la dizaine de jeunes bergers trois sortaient vraiment du lot, tant niveau précision que pour la force des fleches décochées.
Le premier, un grand et solide gaillard se nommait Ygmurrh, sa force et son courage etaient inversement propotionnels à son sens du danger. Grand placide rien en lui ne laissait presager une telle ferocité lorsqu'il s'agissait d'aller embrocher quelques giapreys.
Le second etait un enfant malingre, limite chétif mais son intelligence, son sens de l'opportunité l'aidait à venir à bout de la majorité des difficultées rencontrées. De plus la précision de ses tirs faisait qu'il pouvait clouer sur un arbre un vespoid à plus de 150m pour peu que son arc ne casse pas. On le nommait Sayzkan.
Enfin le troisième etait beaucoup moins représentatif des gens de cette montagne, en effet il etait bien plus taciturne que ses compagnons, jamais il n'ouvrait la bouche sauf pour exprimer un point de vue fort different de celui des autres, ce qui généralement permettait à tous de trouver un point d'accord sur une question à trancher. Question poser des pieges ou monter des embuscades Kleïkan n'était jamais pris à depourvu.
La journée passa lentement mais aussi surement que s'erodent les montagnes jusqu'au moment où le son d'un groupe de personnes arrivant aussi bruyamment que rapidement dans la foret plus haut sur la colline figea les plus peureux et incitant les plus beliqueux à bander leurs arcs en direction du vacarme qui s'approchait au fur et à mesure que les secondes s'ecoulaient.
Moi même je pris position sur une branche en hauteur pour essayer de grapiller quelques secondes de visibilité avant le contact avec ce groupe en debandade, et je prepara ma dague ainsi que mon bouclier pour parer à toute eventualité.
Le bruit de leur fuite emplissait la frondaison des arbres de la fôret, les oiseaux s'etaient envolés au loin depuis plusieurs longues minutes lorsque soudain, sans crier gare, nous vimes jaillir des taillis non pas des personnes mais un petit groupe d'aptonoth domestiqués, les lanières encore accrochées autour de leur coup l'attestait, c'etait des bêtes de sommes. Quelques uns s'ecroulèrent mortellement touchés par les fleches d'autres eurent le temps de faire quelques bléssés dans nos rangs avant d'etre mis en fuite plus loin. Heureusement que les aptonoth avaient servis d'avant garde car le temps de realiser ce qu'il venait de se passer qu'un groupe d'hommes et de femmes, les vetements en lambeaux, certains ayant les cheveux roussi et d'autres plus gravement bléssés firent irruptions du même bosquet.
Il s'arretèrent net, la surprise se lisait tant sur leurs visages que sur le notre, heureusement les aptonoth avaient ouvert la voie et permis à mes petits soldats en herbe de defouler leurs craintes mais surtout leur agressivité accumulée au cours de la journée sinon les pertes dans le groupe de réfugiés auraient étées bien plus lourdes malgrès le faible niveau de mes archers.
L'un d'entre eux se detacha du groupe, il etait couvert de sang bien qu'il n'avait nullement l'air d'être bléssé. Il prit la parole en ces termes :
-Salut à vous hunters des montagnes, n'ayez craintes, je me nomme Ychtan et voici ce qu'il reste des gens de notre village. Nous ne venons pas en ennemi.
Je sorti des rangs et me présenta à mon tour.
-Je suis Hannibal, hunter rang cinq de la guilde envoyé au village de Pokke, plus haut sur les hauteurs, voici quelques uns de nos villageois qui m'accompagnent à l'entrainement. Que vous est il donc arrivé? Avez vous des bléssés avec vous?
-Oui nous avons exactement dix bléssés legers, 3 plus grave et l'un des notres est mourrant à l'arrière. Nous avons subit l'attaque d'un couple de Rathalos et Rathian qui ont élu domicile sur la coline derrière notre village. La fuite à été terrible, nombre d'entre nous n'ont pas traversé les grandes plaines. Nous avons vainement tenté de resister mais même l'artilleur de la guilde y à laissé sa peau lors de l'ultime attaque.
-Très bien, faites une pause ici, reposez vous, j'envoie quelqu'un prévenir la chef du village de votre arrivée. Avez vous étés suivi par ces wyverns?
- Non ils ont céssé toute poursuite depuis 3 jours maintenant, nous avons pu prendre un peu de repos dans les défilés sombres.
J'envoya deux des plus rapides prévenir le village de l'arrivée de réfugiés afin de connaître la conduite à tenir vis à vis de ces pauvres êtres. Effectivement ils n'etaient pas nombreux, tout au plus une cinquantaine en plus ou moins bon etat. Tous les ages etaient représentés, des plus jeunes aux plus agés. La réponse de la chef du village ne se fit pas attendre, quelques heures après le depart des messagers une fleche enflammée traversa le ciel qui s'assombrissait avec la tombée de la nuit. Impossible d'envisager de remonter les flancs de la montagne avec une telle troupe, surtout de nuit, nous décidames donc de bivouaquer sur place.
Ychtan me raconta tout les évènements qui ont conduit au carnage de leur village, ils n'avaient pas vu de wyverns de cette taille dans leur region depuis maintes générations, ce qui expliqua une résistance aussi faible aux premières attaques. Cependant ils ne s'expliquaient pas pourquoi un couple s'aventura sur leurs terres, effectivement ils venaient d'une region à plus d'une semaine de marche, les regions frontalières du monde connu, elles, etaient à plus d'un mois de marche. Il y avait bien eu plusieurs rumeur concernant des monstres inconnus de tous qui auraient apparu et chassé les wyverns de leurs terres habituelles. Cependant personne n'accordait de crédit aux rumeur colportées par ces marchands ambulants, toujours à l'affut d'un extraordinaire histoire à raconter pour tenir les clients tout en essayant de le refourguer leur camelote.
La nuit apporta son lot de mort, effectivement le mourant rendit son dernier soupir, quelques pleurs s'eleverent si discretement que tous ceux du village Pokke se rendirent compte de la terreur qui regnait encore dans les esprits des réfugiés. De plus à ce qu'il s'etait raconté dans la nuit, nombre d'entre eux avaient succombé soit aux premières attaques soit à la fuite eperdue à travers tant de regions hostiles.
Nous primes la route au petit matin, l'ascension fut eprouvante pour la plupart de nos nouveaux amis mais les villageois, certes rudes mais au grand coeur, etaient venus à notre rencontre avec des attelages de popos. L'arrivée au village se fit sous un silence pesant, les mines des réfugiés reveillait d'anciennes craintes dans les coeurs des villageois.
La chef du village nous attendait sous le grand hall de la guilde, Ychtan repondit à toutes ses questions puis la décision de les acceuillir ne se fit pas attendre.
Quelques jours plus tard, le temps que les plaies soient pansées, les esprits calmés, les estomacs rassasiés nous avons enfin pu commencer les choses serieuses avec les survivants les plus aptes à la chasse.
Ychtan etait redoutable avec la plupart des armes bien qu'il avait la facheuse habitude de s'ecraser les orteils avec le bouclier de la lance... Les jeunes etaient volontaires et avaient une feroce envie d'en decoudre avec les wyverns locales, il fallait régulièrement les temperer bien que cela avait une influence bénéfique sur la motivation et la ténacité de nos jeunes, habituellement mous à l'entrainement.
Au bout de deux mois d'entrainement intensif nous avons enfin pu envisager une chasse en groupe, deja nous pouvions sans crainte tenir tête à des kut-ku, des velocidromes, des giadromes ainsi qu'aux iodromes que l'on pouvait rencontrer au pied des montagnes. Cependant lorsqu'il etait question de betes plus grosse ou plus exotiques j'avais l'habitude de m'en occuper en solitaire.
Un gros Congalala choisit ce moment pour couper les routes d'approvisonnement de la jungle, mon environnement préféré tiens...
Ma première véritable chasse dans ce village remonte maintenant à quelques mois, effectivement la guilde ne s'etait pas trompée, c'est bien un poste calme en arrière des zones frontalières infestées de wyverns.
En dehors de quelques chasses à l'Atenka et autres popos fort peu farouches, la vie dans ce petit village s'ecoule aussi paisiblement que l'eau du fleuve au pied de la montagne. En dehors de quelques meutes de giapreys tentant vainement de s'attaquer aux troupeaux rien ne semblait vouloir troubler la quietude de cette vie montagnarde.
J'etais donc parti en foret avec quelques jeunes du village leur inculquer les bases du tir à l'arc offensif, on à beau dire on n'est jamais assez préparés aux attaques d'une faune aussi riche de notre monde sauvage et puis l'avantage d'un arc est de permettre à son utilisateur de rester en dehors des mauvais coups de la mélée, surtout si il est simple villageois ou chasseur novice.
La journée s'annonçait radieuse, le soleil commenaçait juste à pointer l'horizon que nous etions deja tous en ligne à viser à tour de rôle une vieille souche qui servait de cible depuis des générations. Sur la dizaine de jeunes bergers trois sortaient vraiment du lot, tant niveau précision que pour la force des fleches décochées.
Le premier, un grand et solide gaillard se nommait Ygmurrh, sa force et son courage etaient inversement propotionnels à son sens du danger. Grand placide rien en lui ne laissait presager une telle ferocité lorsqu'il s'agissait d'aller embrocher quelques giapreys.
Le second etait un enfant malingre, limite chétif mais son intelligence, son sens de l'opportunité l'aidait à venir à bout de la majorité des difficultées rencontrées. De plus la précision de ses tirs faisait qu'il pouvait clouer sur un arbre un vespoid à plus de 150m pour peu que son arc ne casse pas. On le nommait Sayzkan.
Enfin le troisième etait beaucoup moins représentatif des gens de cette montagne, en effet il etait bien plus taciturne que ses compagnons, jamais il n'ouvrait la bouche sauf pour exprimer un point de vue fort different de celui des autres, ce qui généralement permettait à tous de trouver un point d'accord sur une question à trancher. Question poser des pieges ou monter des embuscades Kleïkan n'était jamais pris à depourvu.
La journée passa lentement mais aussi surement que s'erodent les montagnes jusqu'au moment où le son d'un groupe de personnes arrivant aussi bruyamment que rapidement dans la foret plus haut sur la colline figea les plus peureux et incitant les plus beliqueux à bander leurs arcs en direction du vacarme qui s'approchait au fur et à mesure que les secondes s'ecoulaient.
Moi même je pris position sur une branche en hauteur pour essayer de grapiller quelques secondes de visibilité avant le contact avec ce groupe en debandade, et je prepara ma dague ainsi que mon bouclier pour parer à toute eventualité.
Le bruit de leur fuite emplissait la frondaison des arbres de la fôret, les oiseaux s'etaient envolés au loin depuis plusieurs longues minutes lorsque soudain, sans crier gare, nous vimes jaillir des taillis non pas des personnes mais un petit groupe d'aptonoth domestiqués, les lanières encore accrochées autour de leur coup l'attestait, c'etait des bêtes de sommes. Quelques uns s'ecroulèrent mortellement touchés par les fleches d'autres eurent le temps de faire quelques bléssés dans nos rangs avant d'etre mis en fuite plus loin. Heureusement que les aptonoth avaient servis d'avant garde car le temps de realiser ce qu'il venait de se passer qu'un groupe d'hommes et de femmes, les vetements en lambeaux, certains ayant les cheveux roussi et d'autres plus gravement bléssés firent irruptions du même bosquet.
Il s'arretèrent net, la surprise se lisait tant sur leurs visages que sur le notre, heureusement les aptonoth avaient ouvert la voie et permis à mes petits soldats en herbe de defouler leurs craintes mais surtout leur agressivité accumulée au cours de la journée sinon les pertes dans le groupe de réfugiés auraient étées bien plus lourdes malgrès le faible niveau de mes archers.
L'un d'entre eux se detacha du groupe, il etait couvert de sang bien qu'il n'avait nullement l'air d'être bléssé. Il prit la parole en ces termes :
-Salut à vous hunters des montagnes, n'ayez craintes, je me nomme Ychtan et voici ce qu'il reste des gens de notre village. Nous ne venons pas en ennemi.
Je sorti des rangs et me présenta à mon tour.
-Je suis Hannibal, hunter rang cinq de la guilde envoyé au village de Pokke, plus haut sur les hauteurs, voici quelques uns de nos villageois qui m'accompagnent à l'entrainement. Que vous est il donc arrivé? Avez vous des bléssés avec vous?
-Oui nous avons exactement dix bléssés legers, 3 plus grave et l'un des notres est mourrant à l'arrière. Nous avons subit l'attaque d'un couple de Rathalos et Rathian qui ont élu domicile sur la coline derrière notre village. La fuite à été terrible, nombre d'entre nous n'ont pas traversé les grandes plaines. Nous avons vainement tenté de resister mais même l'artilleur de la guilde y à laissé sa peau lors de l'ultime attaque.
-Très bien, faites une pause ici, reposez vous, j'envoie quelqu'un prévenir la chef du village de votre arrivée. Avez vous étés suivi par ces wyverns?
- Non ils ont céssé toute poursuite depuis 3 jours maintenant, nous avons pu prendre un peu de repos dans les défilés sombres.
J'envoya deux des plus rapides prévenir le village de l'arrivée de réfugiés afin de connaître la conduite à tenir vis à vis de ces pauvres êtres. Effectivement ils n'etaient pas nombreux, tout au plus une cinquantaine en plus ou moins bon etat. Tous les ages etaient représentés, des plus jeunes aux plus agés. La réponse de la chef du village ne se fit pas attendre, quelques heures après le depart des messagers une fleche enflammée traversa le ciel qui s'assombrissait avec la tombée de la nuit. Impossible d'envisager de remonter les flancs de la montagne avec une telle troupe, surtout de nuit, nous décidames donc de bivouaquer sur place.
Ychtan me raconta tout les évènements qui ont conduit au carnage de leur village, ils n'avaient pas vu de wyverns de cette taille dans leur region depuis maintes générations, ce qui expliqua une résistance aussi faible aux premières attaques. Cependant ils ne s'expliquaient pas pourquoi un couple s'aventura sur leurs terres, effectivement ils venaient d'une region à plus d'une semaine de marche, les regions frontalières du monde connu, elles, etaient à plus d'un mois de marche. Il y avait bien eu plusieurs rumeur concernant des monstres inconnus de tous qui auraient apparu et chassé les wyverns de leurs terres habituelles. Cependant personne n'accordait de crédit aux rumeur colportées par ces marchands ambulants, toujours à l'affut d'un extraordinaire histoire à raconter pour tenir les clients tout en essayant de le refourguer leur camelote.
La nuit apporta son lot de mort, effectivement le mourant rendit son dernier soupir, quelques pleurs s'eleverent si discretement que tous ceux du village Pokke se rendirent compte de la terreur qui regnait encore dans les esprits des réfugiés. De plus à ce qu'il s'etait raconté dans la nuit, nombre d'entre eux avaient succombé soit aux premières attaques soit à la fuite eperdue à travers tant de regions hostiles.
Nous primes la route au petit matin, l'ascension fut eprouvante pour la plupart de nos nouveaux amis mais les villageois, certes rudes mais au grand coeur, etaient venus à notre rencontre avec des attelages de popos. L'arrivée au village se fit sous un silence pesant, les mines des réfugiés reveillait d'anciennes craintes dans les coeurs des villageois.
La chef du village nous attendait sous le grand hall de la guilde, Ychtan repondit à toutes ses questions puis la décision de les acceuillir ne se fit pas attendre.
Quelques jours plus tard, le temps que les plaies soient pansées, les esprits calmés, les estomacs rassasiés nous avons enfin pu commencer les choses serieuses avec les survivants les plus aptes à la chasse.
Ychtan etait redoutable avec la plupart des armes bien qu'il avait la facheuse habitude de s'ecraser les orteils avec le bouclier de la lance... Les jeunes etaient volontaires et avaient une feroce envie d'en decoudre avec les wyverns locales, il fallait régulièrement les temperer bien que cela avait une influence bénéfique sur la motivation et la ténacité de nos jeunes, habituellement mous à l'entrainement.
Au bout de deux mois d'entrainement intensif nous avons enfin pu envisager une chasse en groupe, deja nous pouvions sans crainte tenir tête à des kut-ku, des velocidromes, des giadromes ainsi qu'aux iodromes que l'on pouvait rencontrer au pied des montagnes. Cependant lorsqu'il etait question de betes plus grosse ou plus exotiques j'avais l'habitude de m'en occuper en solitaire.
Un gros Congalala choisit ce moment pour couper les routes d'approvisonnement de la jungle, mon environnement préféré tiens...
Warlord1er- Nombre de messages : 9
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Re: Les debuts difficiles d'un hunter...
Cool trop hate de savoir coment se congalala vas souffrir
Ange Shadow- Nombre de messages : 729
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