soldat

j'ai décidé de faire une fic opposant la guilde contre les chasseurs,évidemment cela ne reposera pas que sur ça...
Dite moi les erreurs ou chose a ameliorer, merci.
SOLDAT

PROLOGUE:
En ce temps de paix en 230 après le pacte, qui conclu la guerre entre chasseurs et soldats de la guilde qui n'engendra que mort et destruction dans les deux parties et qui dura 50 ans .L'origine de cette tragédie était,vraisemblablement,
une augmentation de la puissance des chasseurs. Le guide ,personne appartenant à une famille correspondant a peu près à un roi,engagea cette lutte destructrice. Les chasseurs élurent un chef qu'ils apelère le chimère car il dût passée 2 ans dans une tour érigée pour emprisonner ce que les chasseurs et soldats s'étaient unient pour emprisonné. IL passa un pacte avec des créatures.



« je suis le chimère je m'appèle servus enfin c'est le nom que m'ont donnée les créatures,je ne me souvient pas de mon vrai ,durant la première année passée rien ne se passa c'est durant la seconde qu'il commencèrent à m'observer , 5 mois après ils se rapprochèrent et sortit des ombres jusqu'à même venir me parler mais ce que je vis me terrifia ces créatures d'un autre âge étaient beaucoup plus proche de nous.
Ils me nommèrent servus car j'avais passée un pacte qui me permettait de vivre jusqu'à la l'arrêt de cette guerre,en contrepartie je devais les servir pendant 10 ans et mourrai par la suite.J'acceptai ce marché et il m'apprirent bien des choses.De retour une bataille devait avoir lieu je décidait d'envoyer 5 régiments (régiment à peu près 200 hommes)de chasseurs à l'épée et bouclier ,les chevaliers, en éclaireur. Je partit avec eux et mes généraux. Le reste de l'armée,qui se composée d'homme combattant au katana les katars,des archers,des fusarbalétier,des piquier, cavalerie à dos de kilbins,et chars sur d'autre animaux.

Tous les combattants étaient en place 6 régiments contre 3 en arrière se trouvait notre quartier général.
[carte 1]


Nous avions élevés 3 grandes barricade,plus pour les ralentir que les arrètés. Nous les avions interceptés aux ouvertures ouest et nord. A la fin de cette escarmouche nos effectifs était réduit de moitié et un quart ne pouvaient plus se battre,mes lieutenants firent sonner la retraite et nous abandonnâmes les barricades pour le rejoindre le q.g.

Récit d'énée capitaine du régiment blanc .
Mes chasseurs se faisait taillé en pièce mais ils rendait bien leurs coups,les autres régiments était en même difficultés devant nous s'étendait le double de nos hommes et deux ou trois bataillon de fusarbalétier lourd pillonaient nos troupe.Notre nous avait donné des ordres ils fallait les éxécuter.
Tout d'abord je fis venir 4 sergents :Timeo,Credo, Dices,Vivis.
Vivis avec sa cavalalerie et la mienne nous attaquerons par revers les artilleurs.Timeo attaquera de front les troupes ennemies,Credo lui a dos d'apceros surmontés de baraque en bois d'où 2 hommes tueront l'ennemies à coup d'épée,Dices,quant à lui, montera avec sa troupe aussi sur des apceros mais munies des fusarbalètes que nous aurons ramenés.

Chacun avait compris sa tâche ,je montais sur mon kilbin suivi de Vivis et de nos troupe respectives contournèrent la bataille pour prendre à revers les artilleurs. L'impact envoya 2 artilleurs volaient les côtes cassaient ,dégainant mon épée courte ,légèrement recourbé vers l'avant faite en minerai violet appelé « carbalite »
idem pour le bouclier,que j'enfonsais dans la poitrine de l'un et cassais le nez d'un autre d'un coup de bouclier.Nous étions engagés dans une escarmouche avec 2 des 3 bataillons ,le troisième bataillon commencer à se replier et je n'eu que le temps de voir un des artilleurs tirait une munition
qui toucha l'homme à côté de moi , explosa par la suite ,mon kilbin prit peur et se cabrâ je tombai par terre et tout de vint noir....

p.s:le kilbin n'est qu'un kelbi plus gros et plus grand que son cousin.

Ca à l'air pas mal ! En tout cas je te souhaite bonne chance car relater une guerre n'est pas chose facile...

Bon critiquons un peu...
Déjà fais attention car certaines de tes phrases sont à la limite du compréhensible, donc relis toi ! Je pense à des phrases du genre :
"Le guide ,personne appartenant à une famille correspondant a peu près à un roi,engagea cette lutte destructrice."
Ou alors celle là, à laquelle je n'ai rien compris xD :
"il dût passée 2 ans dans une tour érigée pour emprisonner ce que les chasseurs et soldats s'étaient unient pour emprisonné."

Ensuite tu as des lacunes en orthographes mais que tu peux corriger en écrivant dans un logiciel de traitement de texte, par exemple Word. Grâce à ça tu verras tu progresseras ;p

Donc voilà ce sont tes gros défauts donc essayent de les corriger parce que sinon c'est difficile de prendre du plaisir en te lisant ^^
Sinon tu as l'air de bien manier le suspense, donc ne te décourage pas, corrige ces quelques fautes et ce sera déjà très bien ;p

merci de tes critiques,mais j'ai écrit avec un traitement de texte...

Ah je vois pourquoi ya pas marqué que c'est une faute XD
C'est parce que le mot existe mais c'est pas le bon ^^
Ah oui déjà on dit une chimère ^^
Sinon t'as mis "volaient" au lieu de voler vers la fin. Ou alors c'est ta phrase qui est mal tourné.
Dans tous les cas, il faut vraiment que tu fasses attention à bien tourner les phrases ;p

merci mais je savais que c'etai "une" je l'ai mis expres ,pour levez le sens que beaucoup ont .

Ah ok ^^
Ca fait bizarre mais je suppose qu'on s'y habiitue

Notre capitaine était tombé a terre,2 de nos hommes se précipitèrent pour le relever mais malheureusement un bout d'armure c'était loger sous sa dernière côte et lui donner des difficultés a respirer, le sergent prit le commandement de l'unité du capitaine et ordonna à une dizaine d'hommes de restaient garder la position près du capitaine.
Le reste dont moi rejoignirent Vivis et son unité qui mettaient en déroute les derniers artilleurs,et récuperent leur armes et leurs munitions.
Il fut décider que mon unités ramenerait les armes à l'unités de Credo.
Ainsi fait ce dernier fit charger ces « apceros » qui su leur dos se trouvaient une baraque en bois contenant désormais un artilleur,un épéiste,et un conducteur en plus de cela des plaques de métal avaient étaient sanglé sur leurs pattes ,leur cou et leur queue.
Je ne pus admirer plus longtemps ces animaux car je devais rejoindre mon capitaine,en arrivant je ne trouvait nul par mon capitaine mais mon unité plus celle de Vivis était au ranger devant celui-ci je me dépéchais de rejoindre mon rang.
Vivis écourta le silence:«Tout d'abord le capitaine Enée est à l'infirmerie sa blessure n'est pas si grave ,maintenant venant en on au vif du sujet.
Plus au nord se trouve le reste de l'avant garde ennemis des éclaireurs nous rapportent qu'ils sont au moins 200 artilleurs et un demi-millier de guerrier possédant une petite épée et un bouclier,notre but sera de clairsemé leurs surtout celui des artilleurs qui se trouve en arrièrent garde,préparais vous nous partons.»
Quelques minutes plus tard nous étions une centaine de guerrier montés sur des kilbins,nous nous mettions en route en regardant ,sans doute ,une dernière fois nos compagnons. Ainsi peu après nous arrivâmes non loin de ce rassemblement d'homme,quand les épeistes se mirent en route ,nous
chargeâmes les artilleurs.



Avant même de pouvoir fendre les chairs ennemies ,les balles nous avaient déjà décimés. Cepandant les coups furent bien rendus au corps à corps si bien que en moins d'une heures ce régiments était massacré.Au loin s'annonçait de sinistres présages,au loin ,sur une cr^te ,se découpaient des éclaireurs d'un autre régiments, sans doute alerté par la clameurs des combats.Quelques cor résonnèrent et s' étalait devant nous un régiment de fusarbalétriers, ils étaient si nombreux et nous si affaiblis, notre sergent était mort c'était à moi de prendre sa suite.
Avant de lancer la charge décisive monté sur nos montures,je regardais une dernière fois le ciel orangé maintenant au crépuscule, des corbeaux planaient au dessus de nous mais aucun au dessus des ennemies ,les animaux avaient fait leurs choix sans aucun doute ils avaient raison.
Je lancais la charge accompagné d'hommes résignés , les ennemies l'étaient tout autant et commencèrent a faire feu.
Beaucoup d'entre nous tombèrent,moi même,me pris une balle dans la cuisse,encore cent mètre à parcourir encore cent à tomber.
Puis ce fût le déluge de feu et d'acier propulsés et venant se loger dans les chairs,déjà bien trop meurtries ,de mes combattants mon destrier succomba et je m'affalais par terre mais continuant tout de même à charger puis une balle puis une autre et encore une autre vinrent me déchirer les chairs à genou mais poussant une clameur sauvage,une dernière balle vint m'enlever à mon équilibre précaire étalais de tout mon long je regardais une dernière fois les corbeaux évidement ils ne s'étaient pas trompés. Nos vainqueurs arrivèrent bientôt a moi je trouva la force de les regarder droit dans les yeux en redressant la tête ,juste pour leur montrer qu'ils ne nous avaient pas vaincu. Le commandant de ce régiment me regarda puis pris un fusarbalète puis ce fût flammes et tourbillon de noir.