[FIC] Le Feu et la Chair

Le Feu et la Chair

Chapitre 1 : La Vie sous deux angles :

Je fuis, je cours, je pars, je sautes, je m'en vais par cette magie indomptable qu'est la peur, prenant le contrôle de mon corps, de mes gestes et de mes pas, de ma tête et de mes pensées, et ne rendant que folie mes idées. Mes oreilles entendent des sons déséspérés, et d'une douleur atroce, les cris des gens prit dans les flammes. Ma bouche hurle aussi, d'une voix que moi-même ne reconnaît pas. Une voix aigüe, plaintive, abordant les coeur d'une pitié inlassable, et déchirant les membres des personnes ne pouvant rien faire face à leur peur et à leur folie.
Pokke, mon petit village natale, m'ayant bercer depuis ma plus tendre enfance, depuis ma jeunesse innocente, pourtant protéger par un fort immense de la « guilde » et par une fois incroyable que portaient les chaseurs le protégeant, venait de tomber dans les flammes, de s'embrasait dans le souffle d'un monstre que personne ici ne connaissait.
Il était de couleur rouge, et ses cornes grises donnaient à ses yeux bleus un air menaçant. Sa crinière rougeâtre, semblait s'embraser dans la noirceur de la nuit, et ses ailes souples et agiles lui donnaient une capacité de vol incroyable.

10 ans plus tard :
J'évita un coup de patte maloidroitement donné, et une flamme jaillit de la gueule du monstre. Je fis une roulade vers l'avant, pour éviter ce jet enflammé et trancha d'un coup la patte gauche de mon sabre aiguisé. La bête poussa un cri de douleur et d'acharnement, et ses yeux rouges de colère me fixèrent intensément. Là, il sut que c'était finit. Il boitat et commenca à s'envoler. D'un geste abile et efficace, je trancha la palmure de son aile droite. Il retomba violemment, dans une onde de poussières et de terres. Je vint au niveau de sa tête, mon arme à la main. Il me regarda, d'un air plaintif, plein de pitié. Ce dialogue silencieux se soutint un long moment. Puis je prit mon arme, l'approcha de son cou, puis enfonça le coup de grâce en disant :
“les tiens ne m'ont guère épargnés, à mon tour maintenant !”, et le monstre lacha un dernier soupir de mort et de désolations.

“Alors, cette chasse, maître ?
- Eh bien ça ne fera que mon six cent quarante-cinquième Teostra
- Vous savez que je n'aime pas ça maître.
- Je le sais Tofu, je le sais ...
Le petit chat me regarda de ses yeux pourpres
- Non seulement vous allez vous blesser, mais votre haine vous rongera de l'intérieur !
- Je m'en sors très bien comme ça, pourquoi devrai-je changer ??
- Parce que votre chemin n'attent que la mort, maître, et le lien qui unit un chat-guerrier et son maître doit permettre à celui-ci de le protéger.
- Et bien merci pour ces paroles, mais je suis un chasseur aguéri de rang 7 et je n'ai pas besoin d'être “protéger”
- Je vous aurais prévenu, maître.
- Bon, je vais manger un bon steak de Popo, tu viens avec moi ?
- Non merci, je ne digère en rien la viande de ses herbivores. Je vous attend ici !
- Bien, à plus tard ...

Je m'en alla du camp puis entama mes deux heures de route vers les Monts enneigés, lieu de regroupement de ces gigantesques Herbivores à la viande et à la langue succulente.
En marchant, j'aperçu un couple de Yian Kut Kut. Ces créatures, roses, parfois bleus, à la force agile et insouciante, faisait parti de la catégorie des Wyvern, et possédaient un bec et une crête énorme. Leur carapace résistante, mais ne pouvant supporter les attaques d'armes de chasseur aguéri, laisser paraître leur farouche résistance pour les débutants chasseur. Arriver, je prit les fournitures positionnaient sur le camp de base, dans une certaine boite de couleur bleue, puis m'en alla dans la zone à côté, où résidait les fameux Popo, prochain festin que je me ferais. Mais cette fois, à l'aurée des montagnes, dans cette petite prairie, rien n'était présent, le bruit était silence et le mouvement était inexistance. Mise à part une sorte de gros insecte qui rodait toujours dans les parages, comme pour garder l'entrée de la grotte menant aux Monts enneigés, aucune créature ne semblait vouloir s'aventurer dans cette clairière, pourtant calme et reposante. Je but un délicieux breuvage chaud de ma composition, et entra dans la grotte, l'estomac protégait par le bien fait de cette potion. Je sortit de la grotte quelques minutes plus tard, déja à bonne altitude. Les Popo n'était pas la non plus. Le calme, la neige et le froid était donc les seuls rois.

Mais soudain, un son lointain se fit entendre, comme un mouvement d'ailes, comme une lueur quelconque de vie dans ces horizons de flocons. Le son se rapprocha, s'approcha encore, et bientôt, j'eut l'impression qu'il était au dessus de moi. Et l'impression devint réalité, comme toutes choses d'esprit devenant une forme. Un monstre gigantesque, que je connaissait bien, me fit face. C'était un Tigrex, un Wyvern orange-bleu, aux crocs acérés, quadripède et à l'agilité. Je sortit mon arme de mon fourreau, et commença le combat. J'equivit une charge rapide d'un mouvement tout en enchainant sur un coup de sabre dans les ligaments du bras. Le sang frais jaillit, mais la patte ne défaillit point, même pas d'un tremblement, et le Tigrex recula. Il cria de toutes les forces que ses poumons pouvaient lui offrir, mais mes oreilles, aiguisées par les multiples cris des monstres que j'avais déja tué, supportait largement ce son aigüe bien infime. J'avança, il tenta de me mordre, mais l'attaque fut déjouer par mon agilité et la légerté de mon sabre. Je lui infligea un nouveau coup qui lui brisa la machoire et le rendit aveugle d'un oeil. Cette fois, il vascilla. Il semblait ne pas comprendre cette force qui résidait en un tas de viande 30 fois plus petit que lui ! Il tenta une nouvelle attaque, et me balança des sortes d'énormes boules de neige. Les fameuses armes assez comiques, mais pourtant dévastatrices, me frolèrent, et je profita de cette occasion pour lui couper la patte. Le Tigrex tomba par terre, se releva difficilement, porté par un mognon ensanglanté qui semblait le faire gémir de douleur, s'envola avec justesse, en laissant une tache de sang de ma taille derrière lui.

Baigné de sueur, mais en un seul morceau et sans la moidre blessure grave, je m'en alla, comprenant l'absence de Popo, causait par l'apétit d'un Monstre beaucoup trop vorace. J'observa alors la vue q'on pouvait voir d'ici : La Jungle, les Forêts, gorgées de monstres énormes, sympathiques, herbivores, ... le Monde recélait de suprises, certaines à découvrir, d'autres méritant le secret, et d'autres dangereuses, n'offrant que la mort. En pensant à tout cela, je ne vis pas l'étrange couleur bleu-orangée derrière moi, je ne vis pas cette lumière m'entourée, je ne vis pas les changements se fondre en moi, la magie me métamorphosant. Je ne vis pas ce que je devins. Puis je tomba dans un grognement de sommeil étrange.

Le lendemain, je me réveilla dans un nid de fougères et de restes de Yian Kut Kut. Mon crâne me faisait mal, comme frappé par une force que je n'avais pas vu venir. Ce lieu semblait être la Tour des Anciens, une Tour où résidait bon nombre de Dragons Anciens, et où bien des massacres d'espèces de Dragons avaient eut lieu. Je cria alros d'une voix rauque et bruyante, qui ne semblait en rien être la mienne :
“S'il vous plait !! Est ce que quelqu'un m'entend ??
-Mais tais-toi malheureux !
Une Lunastra sortit de nulle part, sa peau bleue fine et soyeuse dans les reflets du soleil :
- Tu veux tous nous tuer ? A moins que tu sois un Teostra complétement inconscient, arrête de crier ou tu vas nous ramener tous les chasseurs du coin
Je m'appreta à sortir ma lame de mon fourreau, mais je n'avais plus d'arme, disparue par une étrange coincidence !
- Mais vous parlez ? Dis-je en écarquillant les yeux
- Bah oui, bien sur, comme tous les Dragons anciens, nous connaissont ce que ces abrutis d'humains appellent le langage. Tu sembles avoir reçut un gros cailloux sur la tête toi ! Et d'ailleurs, comment t'appelles-tu ?
Elle s'approcha pour m'examine. Je recula, dans une folie me faisant croire à un cauchemar
- Oh la la ! Je parle à une Lunastra, qu'est ce qui m'arrive ?
Soudain, je vis quelque chose de littéralement horrible : Mes mains étaient devenues des pattes ornées de griffes. Ma peau étaient changée en écailles rouges et ma tête était surmontée de cornes et d'une crinière rouge d'une beauté qui me faisait presque peur.
Que m'avez-vous fait ?!! Que m'avez-vous fait ?!!
Je m'appretai à aracher la tête à cette Lunastra quand soudain elle se retourna, me donna un violent coup de queue, puis teint d'une main ferme en me disant :
- Ce qu'il t'arrive, tu l'as bien mérité. J'ai fait appel aux Spectres des Monts enneigés. Ils t'ont donnés la forme du Teostra, pour te punir de cette haine que tu portes à ces créatures .
- Mais je ne veux pas être un Teostra !
- Tu ne peux plus reculer. Dorénavant, tu vivras ce que nous vivons.
- Mais je pourrais retrouver mon corps un jour tout de même ?
- Bien sur. Mais pour cela, il faudra effacer de ta mémoire les blessures de ton passé. Tu vois très bien de quoi je parle. Tu sais ce que je veux. Maintenant pars, et ne reviens sur cette Tour que lorsque tu sauras que ta quête sera temriner.
La Lunastra finit sa phrase dans une voix délicate et enflammée à la fois, puis, dans une flamme, elle s'embrasa, en ce que je pensa être un retour vers le monde des Spectres des Monts Enneigés
...

Voila, dites moi si ça vous a plut, et je continuerai peut-être !!

Ton scénario est pas mal du tout et original, mais il y a malheureusement beaucoup trop de fautes d'orthographe. Il faut aussi que tu penses à aérer tout ça, parce que les pavés font peur aux lecteurs! En tout cas, bonne continuation!^^

Tiens, j'ai dézingué un Teostra cette après midi.^^

Oue, je vais essayé de prendre mon temps et d'aérer tout ca.

Sinon, c'est vrai que la coincidence est frappante (c'est une expression )

Je vias bientot faire la suite, c'est qu'en ce moment je fais les tutos, et jepeux as vraiment tout faire en même temps