Mourir.

Voici, chers forumeurs, le prologue et la première partie de ma troisième fic, soit ''Mourir.''.






Fic MH : Mourir.

Prologue ; Dans l’ombre de soi-même


Elle n’était plus. Vous devinez tout de suite ce que j’aurai à vous raconter. Qu’elle aurait été la plus belle des femmes, avec un sourire qui ferait pâlir d’envie toutes les épouses de seigneurs…

Détrompez-vous. Pas qu’elle était laide, non, je n’ai jamais voulu dire ça. Mais…
C’était elle que j’aimais.
Une personnalité hors du commun… Un peu timide, mais lorsqu’on la connaît, elle change…

Mais elle est morte. Et s’il y a quelque chose que je ne peux changer, c’est bien ça.

Et bien sûr, vous vous demandez comment c’est arrivé. Comme si j’allais le dire !
Ces souvenirs si durs…
''La douce pâleur de son visage aux traits fins, tendu vers moi, la bouche entrouverte… Une bouche dont un filet de sang suintait.

Je m’étais surpris à observer le contraste entre la couleur de son sang et l’écarlate irréel de ses lèvres…

Mon regard était descendu, suivant ses boucles d’un châtain exquis vers ses épaules nues.

Mais il ne restait rien de plus.''


Chapitre Premier : Varda




Elle l'avait vu.

Grand, mince, vêtu d'une armure de Rathalos Argenté. Faut dire qu'il était
difficile à manquer.

Il avançait sur la route, tête basse. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle se dit qu'il devait être triste.

Puis, elle se souvînt qu'il était parti avec sa coéquipière. Ou plutôt, sa
Gerdeï. Car dans ce petit village de Reizaku, pratiquement au centre de Gardemine, il y avait une étrange tradition.

Les gens qui voulaient se battre, après trois ans d'études et d'entraînements intensifs, devenaient Chasseurs. Mais pas ces Chasseurs qui amènent viandes et poissons, loin de là.

C'étaient des hommes et des femmes, forts, polyvalents, et futés pour la plupart. Armés d'équipements monstrueux, ils partaient en quête de vouivres et de dragons et les abattaient, assurant la sécurité du pays.

Seuls, ils sont forts. Nombreux, ils sont imbattables. C'est sur ces mots que se basait la Guilde, organisation commerciale et politique dominante en
Gardemine.

Revenons donc aux Gerdeïs. Selon la tradition de Reizaku, chaque Chasseur du village, à la fin de ses études, devait se choisir un Varda, un
gardien. Celui-ci devrait alors protéger son Gerdeï, son protégé,
et ne mourrait pas tant qu'il n'aurait pas échoué. C'était un
pacte étrange, plus fort que nature ; car dans chaque histoire,
chaque légende et chaque nouvelle, aucun Varda ne mourrait si son
Gerdeï avait survécu.

Des coups qui auraient pu leur être mortels, ils les esquivaient de chance, ou avec aisance. Et un jour, à force de voir que les Vardas devenaient
invincibles, les gens décidèrent d'en faire un rituel obligatoire.
Intelligents, ils avaient deviné que tant que le Varda pouvait
protéger son Gerdeï, aucun des deux ne mourrait, réduisant alors
le taux de mortalité des Chasseurs de la région.

Kokoto voulût être dans le secret ; Reizaku ne dit mot de ses croyances. Toutes les villes formant des Chasseurs le voulurent, mais aucune ne l'a su.

Et la jeune fille observait un Varda, tout vêtu d'argent, un arc rouge et mince à la main. Son sac était d'une forme irrégulière, et un morceau
de carapace sombre en dépassait.

Il revenait de la chasse, mais sans Gerdeï. Il avait échoué, mais il avait
survécu.

Un bruit de paume heurtant le bois dur la sortit de sa rêverie. Son regard
s'éloigna de la fenêtre à sa gauche, qui donnait sur l'entrée de
Reizaku. Ses yeux noisette se posèrent sur la main de brute aplatie
sur la table en face d'elle.

Et de la main au bras, de l'épaule au visage, elle observa l'Entraîneur de Chasse. Il portait sa fameuse armure Ceinture Noire, sa coupe qu'il avait
nommé du même nom, et la moustache.

La moustache se souleva à peine alors qu'il ouvrit la bouche :

-Alors, mademoiselle Asakura ! grogna-t-il de son ton rude. C'est pas parce
qu'on est la fille du Chef qu'on peut se permettre de rêvasser en classe, n'est-ce pas ?

-Non, Professeur Mirko, chantonna-t-elle de sa voix enjouée. Mais c'est tout de même le dernier jour, et vous aviez pourtant dit au début du ''cours'' que vous nous laissiez champ libre, n'est-ce pas ?

Elle sourit à la vue de son cher bourreau qui se mettait à bafouiller.

-Mais mais... Laissez tomber. Observez donc Rint si ça vous chante.

-Rint... se répéta-t-elle, suçotant son auriculaire droit.

Et, dans un tourbillon de mèches noires, elle retourna à son observation
minutieuse du Chasseur.

Malheureusement, il avait déjà dépassé son champ de vision.


* * * * * *
Il avait remarqué. Après cinq années passées à chasser, comment aurait-il pu ne pas remarquer qu’il avait été observé ?

Il n’avait pas vu exactement QUI, mais c’était assurément une personne avec de longs cheveux noirs. Car s’il avait remarqué un détail, c’était bien ça.

Un tourbillon couleur d’encre, alors que l’espion détournait le regard. Ça venait de l’école d’entraînement, une fenêtre au deuxième étage. Il se dit que pour le moment, il ne devrait pas en faire de cas. Il continua donc à broyer du noir sous son casque.

Il s’approcha de l’échoppe de l’armurier. Un homme populaire, au village. Veuf. Beaucoup de femmes avaient tenté de l’approcher. Jeunes, moins jeunes… Il avait beaucoup de succès, à 47 ans.

Jirk était fidèle au poste, marteau de forge paré. Ses cheveux noirs en bataille, son visage qu’on aurait pu qualifier comme étant de «tombeur», ses grands yeux bleus. Et sa musculature impressionnante, toujours visible au travers de son tablier renforcé.

Voyant que Rint – car c’était bien son prénom – approchait résolument vers sa boutique, le forgeron le héla :

- Oï, camarade ! lançait-il de sa voix de stentor.

- Oï, Jirk, répondit le Chasseur.

Il posait en même temps l’arc, le sac avec la carapace sombre et une bourse de taille moyenne sur le comptoir le séparant de son ami.

- C’est ton boulot. Transforme cet arc en machine à tuer.

- Hé, camarade… murmura le forgeron. Tu portes l’arc, mais ton armure
en est une d’épéiste… Possible que cela soit l’arc de Narika, camarade ?

- …

- Le silence qui veut tout dire, héh ? Toutes mes condoléances, camarade. Puis… Considérerais-tu l’offre d’un vieil ami qui veut adapter ton armure à ton nouveau joujou ?

Il répondit d’un sourire, et passa derrière la boutique pour détacher les lanières de cuirs et d’écailles.

* * * * * *

Elle avait enfin terminé son passage obligatoire à l’école d’entraînement ! Comme elle pouvait être heureuse. Ça n’avait pratiquement aucun sens.

Et pourtant, le lendemain, elle allait choisir son Varda. Elle avait
hésité un moment, mais son premier choix était revenu. Rint. C’est celui-là qu’il lui fallait.

Son armure de Combat, ses lames doubles, tout était prêt. Elle allait enfin devenir une Chasseresse.

* * * * * *

Il comptait faire ça rapidement. Son équipement ? Plus besoin. La Guilde fouillerait sa maison, et ils s’en saisiraient. Des recherches sur l’arc, ils
en feraient, bien sûr, c’était des matériaux inconnus. Un arc noir, énorme et puissant.

Il avait laissées des notes sur ce qu’il avait découvert personnellement lors du combat. Il le fallait ; n’était-ce pas leur mission, à lui et Narika ?

Quant à son armure nouvellement modifiée, il la laisserait avec l’arc.

De toute façon, là où il voulait aller, ça ne lui servirait pas.

Son couteau de dépeçage. Il le prit. Sortit, et marcha jusqu’à la sortie du village, habillé en «civil». De longs vêtements blancs. Ils seraient souillés par son sang d’incapable… Quel gâchis.

Il marchait au milieu de la plaine devant le village, maintenant. Seul. Du moins, à ce qu’il croyait.

Si désespéré qu’il était, alors qu’il levait le couteau bien haut, jouant de son reflet avec la Lune, qu’il ne la remarqua pas.

Aussi rapide qu’un chat sauvage, elle bondit sur lui et attrapa le poignet de la main serrant la lame. Et serra. Le couteau tombait alors à ses pieds, et elle dit :

- Tu ne peux pas !

Il avait oublié que c’était la pleine lune, et que, donc, les apprentis Chasseurs venaient se purifier avant la cérémonie du printemps. Cérémonie du Varda.

Il soupira, et se laissa choir au sol, espérant s’embrocher sur la courte lame.

Mais au lieu de ça, il faillit se fendre le crâne en tombant tête première sur une pierre. Évidemment, il perdit connaissance.

Aux limites de sa conscience, il perçut de longs cheveux noirs. Si familiers…

* * * * * *

Charognard de Nak... Tu l'a postée pour finir, un concurrent.

La guerre est ouverte


x)

Bah, je disais que je le ferais, et je manque jamais de faire ce que je dis.

Ouais, je sais x)
Tiens, ton avatar, j'ai l'impression d'avoir quelque chose a voir la dedans, mais quoi

Bon, je vais écrire le prochain chapitre, tu post quand le reste? Sur Jv. t'en a 5/6, ici 2 x)

Je le poste dès que j'aurai trouvé une solution à la mise en page.
(Pour l'avatar, oui, je te donne tout le crédit... J'le mets dans ma sig'.)

Nak : x)
La solution? ben tu édit, tout simplement x) Tu mets juste des "saut de ligne" la ou il faut

N'empêche qu'à la longue c'est un peu emmerdant.

Ouais, m'enfin, chez moi y'en avait pas trop... donc ca va

(Wouah trop fort, tu commence a peine la fic, et j'ai déjà commencé le HS x) )

Edit : Cool ta sign ! (y'a pas d'image >.<)

Edit fini. Puis, si y'a pas d'image dans la siggy, c'est que j'ai encore rien trouvé.

Ah x)

Et voilà.






Chapitre Second : Gerdeï

Confort, confort, confort. Son système nerveux n’interprétait que la sensation de confort qu’il éprouvait dans tous ses membres. Cela devait être un lit de la plus haute qualité, moelleux à souhait.

Soudain, il eut une sensation horrible. Comme si une aiguille glacée transperçait son crâne de part en part. Une ? Des millions, plutôt. Il sentait la douleur à travers toute sa tête. Un point sur son front était plus douloureux que les autres.

Alors qu’il poussait un grognement de douleur, une chose très douce, probablement une main, entrouvrit ses lèvres. Un liquide au goût âcre coula dans sa bouche, et il avala par réflexe alors qu’il glissait au fond de sa gorge.

Une potion ? Probablement, car il ne sentit plus la douleur, ou presque. Un
léger picotement au point qui était le foyer de son mal, quelques instants
passés.

Lentement, son cerveau se mit à fonctionner de plus en plus rapidement.

Jusqu’au point où il se souvint de la nuit passée. Le couteau, la main, le cri, les cheveux. C’était donc elle qui l’avait observé ?

Il ouvrit les yeux, vivement. La jeune fille sursauta.

Ses cheveux étaient d’un noir d’encre, légèrement vagués. Ils lui arrivaient un peu plus bas que les épaules, et elle était vêtue de bleu océan. Une robe légère, dévoilant ses épaules aux regards.

Elle sourit, et rapprocha son visage du sien. Il put alors distinguer ses
traits : un nez fin, de jolies lèvres pulpeuses et des yeux noisette chaleureux.

Et d’une voix douce, quelque peu enjouée, elle demanda :

- Pourrais-je, à tout hasard, savoir votre nom ?

Il ne répondit pas tout de suite, observant autour de lui. Il était bien dans un lit, œuvré dans du bois relativement solide, sur lequel reposait une montagne de couvertures.

Il était installé sous trois de celles-ci.

Et tout autour était de couleur bleue ; les murs, le sol étaient en pierre,
ornés de gravures remplies de Machalite sculptée ; la plupart du mobilier
était couleur de rivière ou d’océan.

* * * * * *

Avant de lui répondre, il passait ses yeux sur chaque objet de la pièce. Elle suivit son regard, et revint à lui, ses yeux gris, ses cheveux rouge sang, son visage fort et déterminé. Sa couleur de cheveux était associée à un vieil adage : chaque homme qui naîtra avec les cheveux couleur de sang sera un homme d’armes, et un excellent.

- Rint. Rint Kezner.

C’était donc bien lui. Et… Cette voix ! Si douce et si rude, attrayante et
effrayante… Il avait la voix d’un meneur d’hommes !

* * * * * *

- Et toi ?

Elle cligna. Une fois. Deux. La question mit un moment à atteindre son cerveau.

Puis le déclic.

- Asakura Zaki ! dit-elle précipitamment.

Il se leva sur ses coudes, faisant glisser la couverture sur son torse. Il était
toujours vêtu de ses habits blancs. Une ou deux taches, mais sans plus,
montraient qu’il s’était écrasé au sol la veille.

Ses jambes balançaient à présent dans le vide. Il se glissait doucement hors du lit.

- Avez-vous envie de quelque chose en particulier ? fit-elle avec un air
gêné.

Debout, il l’observa un moment. Il prit un moment avant de répondre. Pourquoi devrait-elle savoir ? Même, ne l’avait-elle pas deviné ?

Et il se décida.

- Mourir.

Et il passait par le cadre de pierre derrière la jeune fille, qui étouffa un
sanglot lorsqu’il fut parti.

* * * * * *

De retour chez lui, il n’eût pas à attendre longtemps avant que l’on cogne à sa porte. Il se doutait, de toute façon, que l’on aurait tôt fait de venir le
chercher.

- Oï, Rint ! fit une voix à l’extérieur. Tous les Chasseurs sont convoqués
au Centre !

Le Centre, c’était le rond-point au milieu précis du village. C’est dans ce quartier que s’élevait le Bureau des Chasses, remplacement de la Guilde.

On l’avait bien évidemment convoqué à la Cérémonie du Varda.

Il sortit, vêtu de pied en cap dans son armure argentée et l’arc sombre au dos.

Les quelques cerisiers autour de sa maison étaient en fleurs. Ces arbres étaient les préférés de Narika. Mais il ne fallait plus penser à elle.

Le Centre était un cercle de marbre blanc. Tous les Chasseurs de Reizaku s’étaient placés de manière à en couvrir la circonférence. Il restait un espace, à la droite du Chef.

Rint combla le vide, et put voir les jeunes Chasseurs qui étaient rassemblés au centre du cercle.

Et le chef, Semi-Wyvérien qu’il était, avec ses oreilles effilées, se mit à
parler. Les jeunes se tournèrent tous vers lui, cet homme vêtu de noir aux
longs cheveux blancs. Ses mots étaient :

- À chaque printemps, comme il fut et sera toujours, nous nous devons de nommer Gerdeïs et Vardas. Que les liens sacrés soient alignés par le Protégé, et que la Divinité lui montre le chemin !

Et les Chasseurs n’ayant pas de Gerdeï, dont Rint, levèrent le bras droit vers l’avant, tendant la paume au Centre.

Un à un, les apprentis levèrent également le bras droit. Et ils se mirent à
marcher vers les Chasseurs, tournant lentement dans le sens antihoraire.

Des lumières de couleurs différentes jaillirent de leurs paumes lorsqu’ils trouvèrent leur Varda, celui que la Divinité leur avait choisi.

Plusieurs passèrent devant Rint, et aucun ne se lia.

Asakura approchait. Elle était convaincue que ce serait lui. Comment le savait-elle ? Elle n’aurait su le dire.

Elle avait raison. Alors que les mains passaient l’une devant l’autre, un éclair
rouge jaillit de leurs paumes respectives. L’armure argentée brillait de mille
feux.

Il paraissait calme. Mais à l’intérieur, il hurlait.

«POURQUOIIII ?!»

* * * * * *

Ils partirent ensemble dans la Grande Forêt. Il lui avait expliqué, rapidement,
qu’après la Cérémonie, le Varda devait trouver une vouivre avec son Gerdeï,
pour qu’ils apprennent à connaître leurs forces respectives. Et aussi, pour
trouver des matériaux et faire une armure au Protégé.

Les grands arbres multi-centenaires filtraient les rayons du soleil. Peu de
lumière. Suffisamment.

Mais il pensait. Alors qu’il voulait mourir, il était redevenu invincible. Et s’il
tuait sa Gerdeï, il pourrirait en Enfer.

Alors, il la protégerait. Essayer de reprendre goût à la vie, peut-être.

Un rugissement interrompit ses pensées. Un fort grondement, semblable au fracas du tonnerre.

- Je crois qu’on a trouvé ! ricana la jeune fille, dégainant deux épées…
Rouillées ?

- Tu comptes te battre avec des lames inutilisables ? grogna l’archer.

- Ce sont les lames du clan Zaki… Elles prennent forme et illustrent la puissance de leur porteur.

Donc, si elle devenait plus forte, ses lames s’amélioreraient d’elles-mêmes ?
Intéressant. Le clan Zaki était réputé pour être un clan de forgerons, mais
d’avoir le talent pour ceci…

Un autre rugissement, plus près, interrompit à nouveau son flux cognitif.

Et d’entre les arbres surgit une grande vouivre, aux écailles rouge sang et
noires. Sa tête, son dos et sa queue couverts de pointes sombres étaient en parfait état. Son ventre mou était d’une couleur terne, tirant sur le sable.

Et ses yeux étaient bleus.

Oui, ils avaient affaire au Roi des Cieux, le Rathalos.

Rint déplia son arc en toute hâte, et encocha une flèche, histoire d’être prêt. Il ne pinça pas la corde, par contre.

Et Asakura bondit droit vers la bête, qui rugissait à nouveau.

- Idiote ! hurla-t-il en bondissant à son secours.

Sa main gauche tenant l’arc et retenant la flèche, il saisit sa taille avec son
bras droit et sauta vers l’avant, qui était la droite du Rathalos.

À temps, car les crocs happaient le vide.

Il se retourna, la jeune fille toujours à son bras, et la laissa glisser à ses
pieds, secouée.

Il tira sur la flèche et la corde. Jusqu’à la charge de niveau trois. Le Rathalos, ayant pivoté vers eux, chargea.

Mais la flèche fut envoyée avec une telle force qu’il s’écroula après l’avoir reçue dans le ventre.

Rint tourna la tête vers sa gauche, reculant. Asakura s’était relevée, et avait entrepris d’approcher l’aile droite du monstre.

Elle bondit vers la jonction entre l’aile et les épaules de la vouivre, et abattit ses lames.

Bien évidemment, elle ricocha, et le Rathalos, s’enrageant, se tourna vers elle.

Mais une flèche perçante de niveau quatre lui traversa la gorge, vers le milieu de celle-ci.

Le sang de ses blessures se répandait rapidement au sol. S’ils ne l’achevaient pas, il mourrait en s’étant vidé de son sang.

La bête, tremblant de souffrance, chargea Rint. Celui-ci fit un bond de côté, une flèche à la main.

Cette même flèche, il la planta dans le crâne du monstre.

Un râle.





* * * * * *

J'ai l'impression d'avoir déjà lu ca

Bon sinon, la mise en page foire dès le 1ere mot (des et pas dès, tu me corrigeras pas cette fois !)
Chapitre
second x)

Édité.

magnifique.........................

la meilleure de toute

tu compte là publier quand?

Si Lorown était la :
Et un 3eme apôtre, avec Kirin et Predator, ca va promettre...

N'ais-je pas raison Nak? x)

Enfin, tel que je le connaissais avant >.<

[AD]tigrex-noir a écrit:magnifique.........................

la meilleure de toute

tu compte là publier quand?

Si j'arrive à en faire un bouquin, je le fais. Sais pas quand.

Kirin : À peu près.

Heu... Nak ?
Tu vis au canada, je doute que t'ai des lecteurs de ce coté la (ou alors tres peu, je pense)
La majorité de tes lecteurs sont francais (belge pour moi) ca va couter enormement de ramener ca par ici x)

J'ai 3-4 lecteurs dans ma patrie, sinon j'envoie le texte aux Éditions Fleuve Noir en France et j'en demande quelques-uns par avion.

T'a pensé au prix? ><

J'en reserve un

Tout dépend du prix de production.

En fonction du nombre de page, gryffonhunter en a pour 12€/livre

Comment dire... Je vien de lire ta fic et elle est...
MAGNIFIQUE
J'adore le style d'écriture un peu lugubre et descriptif. C'est original et tout. J'aime aussi le titre original, lui aussi.
Je ne suis pas dutout déçus!
Vivement la suite!

Y'en a déjà, et moi j'la connais

J'ai juste la flemme de refaire la mise en page chaque fois...